Lectures de Mai

Astazie a écrit:

j'ai fini l' ombre du vent

les avis sont assez contrastés sur ce fil.. On attend tes impressions

toujours dans l'attente de ma commande, après Falaises de Olivier Adam je poursuit une nouvelle aventure de Hap et Léonard, Tape-cul.
il me restera Tsunami Mexicain pour finir la série des compères de Lansdale.

Hier, je ne sais trop pourquoi, Denis Diderot m'a tendu "Le neveu de Rameau". Jean-François Rameau dit à un moment (page 126-Edition GF Flammarion) : "Rien de stable dans ce monde. Aujourd'hui, au sommet ; demain au bas de la roue. De maudites circonstances nous mènent ; et nous mènent fort mal". Nul doute que nos "philosophes" produiront d'intéressants commentaires sur les évènements actuels. Esprit et étendue ; je pense, donc je suis, etc... ou comment provoquer une catastrophe humaine par un instant d'égarement. C'est à la fois effarant et révélateur.

Je viens de finir La part des chiens de Marcus Malte et je me plonge dans Les dames de Paulilles de Nicole Yrle dite nicyrle

Mile a écrit:

Hier, je ne sais trop pourquoi, Denis Diderot m'a tendu "Le neveu de Rameau". Jean-François Rameau dit à un moment (page 126-Edition GF Flammarion) : "Rien de stable dans ce monde. Aujourd'hui, au sommet ; demain au bas de la roue. De maudites circonstances nous mènent ; et nous mènent fort mal".

Très belle citation, Mile

Finalement, j'accroche beaucoup à L'Âge de raison de Sartre, que je finirai aujourd'hui ou demain.

Natalia a écrit:

Je viens de finir La part des chiens de Marcus Malte

alors? tu n'as pas l'air emballée plus que ça.

Et bien je réserve mon commentaire vois-tu, je vous attends Albert et toi ...j'avoue avoir beaucoup apprécié Le doigt d'Horace du même auteur

j'attends encore ma commande!!!

Mile a écrit:

"Le neveu de Rameau". Jean-François Rameau dit à un moment (page 126-Edition GF Flammarion) : "Rien de stable dans ce monde. Aujourd'hui, au sommet ; demain au bas de la roue. De maudites circonstances nous mènent ; et nous mènent fort mal".

C'est aussi chez Balzac, un auteur qui montre en peu de temps la grandeur et la décadence de ses personnages.

A mon avis, il tient ce parcours, non des Latins dont on cite toujours "la roche tarpeienne proche du capitole", mais de Shakespeare, toujours actuel, à tel point qu'un prof de journalisme considérait que c'était la meilleure lecture pour ses étudiants.

CF. mon royaume pour un cheval etc. Tout est dans Shakespeare.

terminé Grands détectives n'ont pas froid de Kyotaro Nishimura - agréable pastiche

terminé Le jour qu'on a tué le cochon de Robert Marteau - excellent...

abandonné Sur le zinc : Au café avec les écrivains de Joris-Karl Huysmans, Franz Bartelt, Antoine Blondin et Raymond Queneau - ennuyeuses nouvelles...

je commence ce soir : L'armée furieuse de Fred Vargas

Je viens de commencer un roman qu'on m'a prêté en m'en disant le plus grand bien. Il s'agit de Quelques adieux de Marie Laberge, auteure du Québec publiée en France par Anne Carrière. Il paraît que la trilogie Le Goût du bonheur a remporté en France un vif succès. Vous connaissez ?

Entre le "Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes" de Rousseau et une introduction à la pensée de Kant, j'ai réussi à placer - pour la détente - "Le retour à Tipasa" d'Albert Camus. C'est beau comme a pu l'être Ithaque aux yeux d'Ulysse.

nicyrle a écrit:

Je viens de commencer un roman qu'on m'a prêté en m'en disant le plus grand bien. Il s'agit de Quelques adieux de Marie Laberge, auteure du Québec publiée en France par Anne Carrière. Il paraît que la trilogie Le Goût du bonheur a remporté en France un vif succès. Vous connaissez ?

IL est complètement inconnu pour moi, j'attends ton avis

Citation :

Entre le "Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes" de Rousseau

lecture qui m'avait enchantée en première

Natalia a écrit:

Citation :

Entre le "Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes" de Rousseau

lecture qui m'avait enchantée en première

Vite passer en seconde sinon le moteur prend trop de tours/minute. Ah ! ces conductrices !!!! Femme au volant ; mort au tournant.

J'ai terminé L'Âge de raison de Sartre, sur lequel je posterai.

Et j'ai commencé Stello d'Alfred de Vigny

Le retour à Tipasa, un de mes grands coups de coeur parmi d'autres car tous les livres de Camus m'ont plu !
Quant à L'âge de raison, je me souviens qu'en son temps, je l'avais apprécié sans pour autant que j'en conserve un souvenir inoubliable ; j'ai préféré Les mots, La nausée ou Le mur et surtout le théâtre : Les mains sales, Les séquestrés d'Altona.

J'ai commencé Les frères Karamazov .

Rah, j'ai hâte de rentrer en France ne serait-ce que pour avoir ma bibliothèque sous la main. J'ai envie de lire du Camus ou du Cohen. Cela dit Dostoïevsky ce n'est pas mal non plus.

Tu le lis en édition Babel ? J'ai pas réussi à dépasser le premier tome

Là, je lis Le véritable Saint Genest, de Rotrou,; du théâtre dans le théâtre, j'aime bien

Non je n'ai que l'édition livre de poche sous la main. C'est dommage car la traduction chez Babel est meilleure.

Rotrou a l'air pas mal, en effet. Quant à Dostoïevski, je l'ai en Folio Gallimard, mais la taille me rebute un peu - ce sera pour plus tard

Moon a écrit:

Non je n'ai que l'édition livre de poche sous la main. C'est dommage car la traduction chez Babel est meilleure.

pour le même livre il y a des traductions différentes?
je ne savais pas si c'était le cas.

Oui, et pour Dostoïevski, la traduction de Markowicz est souvent recommandée

Je viens de fini Les dames de Paulilles de Nicole Yrle... une fois la dernière page tournée j'ai regretté de laisser ces femmes merveilleuses. Mon petit billet bientôt

Je commence L'homme qui tombe de DeLillo

besta a écrit:

pour le même livre il y a des traductions différentes?
je ne savais pas si c'était le cas.

En gros, chaque édition possède une traduction différente, sauf quand l'une d'elle fait autorité (Borel pour Robinson Crusoe, Nerval pour Faust, souvent François-Victor Hugo pour Shakespeare...).

terminé L'armée furieuse de Fred Vargas... bien aimé et malgré tout un peu déçue.

commencé Les fantômes de Breslau une enquète d'Eberhard Mock de Marek Krajewski
polar historique dans la Pologne de 1919.