Marc Lévy

Page 250: fin du livre.

Les 75 dernières pages, nous sommes dans mon salon... Réalisme et beauté se confondent...

Après quelques lectures de critiques, je me rends compte qu'un ouvrage de Marc Lévy est à part, même salué par certain de ses détracteurs (c'est le premier que j'avais lu).

Mais celui si, "Et si c'était vrai" même s'il est un ton en dessous est tout de même l'un des meilleurs livres que j'ai lu ces deux dernières années (il y en a peut-être trois ou quatre que j'ai trouvé mieux).

Je comprends son succès. Succès qu'il ne doit pas à ses images belles mais simples, pas à ses dialogues aux répartis parfois cinglantes mais à un tout et surtout à une vraie profondeur de ton dans le dernière tiers de l'histoire.

Je pense aussi que Marc Lévy, de même que d'autres auteurs (Classiques et poètes reconnus quand à eux) parle avant tout à notre sensibilité mais là où il triomphe par rapport aux autres, c'est qu'il ne rend pas ce sentiment élitiste par des images très fines au vocabulaire recherché, par des dialogues aux références plongées en une culture encyclopédique...
Quiconque écoute avant tout son coeur et a une certaine culture peut se laisser entrainer au cours de quelques heures en un ailleurs où miroitent bien des beautés... accessibles...

Bien entendu que l'histoire du fantôme est fantasque mais l'essentiel n'est pas là... Nous voilà, êtres sensibles, buvard d'une trame formant plus qu'une histoire...

Justement, ici en Amérique il fait cette semaine une forte sortie contre les critiques littéraires français.

http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/201006/14/01-4289953-lecrivain-marc-levy-fustige-les-pseudo-litteraires.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_arts_244_accueil_POS2

«Le mot roman de gare, ou le mot roman de plage, font partie de ce vocabulaire utilisé par les pseudo-littéraires du milieu»,

Citation :

«Roman d'été, c'est un truc qui donne bonne conscience parce que ça permet aux gens qui se prennent très au sérieux mais qui ont quand même envie de parler un peu des livres qui se vendent, de dire: ça, c'est dans la catégorie roman de l'été»

«Il faut, à l'heure du multimédia, arrêter de laisser croire qu'un livre qui sort en septembre est nécessairement plus intelligent qu'un livre qui sort en mai ou en décembre»,

L'écrivain qualifie ce comportement d'«hypocrite». «Aujourd'hui on est en train de reconnaître l'importance de l'oeuvre de Frédéric Dard. Mais ce sont les mêmes qui, il y a 10 ans, disaient que les San Antonio étaient des romans de gare. Aujourd'hui (Georges) Simenon est dans la Pléiade... vous voyez ce que je veux dire!»,
«La critique parisienne n'aime pas les écrivains populaires»,

La charge est populiste dans la mesure où il critique ceux qui, lucides, démontent ses "artifices de charlatan", à ce que je comprends.

Je suis tout à fait d'accord avec rotko. Pour avoir lu Et si c'était vrai et feuilleté d'autres de ses "romans", j'en suis venu à penser que c'était vraiment lamentable comme écriture et comme intrigue. Sans parler des passages ultra-pédants (dans lesquels Levy nous assomme à coup de vocabulaire technique - ou considéré comme tel), les trois quarts des péripéties sont prévisibles : franchement y a t-il un lecteur qui ait douté qu'Arthur et Lauren tombent dans les bras l'un de l'autre à la fin ? Quant aux personnages, ils sont d'un réalisme ! Tous sont d'énormes clichés ambulants que l'ont ne blâmerait pas dans un téléfilm bas de gamme mais qui ici sont totalement ridicules. Je ne résiste pas à donner deux extraits syntaxiquement affligeants :
«Quand il lui demanda comment connaissait-elle son prénom, elle répondit qu'elle était déjà là bien avant qu'il n'emménage.»
«C'est pendant qu'on calcule, qu'on analyse les pour et les contre, que la vie passe, et qu'il ne se passe rien.»

Marc Levy:

Citation :

"Je travaille avec l'envie de progresser de roman en roman"

Encouragez-le sur l'Express où il dialogue avec des internautes

cela peut paraître idiot, mais ces personnages, je passe tant de nuits blanches en leurs compagnies, qu'ils finissent par entrer dans ma vie.

Je viens de lire, parce qu'on me l'a offert, Le premier jour. Franchement, je ne lirai pas la suite, même si on me l'offre ! Je me suis ennuyée ; j'ai trouvé les ficelles très grosses, le style plat avec des clichés à chaque page ou presque. J'avais lu avec amusement Si c'était vrai, consciente cependant que ce n'était pas là une oeuvre qui me marquerait. J'ai oublié le titre du second roman paru mais, déçue, j'étais décidée à ne pas récidiver.

J'ai lu une fois un de ses romans, "Et si c'était vrai". J'ai eu l'impression de regarder un mauvais téléfilm américain à la télé !
Mal écrit, pas intéressant, j'ai du mal à comprendre l'engouement du public pour cet auteur...

Je n'ai jamais lu ce type.

En lisant le commentaire en lien, je me dis que j'ai bien fait.


Les remarques sont-elles pertinentes ?

En tout cas, les extraits cités sont impressionnants...de platitude !


http://www.slate.fr/story/27391/je-veux-ecrire-comme-marc-levy

J'ai lu "Mes amis mes amours" du cher Marc. Je me suis ennuyée et comme le souligne notre amie Nyrcle j'ai aussi trouvé les ficelles très grosses.

Il n'y a aucune réflexion, aucun rythme. Bref, on lit une histoire qui passe toute seule et qui se digère assez bien. Aucune réflexion ni à l'écriture, ni à la lecture. C'est sûr que tout le monde peut comprendre l'histoire. "Aujourd'hui, j'ai mangé une pomme et un magnum. Pendant que je dégustais mon magnum, mon voisin passa l'arme à gauche"...

Bon, puisqu'on parle tant de ce monsieur je veux bien être gentille et lui laisser une deuxième (et dernière) chance et lire un deuxième de ses "romans".
Je suis bien curieuse de voir ce que ca peut donner.

Euh dîtes moi, il n'y a personne de la famille de Marc sur ce forum ? Non ok merci. Ca va alors.
C'est plus un... homme d'affaires qu'un écrivain.

Vu les titres de ses bouquins, ca ne m'étonne pas qu'il vende. C'est accrocheur. "mes amis, mes emmerdes mes amours", "7 jours pour une éternité", " A demain ou à jamais", "... (ok ok j'e xa gère).

Ps : désolée pour mes écarts. C'est sorti tout seul. J'avais oublié le fil des micro-nouvelles.

Wala. Vous m'en voulez pas trop ?
Promis, SI quelqu"un me prête un livre de Monsieur Levy je le lirai.

Histoire de me faire plein d'amis - ici -, je suis en train de lire Le Premier Jour de Marc Levy.
Si ce ne sont les premières pages avec une erreur chronologique, le livre est rapidement entrainant et ... au risque ... de véritablement étouffer sous vos marques d'affection, je pense qu'une des marques d'un "bon" écrivain est de savoir captiver ses lecteurs.
Là, je n'ai pas envie de m'arrêter, si je m'écoutais, je ferais une nuit blanche et c'est rare. Combien d'écrivains que l'on dit "incontournables" m'endorment dès une dizaine de pages.
Après, je suis peut-être un mauvais lecteur....

C'est un peu comme une des marques d'un "bon" professeur. Le bon professeur est avant tout celui qui saura le mieux captiver son auditoire, celui qui, le cours une fois terminé, aura marqué un maximum d'esprit, lesquels, en sortant, continueront la leçon.

J'avais ainsi un professeur d'histoire économique. Il avait une telle façon de parler et d'exposer ses dires que, en sortant du cours, j'avais toute la leçon en tête et que, naturellement, j'y faisais toutes les associations avec les leçons précédentes...
Et, plus intéressant encore, quand je repensais au cours, c'était avec la voix de ce professeur que tout me revenait en mémoire.


Et bien, ce que je trouve de "grand" en Marc Levy (en tous cas, des trois ouvrages que j'ai pu lire), c'est un peu cela.
On peut ne pas l'aimer en trouvant son style facile, je le trouve au contraire dynamique et terriblement vivant (notamment sa façon de traiter les dialogues); ses histoires trop romanesques mais... certains d'entre nous ont vécu des histoires plus belles encore, vivent une histoire plus belle encore...

On a tendance à voir dans l'existence une petite vie routinière que, telle une courageuse fourmi, on mènera au mieux, à s'en contenter, à penser que certains "miracles" n'arrivent que dans les livres et pourtant, pourtant...
A qui savent garder serrer contre leur coeur cette possibilité d'un instant apparu, savent que pour eux, la réalité qui se dessine alors, dépasse le plus beau des rêves.

Je devrais dormir depuis une bonne heure mais comme je sais que vous l'aimez tous, je n'ai pas pu m'empêcher de vous faire partager un savoureux passage.

Les personnages pour que vous compreniez:
- Keira: l'amour de jeunesse d'Adrian (il y a 15 ans)
- Adrian: celui qui s'exprime à le première personne
- Walter: un vieux collègue devenu ami par la force des choses avec Adrian, amoureux depuis des années d'une standardiste dont il ose à peine approcher.

La scène se passe au petit matin à Londres, après que Keira et Adrian se soient retrouvés (la veille au soir, par hasard) et que Keira soit repartie; ils vivent dans deux pays différents (France-Angleterre) et Keira va repartir en Afrique pour des fouilles (elle est archéologue) donc relation impossible; Walter étant alors venu voir un Adrian bien triste.

Pendant que je me préparais une tasse de café, Walter monta au premier "aérer la chambre", avait-il dit en grimpant l'escalier. Il redescendit quelques instants plus tard, la mine réjouie.
- Finalement, j'ai quand même une bonne nouvelle pour vous, enfin, le temps nous dira si elle est si bonne que cela.
Et il brandit fièrement le collier que Keira portait la veille.
- Ah, surtout ne dites rien, enchaîna-t-il, si vous ne savez pas à votre âge ce qu'est un acte manqué, alors votre cas est encore plus désespéré que le mien. Une femme qui laisse un bijou chez un homme ne peut avoir que deux intentions. La première, qu'une autre femme en fasse la découverte et l'agrémente d'une belle scène de ménage; mais maladroit comme vous l'êtes, vous avez dû lui répéter au moins dix fois qu'il n'y avait personne dans votre vie.
- Et la seconde? demandai-je.
- Qu'elle compte revenir sur les lieux du crime!
- L'idée qu'elle soit distraite et l'ait simplement oublié ne vous semble pas plus simple? dis-je en lui reprenant le collier des mains.
- Oh ! que non, une boucle d'oreille passe encore, une bague, admettons, mais un collier avec un pendentif de cette taille là... ou alors vous m'avez caché que votre amie était myope comme une taupe, ce qui, en un sens, expliquerait comment vous avez pu la séduire.


Je trouve cet extrait savoureux, rien de lourd, rien d'expéditif, chaque mot est tout simplement là où il se doit et, dans les réparties, Marc Levy fait vraiment merveille.
Bonne nuit.

Voilà, la dernière page du Le Premier jour est tournée (mais il y a une suite, un second tome).

Mon avis ?

Hum... finalement plutôt mitigé.

Les deux premiers livres que j'ai lu de lui sont très beaux mais celui-ci est différent, peut-être cela tient-il au fait qu'il s'essaie au roman d'aventure de 500 pages, je ne sais...

Dans la première moitié du livre, on est captivé par l'histoire et son style d'écriture, au plus proche de l'être fait merveille mais... patatrac, voilà que la magie s'efface dans la seconde moitié où une certaine monotonie dans l'histoire s'installe.
A la page 480, je me dis que je ne vais pas acheter la suite, à la page 488, je me dis que si finalement (les presque dernières pages sont touchantes) mais, la dernière page tournée, le doute me reprend.

Le livre aurait dû s'arrêter à la page 489 et je resterai sur l'envie de poursuivre ma lecture mais, à la page 496, mon envie est sérieusement douchée.

Au final, un roman qui s'inscrit dans la ligne du Da Vinci avec des personnages plus attachants mais une intrigue moins bien ficelée.

J'ai beaucoup aimé et si c'était vrai...
par contre vous revoir,j'étais contente de retrouver les personnages principaux,mais je n'ai pas retrouver la même magie que et si c'était vrai...

Je prend souvent à contre pied la popularité d'un livre ou d'un auteur.
Alors que l'on ne parlait que d'Harry Potter, j'ai attendu la sortie du 4e pour commencer à lire la saga ,
alors que Et si c'était vrai faisait un grand bruit, je n'ai pas suivi le mouvement et découvert par hasard Marc Lévy dans un Relay avec Sept jours pour une éternité. J'ai adoré. C'est le genre de roman agréable qui apporte sourire et détente...
Et comme je ne fais jamais les choses à moitié quand j'ai un coup de cœur, j'ai lu les 4 premiers Harry Potter en une semaine, et me suis procuré les premiers Lévy, et depuis je suis au rendez-vous.
Je les ai tous lu. Excepté le dernier, Le voleur d'ombres, par manque de temps. C'est léger, mêlant un peu de fantastique, amour et amitié. Souvent la même recette. Mais, au fond, on passe un bon moment.
Mes préférés : La prochaine fois et Toutes ces choses que l'on ne s'est pas dites.
Ceux que j'ai le moins aimé : Où es-tu et Et si c'était vrai ?. Pour ce dernier, peut-être est-ce du au fait que j'ai lu Vous revoir avant, sans savoir que c'était la suite.
Quant aux Enfants de la liberté. C'est un peu l'exception. C'est différent du "Marc Lévy" qu'on aime, léger et à l'eau de rose. Il touche à une part de l'histoire de sa famille, à l'Histoire, et est plus cru.
J'ai eu la chance de pouvoir interviewer Marc Lévy pour la sortie de La première nuit et j'avoue qu'il est à l'image de ses "héros" : simple, léger, séducteur, avec une touche d'humour.

On dénigre souvent "cette" littérature, que ce soit Marc Lévy ou Guillaume Musso. Tout ce qui est populaire devient persona non grata, que ce soit en musique, au cinéma ou en littérature. On peut aimer la grande littérature, les classiques, et Marc Lévy.

Voici un extrait de la critique que j'avais rédigé pour la sortie de La fille de papier de Guillaume Musso. Cela explique un peu mon propos.

" Comme chaque auteur qui rencontre un « trop » grand succès tels les Meyer, Lévy, Gavalda ou Pancol, Guillaume Musso est critiqué : « trop » de bons sentiments pour un style d’écriture « trop » simpliste. On aime les étiquetages : « auteur à succès », « auteur commercial », « auteur populaire », « auteur à midinettes ».

Pourtant, comme souvent, la critique est en décalage avec la popularité que rencontre une œuvre. Le public aime Musso. Pour la pointe de fantaisie, de science-fiction, de suspens, chez les uns. Pour l’optimiste, l’histoire d’amour ou des intrigues bien ficelées, chez les autres. Musso, c’est un style simple, assumé et apprécié. Aynoah lit aussi bien des grands romans classiques que Guillaume Musso, et assume : « je trouve que les ficelles de l’histoire ont beau ne pas être très originales, la mise en œuvre m’a agréablement surprise et j’ai trouvé malgré tout le livre assez prenant et agréable. Ça n’est pas de la grande littérature, mais un bon livre de détente, et pourquoi pas, un minimum de réflexion sur le sens de la vie en général ». « Je pense qu’aimer lire signifie aimer lire de bons livres. S’ils sont best-sellers ce n’est pas pour rien non plus... », conclut Oriane sur le même forum.Une simplicité qui est donc loin de rimer avec médiocrité pour ces lecteurs. "





Sur ce, je retourne à mon Douglas Kennedy ;-)

Citation :

Je prend souvent à contre pied la popularité d'un livre ou d'un auteur.

Pourquoi pas ?

Chacun est libre de ses lectures et de ses interprétations. Après tout, vous pouvez raffoler d'un homme sans aucune envergure, ou d'une fille banale à souhait, cela ne regarde que vous.

Toutefois il arrive que des lecteurs outrepassent le domaine du simple avis pour mettre sur un piedestal un auteur mediocre, ainsi promu dans une echelle d'excellence.

Je veux dire par là que chacun prend son plaisir où il veut, que Coelho peut vous faire réfléchir, mais que le situer parmi les penseurs ou philosophes de notre temps serait quand même imprudent.

rotko a écrit:

Je veux dire par là que chacun prend son plaisir où il veut, que Coelho peut vous faire réfléchir, mais que le situer parmi les penseurs ou philosophes de notre temps serait quand même imprudent.

Tout à fait d'accord avec vous.
D'ailleurs, comme je l'expliquais j'ai du mettre bien 10 ans avant de lire L'Alchimiste (et encore : on me l'a offert!) et je n'ai pas compris pourquoi ce livre a connu un tel succès.

L'objet de mon post était à double sens. D'un côté je prends toujours du recul avant de lire des livres à succès.
D'autre part, j'avoue ne pas comprendre que dès qu'un livre est populaire, il est cassé par les amateurs de littérature.
Un livre peut être plaisant sans être de la grande littérature. De là, à le mettre sur un piédestal, il y a un monde.

j'avais lu un livre de lui, il ne m'en est resté aucun souvenir. On m'a prêté très récemment l'étrange voyage de monsieur Daldry j'ai mis plusieurs jours à le lire et je n'y ai pas pris un plaisir intense. Cet écrivain ne me donne pas à réfléchir. J'ai lu les différents posts du fil.... les avis sont partagés. Je crois que je n'ai pas d'avis ! personnellement, je prends connaissance du récit, rien ne m'accroche. Je ne suis pas assez "savante" pour dire si c'est un bon ou mauvais auteur, sa syntaxe est parfois... mauvaise, ça me gêne, j'apparenterais volontier ce livre à un roman à l'eau de rose, mais cela n'engage que moi. bref, je n'en lirai pas d'autre.
mais quel était le titre du premier bouquin que j'ai lu ?
de quoi parlait-il ?

Nestor a écrit:

1

C'est un nouveau jeu ?

Euh... 2 ???

non, c'est un truc pour repérer les fils quand je fais une fusion de deux fils sur le même sujet.
bonne soirée, et tranquillise-toi, je raisonne encore sainement

Nestor a oublié de causer en bleu Luca

il a fusionné des posts tout simplement

Ouais... ben à mon âge, il ne faut pas me faire des trucs comme ça, hein !
Du coup, j'ai pris double dose de mes gouttes du soir.
J'en prendrai moins demain matin. Ce ne sont pas les mêmes mais ça équilibrera quand même, d'une manière ou d'une autre.

Moi j'ai plus ou moins aimé, M.L. il a une plume qui a tendance à me souler quand je le lis =s. Enfin sa dépend du livre, Et si c'était vrai je l'ai adoré, La Prochaine Fois j'ai même pas réussit à lire la moitié, Vous revoir j'ai trouvé que c'était trop il aurait pas du faire une suite à Et si c'était vrai... Mes amis, mes amours j'ai pas aimé du tout non plus, Toutes ses choses qu'on ne c'est pas dîtes j'avais adoré mais malheureusement j'avais pas eu le temps de le finir, Le premier jour j'étais plongé dedans (au point d'en verser ma ptite larme ^^'') et je suis en train de lire Sept jour pour une éternité mais jsuis un peu déçue jm'attendai à se qu'il soit un peu plus ... bisar ^^''

Marc Levy sera le président du Salon du livre de Québec qui se tiendra du 10 au 14 avril en 2013.

il n'y avait personne d'autre ?

Les enfants de la liberté (Laffont, 2007), septième roman de Marc Levy sur la résistance au nazisme, paraîtra en bande dessinée le 25 septembre chez Casterman avec la complicité du dessinateur et coscénariste Alain Grand.

je regarderai les images, faut voir sur pièces.

il n'y avait personne d'autre ? a écrit:

Rotko
z'étaient tous malades comme des bêêêtes !!! Lévy avait mis un laxatif dans leur potage pour être sur d'être le seul en lice !