Auteurs indépendants, auto édition.

darabesque a écrit:

Bonjour à tous, effectivement je vis
Je vaque toujours à mes activités principales qui sont : écrire et aussi lire.
Je viens remercier Nicole qui est toujours une fidèle lectrice de mes élucubrations. Merci à toi aussi Rotko ! j'aime bien "la dame et ses fleurs"
j'ai changé de pseudo volontairement. Je repars à zéro ici tout en étant toujours très attentive à vos lectures. Je me contenterai d'ailleurs de ne participer qu'à ces fils - là. Les posts d'actualité m'énervent forcément et je n'ai plus l'âge de refaire le monde (encore que!!) bref merci Nicole et à toi Rotoko car ta petite phrase m'a dynamisée pour me réinscrire.

Salut Marie Darabesque !
Content de te revoir.

Bienvenue à toi, Darabesque, sur ce "forum où nous parlons de livres, de films" etc. etc.

C'est un plaisir de te revoir, Darabesque. Joli pseudo de surcroît.

Et pour la "dame aux fleurs", quelques monnaies du pape à assortir à son livre:

merci Lîlâ plaisir aussi de te relire

Ahmed Bencherif
Marguerite tome1


L’avis du comité de lecture : Marguerite n’est qu’une petite ville. Pourtant, à elle seule, elle incarne l’Algérie colonisée. Elle est un microcosme derrière lequel se devine le portrait de tout un pays soumis à la domination. Mais Marguerite, c’est aussi une cité qui s’est soulevée et insurgée, dévoilant l’image d’un peuple qui n’a pas accepté la colonisation. Avec ce roman éponyme, fresque historique et sociale grandiose et minutieuse, Ahmed Benchérif fait le portrait d’une Algérie qui, à peine soumise, est déjà prête à défendre son indépendance et à repousser tous les jougs. Ainsi, ce premier tome est un préambule, une plongée dans l’aberration du système colonial, un moyen de saisir sur le vif, à travers une galerie de personnages réalistes, les sentiments et vexations de toute une communauté asservie. Il est une matrice, le lieu de naissance et de croissance des rêves les plus périlleux, le premier acte d’un combat pour l’indépendance qui s’incarne dans la figure de Hamza, adolescent idéaliste et désireux d’infléchir une histoire trop douloureuse.

Résumé : Algérie, fin du XIXe siècle. Cela fait vingt ans que les révoltes contre les colonisateurs ont été matées. Aujourd’hui, la société algérienne vit sous domination française et est écrasée par son administration, ses impôts, sa froideur, sa condescendance, sa toute-puissance. Le pays est divisé entre ceux qui ont: les Roumis, les Français, les colons, et ceux qui ne cessent d’être dépossédés: les Algériens eux-mêmes, qui vivent dans la pauvreté, l’indigence, l’humiliation, l’épuisement. C’est dans ce contexte où la résignation se teinte encore d’élans de rébellion que grandit Hamza, fils de Moqadem, descendant d’une famille admirée pour sa sagesse et sa dévotion. Là, au plus près des siens, au contact des mille visages de l’assujettissement, l’adolescent s’éveille peu à peu au seul sort que lui réserve l’administration coloniale: le joug. C’est là, aux prises avec la petite communauté citadine de Marguerite, que se fiche en lui, indéracinable, exclusive, de plus en plus urgente, la volonté de mettre un terme à cette situation inique...

Editions Publibook Paris

Bonjour Bencherif. je suis allée voir sur Publibook et j'ai vu que tu avais aussi écrit "la grande Ode" sous forme de poèsie.
Bravo à toi . je suis également allée voir ton site et je comprends le bonheur que tu as pu éprouver en dédicaçant dans ta ville natale.

bonjour à vous tous
Merci darabesque pour cet intéret que tu as consacré à mon travail littéraire;
ahmed bencherif
la grande ode,

L’avis du comité de lecture : Dante avait sa Béatrice. Aragon son Elsa. Ahmed Bencherif a Jocelyne. Figure inspiratrice qui hante chacun des vers de cette ode, elle est à jamais élevée dans cet écrin que constitue l’écriture en alexandrins. Qu’elle soit adorée sur un mode courtois ou qu’elle soit à la source des douleurs, qu’elle suscite les regrets ou les élans lyriques du poète, elle est pour toujours indissociable de cette élégie consacrée aux amants condamnés.


Résumé : Il fallait une forme poétique liée à l’intemporel et au sacré, au légendaire et au tragique, pour dire les amours interdites, celles qui naissent dans des contextes nerveux, entre deux êtres issus de pays différents, voire en lutte comme purent l’être l’Algérie et la France. Il fallait une assise presque solennelle pour chanter, c’est-à-dire tout autant célébrer que pleurer, ces relations vouées à la distance, au silence, au secret, à la réprobation. A l’échec et à l’incomplétude aussi. Oui, il fallait bien ranimer l’ode pour évoquer Jocelyne, cette écharde au cœur du poète.

Bonjour à tous!

Mon premier roman "Le Lac des Cieux" (épisodes 1 et 2) est paru aux éditions EDILIVRE-APARIS le 9 décembre dans la collection "Coup de Coeur". Il s'agit des deux premiers épisodes d'une série intitulée "Bad Swimmers" et je vous invite à y jeter un oeil
Ce premier épisode de la série Bad Swimmers prévue en trois tomes nous plonge dans l'atmosphère trouble et angoissante d'un groupe de lycéens. Parmi eux, Mel, en proie à de terribles cauchemars qui se révèlent rapidement bien plus réels qu'elle ne le pense. Car bien vite, d'horribles meurtres sont commis au sein de l'établissement. Une psychose s'empare alors de tous les lycéens, tandis que le malaise se crée autour de Gin, la nouvelle.

L’épisode 2 de la trilogie Bad Swimmers prolonge le frisson de suspense et de mystère qu’avait initié l’atmosphère du premier opus. De cauchemars en rebondissements, c’est à présent Marc qui est visé par un criminel des plus sadiques. Connaîtra-t-il le même sort que les précédentes victimes ?

A bientôt!

Geoffrey

bonjour geoffrey,

Comme l'indique ce fil,

https://grain-de-sel.1fr1.net/accueil-et-presentations-f20/attention-les-liens-sont-reserves-aux-habitues-t942.htm

GDS* accepte les liens des contributeurs, mais pas des publicitaires !
or tes deux messages relevent de la publicité intrusive.

J'ai donc supprimé les liens, en attendant que tu participes activement au forum, notamment au rayon polar puisque tu dis en être amateur,

bien cordialement

Oui je comprends parfaitement! Pas de souci!

Présentation analytique

Marguerite tome 2


Si le premier tome, le personnage principal, Hamza, a développé sa personnalité dans un quotidien rude pour ses gens, ces indigènes de parole confisquée et soumis aux plus injustes des exactions, dans le premier tome il est déjà un contestataire majeur, à l’age de dix sept ans au plus. C’est donc en 1901, qu’il est appelé à évoluer dans la société de Marguerite, petit village mixte, à prépondérance indigène. Il entre dans une étape cruciale de sa vie qu’il a décidé déjà de sacrifier pour que vivent ses gens dans la dignité, ou tout au mois rappeler crûment aux colons que la flamme de la révolution n’était pas morte et que l’espérance d’arracher l’indépendance existait toujours mais, juste en y mettant les moyens de sa libération, soit le recours à la violence. Dans son adolescence, il rêvait de révolution vigoureuse, de grande échelle sur une aire géographique assez étendue, au moins dans sa propre région. Dans sa prime jeunesse, il revient malgré lui aux évidences incontournables. Son projet révolutionnaire, devient modeste, à la hauteur d’une révolte locale.
Dans le camp adversaire, les choses évoluent avec une grande vitesse. Les colons veulent définitivement gouverner à eux seuls, loin d’immixtion de la métropole. Ils commencent alors une véritable stratégie pour parvenir à leurs fins. Ils ciblent la frange de société la plus faible, soit les Juifs qui avaient été proclamés citoyens français par le décret Crémieux. Il fallait mettre mal à la France, en s’attaquant aux Juifs d’Algérie qui passèrent des moments difficiles. En effet, ils furent victimes de violences excessives : leurs magasins ont saccagés et pillés ; quant à eux, ils furent agressés et on compta plusieurs blessés parmi et un mort, selon Ageron et deux selon d’autres sources. Les colons étaient puissants et disposaient de relais influents au parlement. Ils bloquaient l’action administrative des gouverneurs généraux successifs et des trois préfets, lesquels ne pouvaient que courber l’échine, sinon ils tombaient en disgrâce.
Sur ce fond de drame des Juifs, était né le mouvement révolutionnaire du parti colonial sous l’impulsion des gros propriétaires dont le premier congrès en 1897 constituait une assise de revendications majeures ; puis en 1898, le mouvement estudiantin prit le relais et organisa des meetings et des manifestations populaires ; le chef de file en était un jeune, beau comme un dieu, fille d’une veuve très riche qui le pourvoyait en tout et pour tout. Bien sur, il laissait sa faculté de droit et mobilisait les masses ; comme partout dans le monde, les étudiants furent maîtres de la rue et menèrent le combat de façon irréductible. Ils brûlèrent aussi les effigies de Dreyfus et d’Emile Zola. Il y eut confrontation avec les services de l’ordre qui n’essayèrent vraiment pas de les contenir de façon musclée. Le gouverneur général était dépassé par les évènements, ainsi que les trois préfets de département. Le mémorandum des révolutionnaires fut levé au parlement qui en était favorable et le gouvernement en était absolument outré et s’opposait à l’octroi de l’indépendance d’Algérie. Le parti colonial frappa encore fort et oeuvra à faire tomber en disgrâce le gouverneur général. Il y parvint sans difficultés et obtint fin décembre 1900, l’autonomie financière avec institution de délégation financière, sorte de parlement local.
Le mouvement insurrectionnel indigène, incarné en la personne de Hamza et de Mabrouk, deux figures complémentaires, suivait l’évolution politique. Il tint à marquer son refus à donner plus de pouvoir aux colons qui oppressaient le peuple. Tous deux préparent la révolte et se cotisent pour acheter les armes à feu ; accompagnés de quelques militants de la cause, ils font un long voyage à l’est du pays, paqssent à Elhamel (Bou-saada) pour demander bénédiction à lala zineb, la moqadema de la rahmaniya dont mabrouk était affidé. La cheikha ne leur dit rien et eux-mêmes ne dévoilent pas leur projet. Au 26 avril 1901, les 125 insurgés armés de fusils et de sabres assiégèrent le village de Marguerite. Mabrouk était une sorte de derviche et dans la colère, ils exigèrent des colons rassemblés dans la lace de se convertir à l’islam, sous peine d’être égorgés. Cinq colons ne se prêtèrent pas à cette conversion ; ou ils n’avaient pas copris l’arabe ou ils avaient carrément refusé l’apostasie. Le soir les renforts vinrent de Meliana ; il y eut une confrontation avec les insurgés dans la périphérie du village, puis dans la forêt. Les révolutionnaires furent vaincus et arrêtés.
La cour d’assises fut contrainte de différer le jugement, car la pression de l’opinion publique était forte et exigeait un lynchage sur la place publique, sans tarder et sans information judiciaire.
Cet évènement fut une explosion dans un ciel serein et les médias français saisirent vite l’affaire et conclurent à un acte de désespoir des indigènes brimés. La cour de cassation retira le dossier à la cour d’assises d’Alger et le confia à celle de Montpellier et ce sous la pression de l’opinion publique française qui était scandalisée par les fers dans lesquels étaient tenus les indigènes et la tribu des Righa insurgée. Des politiques français épris de justice plaidèrent la cause des indigènes écrasés par l’impôt et privés du droit naturel élémentaire ; car les indigènes n’étaient ni sujets, ni citoyens ; mais des sous-hommes auxquels toute clémence ou parole était bannie. Le procès fut célèbre en son temps et dura presque deux ans, au terme duquel un jugement clément a été prononcé pour les insurgés ; c'est-à-dire des peines de réclusion allant de 7 à 15 ans ; les deux héros moururent deux ans après en prison.


Journée du 21 décembre 2009, sous l’auspice de lAssociation Safia Kettou à la l’auberge de jeunes Tyout ; Ahmed Bencherif

Un homme de Trôo
Editions Pietra Liuzzo
de:
Danielle Akakpo/Jean-Noël Lewandowski

Roman écrit à quatre mains avec beaucoup de talent.

Un livre sympathique, avec tous les ingrédients pour passer un bon moment :
Une dose de suspense,
Une très belle écriture,
Une histoire d’amour,
De l’angoisse,

Le tout dans une région superbe et bien décrite dans le Perche ornais.
Les personnages y sont bien campés, chacun à sa place et tout ce petit monde , évolue dans la crainte, le mystérieux parfois et certains ont même des difficultés à survivre à tout cela.
Bref lisez-le il en vaut vraiment la peine !

Invite les auteurs à venir sur le forum, ils peuvent certainement nous entretenir de leurs bonnes lectures

c'est vrai Rotko ce que tu dis là .

moi je vais me faire encore u npeu de pub: on n'est jamais mieux servis que par soi-même et que par GDS


PLEURER OU RIRE

recueil de poésie libre




Je viens de nouveau vers vous pour vous faire connaître mon dernier recueil de poésie libre comportant plus de 35 nouveaux poèmes inédits. Il est en vente dès maintenant sur ma vitrine de Lulu.com ou simplement en me le demandant.

http://stores.lulu.com/marieded

Il existe également en téléchargement.

Ce sont encore des mots , toujours des mots mais écrire ne signifie-t-il pas aligner des mots ?
Mon seul souhait est que ces mots vous plaisent.


Cette fois, je me suis offert la fantaisie d’y insérer des photos diverses de ce que j’ai vu et surtout admiré et aimé., ou du moins qui m’a inspiré.

Merci à vous de lire ces quelques lignes et je reste à votre disposition si cela vous tente…

Je viens de terminer ce joli recueil, chère Darabesque. Il est souvent poignant dans sa sobriété, l'amour y tient une grande place, avec ses embrasements et ses désespoirs contenus.
Il y est aussi question de la société avec son indifférence ou son impuissance (?), face par exemple à ceux qui n'existent plus à ses yeux et dorment dehors. Et l'on sait déjà combien tu es révoltée par cette intolérable injustice de notre temps. Tu en parles avec force et générosité, tu dénonces aussi et tu as bien raison. Les poètes ont une voix à faire entendre.

Je te remercie Nicyrle
Oui il se trouve que ce recueil je le terminais pendant les grands froids et comme j'étais bien au chaud, je pensais à tous ceux qui essaient de survivre dehors.
en tout cas merci pour ton commentaire

Broderies et chiffons de vie

Auto-édition chez lulu.com comme d’habitude



Recueil d’écrits divers

J’ai mis dans ce recueil tout ce qui m’est passé par la tête ces dernières années. Vous y trouverez des nouvelles, des jeux sur des thèmes donnés et deux réflexions sur les auteurs "du dimanche" comme moi !

Je vous livre tout cela. Cette fois, je n’ai plus rien dans mes tiroirs !

Il va me falloir faire du nouveau, et ce sera avec plaisir que je m’y mettrai.

Cette fois je crois que je vais me « relancer » dans un roman.
alors ce sera beaucoup plus loin !
C'est plus long qu'une nouvelle!

j'en ai écrit trois, je me suis dit pourquoi pas quatre, n'est-il pas vrai?

selon Actua Litté, l'auto-edition americaine gagne du terrain, et préfigure sans doute l'essor de l'auto-édition française

L'année 2008 avait connu un décollage foudroyant pour l'impression à la demande americaine:

- recul de 3 % de l'édition classique avec 275.232 livres sortis,

- contre un + 132 % à 285.394 ouvrages passés par l'impression à la demande.

progression de 38 % de la production globale aux USA, avec 560.626 livres sortis.

merci pour ces chiffres Rotko ce n'est pas éntonnant car:

1) les grands éditeurs font une sélection très limitée parce qu'ils pensent d'une part, qu'un inconnu ne lui rapportera pas grand chose, et d'autre part, il est vrai que les auteurs indépendants ne sont pas tous des littéraires dans le sens pur du terme.

cela dit, ils ont tellement de demandes qu'ils peuvent sélectionner non pas par charisme bien souvent mais par popularité de celui ou celle qui a écrit. i

Restent les éditeurs en ligne, charmants au demeurant, acceptant presque tout mais faisant payer "bonbon" !

donc que reste-t-ils aux humbles et aux sans -grade et aux pas trop ambitieux sinon d'être lus quand même un peu !
eh bien il reste l'auto-édition: pas très cher, à la demande 1 ou 4000 ou plus exemplaires! c'est parfait pour l'amateur. Voilà et son livre est quand même un vrai livre en papier

et bien bravo Rosie. je connais bien PBK pour y avoir été éditée deux fois. Il y a pire dans ce genre d'édition en ligne et je crois que celui-ci a fait ses preuves . Bravo pour ton roman
ps: en plus en principe leur avis reflète bien les grandes lignes de nos écrits et ça c'est important: preuve qu'ils le lisent

Vu tes centres d'interêt, je crois voir pourquoi tu as apprécié les analyses fines d'Edith Wharton.
Entre la lecture et l'écriture se tissent des liens qui permettent de comprendre, de l'interieur, les auteurs que nous lisons.

tout à fait d'accord avec toi Rotko,
la cerise sur le gâteau est de rencontrer ou d'échanger lecteur/auteur et cela est possible heureusement dans le cadre convivial d'un forum.
Même au salon du livre, tu ne peux pas discuter simplement avec un auteur !

darabesque a écrit:

tout à fait d'accord avec toi Rotko,
la cerise sur le gâteau est de rencontrer ou d'échanger lecteur/auteur et cela est possible heureusement dans le cadre convivial d'un forum.
Même au salon du livre, tu ne peux pas discuter simplement avec un auteur !

Tu parles, je suppose, du Salon du livre parisien. Pour ma part, fréquentant des Salons régionaux, j'ai eu, à plusieurs reprises, l'occasion de discuter avec des lecteurs et je trouve que c'est à la fois intéressant et gratifiant. C'est la raison pour laquelle j'y retourne avec plaisir, outre que c'est l'occasion de se faire connaître et de rencontrer d'autres auteurs auto-édités ou non.

Bravo Rosie et bonne chance ! Tu as déjà eu le bonheur d'écrire, je te souhaite celui d'être lue et, si possible, d'avoir des "retours" d'impressions qui t'apportent quelque chose.

Outre ces salons régionaux et les signatures en librairies, je crois que par des associations diverses, on rencontre des écrivains dans des conditions propices aux échanges.

Si un programme de visite est fixé, plusieurs personnes lisent des oeuvres de l'auteur, et donnent leurs impressions de lecture ou posent leurs questions à l'écrivain. Je l'ai fait plusieurs fois et j'aime bien cette approche.