ce soir sur le petit écran

bonne idée, je l'ai déja vu.

ok .je te dirai ce qu'en j'en pense

la critique dans mon programme TV est bonne .C'est écrit" film intelligent et bouleversant".
Il a été récompensé  par l'Oscar du meilleur film étranger.

Comme pour 12 hommes en colère, je vais le regarder avec ma propre sensibilité,min ressenti .On verra

un aveu  pas aimé le film et arrêté avant la fin

ce film de Juan Jose Campanella renvoie à un contexte argentin précis.

d'accord en plus film en version originale donc sous titré mais entendre cette vitesse pour parler à l'arrière ..

Hola! Que tal?

J'ai vu 2 fois ce film en espagnol ( argentin) et en français. J'étais scotché à l'écran, la première fois (ciné). J'aime beaucoup ce film, c'est vrai qu'en V.O. il dégage un charme fou (très latino) et en français, le jeu de l'amour naissant et vertigineux est moins perceptible. L'histoire me parait superbe.
Bon film, à mon avis. 

je rectifie : j'étais f]]scotchchée[/b]!

Il m'est arrivé de bouder un film argentin par méconnaissance du contexte. C'était pourtant un film qui avait eu des prix et je m'interrogeais pourquoi

«Retour au pensionnat à la campagne », sur M6 ce lundi 30 septembre à 20h50.

Le principe? Vingt-quatre filles et garçons doivent passer leur certificat d'études, dans une ambiance années 1950, en suivant des cours dispensés dans un pensionnat à la campagne

Citation :

c'est une émission de divertissement. Certes il y a quelques références historiques, comme celles aux métiers de la ferme. Dans les années 1950, les enfants pouvaient se familiariser avec eux. Quand on voit les séquences avec les candidats qui ont peur des animaux, c'est assez cocasse. Autrefois, c'est peut-être ce qu'on appelait «Les leçons de choses».

Il y a aussi un passage où les enfants doivent écrire au plumier… alors que leurs professeurs corrigent avec un stylo de notre époque. Et aussi une autre séquence, où les enfants apprennent la conjugaison, avec des verbes et des temps qu'on n'utilise plus vraiment, comme l'imparfait du subjonctif.

il y en aurait à dire sur les conjugaisons !!

lundi 30 septembre

LE SAMOURAï ARTE 20 h 50

Jean-Pierre MELVILLE
avec Alain DELON / Jeff Costello, Nathalie DELON / Jane Lagrange

Jeff Costello, «Le Samouraï», est un tueur à gages solitaire. Sa chambre est sa tanière et son seul compagnon un oiseau en cage. Pour exécuter un contrat, il vole une voiture, en fait changer les plaques d'immatriculation et se fait donner une arme. Il se rend dans une boîte de nuit, pénètre sans se faire remarquer dans la partie privée et abat l'homme qu'il était venu tuer

ce soir retour de la série "un village français" 5° saison

jeudi 3 octobre

GRANDE LIBRAIRIE 20:40 sur la 5,

Invités Philippe DJIAN, Delphine COULIN Richard FORD, Lyonel TROUILLOT

sur les quatre il y en a au moins deux de très bons.

Ce soir, on regardera "Borgen" sur Arte.
On verra


hier regardé sur France 4 un superbe film inspiré de fait réel. "127 heures" drame USA/G-B

certains passages étaient assez pénibles à regarder.
en faisant de la randonnée dans canyons un homme de 27 ans se retrouve bloqué dans le canyon sans équipement ni vivre

Il doit la vie sauve à son courage, celui de se couper le bras .il n'avait plus rien à boire, alors il allait dans son oeil chercher du liquide

très beau film

Rotko  je ne connais aucun des 4:oops:  je dois être ignare:evil: 

Trouillot mérite toute notre attention  
 
Richard Ford : son livre Canada fait grand bruit. 
 
Djian est sur GDS*, avecdes avis divers, je crois.  
 
je ne connais pas Delphine Coulin.

il ne faut jamais avouer ce qui pourrait te nuire, il y a toujours des imbéciles qui s'en serviraient contre toi, - mais sans doute pas sur GDS*.

ok j’irai voir:D 

l ne faut jamais avouer ce qui pourrait te nuire, il y a toujours des imbéciles qui s'en serviraient contre toi, - mais sans doute pas sur GDS*. a écrit:

merci

lundi 7 octobre

REBECCA 20h 50 ARTE

Laurence OLIVIER / Maxime de Winter
Joan FONTAINE / Mme De Winter
George SANDERS / Jack Favell

Hitchcock !

Une jeune dame de compagnie, belle, timide et effacée, fait la connaissance à Monte-Carlo de Maxime de Winter, un riche et séduisant lord anglais, qui a perdu sa femme Rebecca dans des circonstances mystérieuses. Après s'être marié, le couple s'installe en Angleterre, à Manderley, dans un somptueux château où tout le personnel, régenté par la redoutable et solitaire intendante Mme Danvers

j'hésite entre Arte avec Rebecca ou France Ô avec la déchirure.Je vais laisser le mari choisir:sifl: 

ode a écrit:

France Ô avec la déchirure 

la déchirure

Roland Joffé / Réalisateur Sam Waterston / Sydney Schanberg, Haing S Ngor / Dith Pran , John Malkovich / Al Rockoff


En 1975, Sydney Schanberg, correspondant du New York Times au Cambodge, est assisté par un jeune reporter autochtone, Dith Pran, qui lui apporte une aide des plus précieuses. Lorsque les Américains quittent le Cambodge, Schanberg parvient à faire embarquer la famille de Pran dans un avion de rapatriement. Pran, quant à lui, décide de rester afin de couvrir les événements. Les deux hommes assistent à l'entrée des Khmers rouges dans Phnom Penh, et sont témoins de leur terrifiante cruauté

verdict tombé   le mari a choisi France Ô
j’aime tout ce qui touche, au Cambodge, Vietnam..
j'epsère que l'on ne sera point déçu

donnerai mon avis demain

j'ai déjà lu des témoignages ou récits sur les Khmers rouges cela m'intéresse

Ode a écrit:

j’aime tout ce qui touche, au Cambodge

mercredi 9 octobre

à ne pas manquer ! ARTE 20h 40 ou 20h 50


Avec Rithy Pan, cinéaste cambodgien, à l’occasion de la diffusion sur Arte ce mercredi 9 octobre de "L’image manquante", film de 2013 prix Un certain Regard à Cannes

Sculptées face à la caméra, les figurines très expressives ont le pouvoir de réveiller la mémoire comme dans un rituel. Commenté par une voix-off parlant à la première personne, le film se présente comme une quête où l’histoire personnelle du cinéaste se double de la recherche de la photo introuvable d’une exécution. N’arrivant pas à mettre la main sur cette image, Rithy Panh comprend qu’il faut accepter le fait que certaines images doivent manquer toujours, l’enjeu du cinéma étant alors de les inventer.
.

"Mon enfance, je la cherche, comme une image perdue. Ou plutôt, c’est elle qui me réclame. Est-ce parce que j’ai 50 ans ?"

Ce passé qui remonte comme une vague trop forte, c’est la vie brisée d’un jeune Cambodgien de 13 ans, qui en quelques mois, sous le régime des Khmers rouges, voit disparaître la plus grande partie des siens et survit en côtoyant quotidiennement la mort et l’horreur dans des camps de travail. Mais c’est aussi le bonheur tranquille anéanti par le génocide, "le monde d’avant, de la musique, de la douceur, de la famille", dont le souvenir n’est pas moins dangereux pour qui l’a irrémédiablement perdu. Ces images qui brûlent dans la mémoire ? le crime de masse, la maison familiale à Phnom Penh ? demeurent à jamais introuvables dans la réalité. Alors le cinéaste narrateur les fait revivre à sa manière.

Avec le talent d’un sculpteur, il fait naître sous l’œil de la caméra personnages, décors et accessoires de glaise, puis les peint avec minutie

, Rithy Panh parvient à évoquer, avec une émotion puissante et toujours contenue ce qui, pour tant de rescapés, demeure indicible : les souffrances vécues jour après jour, la douleur du survivant, l’amour pour ceux qu’on a perdus. Contrepoint des images de propagande filmées par le régime, ses minuscules poupées d’argile, animées d’une étonnante humanité, restituent toute l’inhumanité des quatre années de terreur khmère rouge.

j'ai donc regardé la déchirure, film inspiré de faits réels.
Très beau film mais certains passages sont un peu durs lorsque l'on voit ces pauvres cambodgiens mutilés ..
L’assistant du journaliste américain s'est sacrifié pour son ami , je veux dire par là il a refusé de partir avec sa femme et enfants .Il est resté près du journaliste américain.Mais lorsque les khmers rouges ont obligés tous les cambodgiens à quitter le bâtiment américain, le journaliste et ses copains ont tout fait pour que Dith Pran, l’assistant soit des leurs mais malheureusement il a du rejoindre les khmers rouges , fut prisonnier.
Mais grâce à sa force de vivre et de retrouver sa famille il s'échappe...
De son côté le journaliste américain fait tout en son pouvoir pour retrouver Dith..
beau et long film

mercredi je regardais sur France 2

15 jours ailleurs avec Didier Bourdon. Cela parlait du burn out..Très beau film et Didier joue très très bien.

lors de nos vacances cet été, il y avait à l'hôtel un couple de belges dont le femme souffre de burn out.
pas évident comme maladie, elle a un drôle de regarde.0.un regard fou

lors du débat on disait que le burn out était très présent en France.

revoir l'image manquante un film marquant sur le cambodge et les khmers rouges

c'est ici