Faulkner, Sanctuaire

Je ne comprends à nouveau plus

Spoiler:

de même pour moi, Mimi, et j'ai la chance de l'avoir trouvé en Français, en espagnol je l'aurai laissé tomber. Et encore on s'entraideét je pense que Rotko se creuse un peu la tête lui aussi. Pour le moment c'est le plus difficile que j'aie trouvé.

et encore j'arrive vers la p 300 et Faulkner n'arrête pas de brouiller les pistes.....

et pour moi ,incompréhensible Scène..

Spoiler:

Mimi, tu lis avec la vitesse de l'éclair, moi je vais continuer maintenant, j'en suis au moment où Horace fait des enquêtes sur Temple disparue.

Chap XVII >XX Repères

Spoiler:

Pas de doute, on est pris par l'histoire. Horace Benbow m'apparaît sympathique au milieu de ces baptistes bien-pensants et sans charité.

Chap XXV On enterre un certain Red.....Qui est-il? mystère et boule de gomme........Encore un tour de passe -passe à la Faulkner.

Oui Rotko, on est pris dans ce livre, et dans cette histoire

mimi54 a écrit:

Bref, il faut que je relise ces passages.
Car en effet, il faut souvent lire entre les lignes, et être attentif.....10 lignes de relâchement, et on loupe un truc !!!

aucun relâchement possible ! je suis bien d'accord avec toi.
Finalement, je suis assez contente de l'avoir déjà lu, et de vous suivre en le relisant, bien plus facile, surtout avec l'aide de Rotko.
Un roman touffus et confus, mais j'ai vraiment pris plaisir à le lire, malgré toutes ses zones d'ombres.

Horace Benbow est bien le seul personnage sympathique de cette histoire. Celui qui se bat pour la vérité.

J'ai recommencé à lire des chapitres du livre, je ne trouve pas où l'on voit Popeye tuer le rat les pages de mon livre ne correspondent pas avec celui de Rotko.
Pour Mimi

Spoiler:

C'est dingue l'importance des yeux dans ce livre !

Suzanne a écrit:

C'est dingue l'importance des yeux dans ce livre !

l'eau, l'élément liquide également

Suzanne a écrit:

J'ai recommencé à lire des chapitres du livre, je ne trouve pas où l'on voit Popeye tuer le rat les pages de mon livre ne correspondent pas avec celui de Rotko.
Pour Mimi

Spoiler:

ça y est, je viens de le lire !!!!!

Spoiler:

bravo Mimi !

Suzanne a écrit:

je ne trouve pas où l'on voit Popeye tuer le rat les pages de mon livre ne correspondent pas avec celui de Rotko.

petit épisode mais qui montre bien le style de Faulkner : au lecteur de comprendre. on ne le voit pas, on le déduit

Fin chap XIII p. 130

 Popeye retira la main de la poche de son veston.

Pour Temple, assise parmi les cosses de coton et les épis de maïs, cela ne fit pas plus de bruit qu’un craquement d’allumettes, un claquement bref, étouffé, se refermant sur la scène jouée, sur l’instant révolu…

Popeye se penchait hors de la porte, tenant derrière lui, le long de sa cuisse, son revolver qu’il essuyait d’un geste délicat contre la jambe de son pantalon..

Cf.Chap II p.32
Tommy raconte l’histoire du chien abattu (le sien !)

 qui vient lui renifler les talons, comme ça se fait […] il a sorti son ortomatique et il l’a abattu raide comme balle.

Un pauv’vieux cabot qu’aurait fait de mal à une puce s’il avait pu

rotko a écrit:

Fin chap XIII p. 130

 Popeye retira la main de la poche de son veston.

Pour Temple, assise parmi les cosses de coton et les épis de maïs, cela ne fit pas plus de bruit qu’un craquement d’allumettes, un claquement bref, étouffé, se refermant sur la scène jouée, sur l’instant révolu…

Popeye se penchait hors de la porte, tenant derrière lui, le long de sa cuisse, son revolver qu’il essuyait d’un geste délicat contre la jambe de son pantalon..

Je pensais qu'il avait

Spoiler:

Y a t-il une évocation flagrante de l'état dans lequel se situe l'action?

mazel a écrit:

Horace Benbow est bien le seul personnage sympathique de cette histoire. Celui qui se bat pour la vérité.

Pourtant il me semble trainer pas mal de mystère derrière lui. Pourquoi a-t-il quitté sa femme ? Quelles relations a-t-il avec sa belle-fille ?


Puisqu'on en arrive à Red, j'avoue ne pas avoir vraiment compris l'intérêt de ce passage...

mimi54 a écrit:

Y a t-il une évocation flagrante de l'état dans lequel se situe l'action?

Je suis la reine des nouilles, il me suffit de regarder où est Memphis !!!!!
Franchement, des fois...je ne me reconnais pas moi même

mimi54 a écrit:

Y a t-il une évocation flagrante de l'état dans lequel se situe l'action?

D'après ce que j'ai lu c'est dans l'état du Mississipi, le comté de Lafayette appelé " Yoknapatawpha dont la ville principale serait Jefferson" par Faulkner
Moi aussi je me suis posé la question

Merci

p325 enfin je sais qui est Goodwin.........patience, vous le saurez bientôt

Ah ce Mr Faulkner, un vrai pro de la cachoterie

En tout cas, les amis, même si ne n'ai pas encore tout à fait fini, mais ça y est presque, merci d'avoir insisté sur ce titre en particulier, je serais sans doute passée à côté d'une très belle oeuvre littéraire.

J'ai chez moi,Si je t'oublie Jérusalem, et c'est sur que je le lirai, même si ne n'est pas tout de suite, avec déjà un premier bain de pris dans ce style qui vaut le détour

Voilà, j'ai fini.
Je laisse donc la nuit faire son oeuvre, voir peut-être même le week-end,pour relire quelques passages clés avant de rédiger mon avis.
J'espère pouvoir écrire quelque chose d'assez digne de ce livre et du plaisir que j'ai pris à le lire, même si à un moment j'affirmais l'inverse......roman noir, sujet difficile, mais lecture fascinante.... qui marque......définition d'un coup de coeur.

Bonne fin de lecture à vous autres

Luca a écrit:

mazel a écrit:

Horace Benbow est bien le seul personnage sympathique de cette histoire. Celui qui se bat pour la vérité.

Pourtant il me semble trainer pas mal de mystère derrière lui. Pourquoi a-t-il quitté sa femme ? Quelles relations a-t-il avec sa belle-fille ?


Puisqu'on en arrive à Red, j'avoue ne pas avoir vraiment compris l'intérêt de ce passage...

il me semble qu'au bout d'un certain nombre d'années vivre auprès de sa femme lui était intolérable... vu le motif invoqué (les crevettes), je pense qu'un jour, il en a eu assez... et à tout plaqué.
Pour sa belle fille, vaguement l'impression qu'il en était épris...

mazel a écrit:

Pour sa belle fille, vaguement l'impression qu'il en était épris...

Je me suis malgré tout demandé si son engagement auprès de Goodwin n'était pas plus à imputer à quelque chose de malsain entre eux qu'à une quelconque générosité, ne serait-ce qu'en pensée : il défendrait Goodwin pour se disculper lui-même à ses propres yeux...

À plusieurs reprises il fait allusion à se belle-fille sans jamais finir sa pensée.

Saura-t-on le sens du titre Sanctuaire ?