et darabesque conquise aussi
Hier soir j'ai fait écouter quelques morceaux à mon compagnon, il a eu les larmes aux yeux et extrème compliment il l'a même comparé à Ferré c'est dire ! Du coup lui qui ne lit pas de romans noirs il m'a dit " cet été tu penses à emmener au moins un de ses livres "
J'suis trop forte
Au fait comme Poèmes aux peuples arabes en révolte est coupé sur la première page je vous indique le lien vers le site officiel c'est chez nicri
Le texte je vous le mets ici peut-être cela donnera t il aux passants l'envie d'écouter et fouiner sur le site
POèME AUX PEUPLES ARABES EN REVOLTE
Paroles & Musique Christian
RouxCa commence par un murmure, une sensation
Une brise tiède qui froisse les feuilles
Ca pourrait presque naître d'un souffle, de la buée des lèvres
Mais il faut qu'un homme brûle
Il faut qu'un homme brûle
Et que des femmes meurent sous les balles
Des femmes et des hommes, alors, se donnent la main,
Tuez-nous, disent-ils, tuez-nous, nous avons si faim et vous êtes si gros!
Tuez-nous tous et restez les maîtres muets d'un désert sans âme!
Mais il faut qu'un homme brûle
Il faut qu'un homme brûle
Et que des femmes meurent sous les balles.
Ca commence comme une lettre envoyée au monde
C'est très concret, maintenant,
Ca dit faim, toit, travail et ça crie liberté liberté liberté
Ce vieux mot qu'on croyait mort et qui renaît sans cesse
Mais il faut qu'un homme brûle
Qu'un autre grille à 30 000 volts
Et que des femmes meurent sous les balles
Intifada de Sidi Bouzid, révolte de Tahir
Les dirigeants tremblent, tous les dirigeants
On le croyait mort lui aussi, le peuple, mais est là, il vit, son cœur bat
Et dès qu'il éprouve sa force, il voit combien elle est immense
Mais il faut qu'un homme brûle
Qu'un autre grille à 30 000 volts
Et que des femmes meurent sous les balles
Les dirigeants tremblent et les démocraties hésitent,
La France, mon pauvre pays aux étendards moisis
Propose d'aider la force d'Etat, comme partout, comme toujours,
Mais le peuple arabe hurle plus fort qu'elle
Et sa voix de fausset va mourir dans les poubelles de l'histoire
Ca commence par un murmure, une sensation
Une brise tiède qui froisse les feuilles
Ca pourrait presque naître d'un souffle, de la buée des lèvres
C’est comme une lettre envoyée au monde
C'est très concret, maintenant,
Ca dit faim, toit, travail et ça crie liberté liberté liberté
Ce vieux mot qu'on croyait mort et qui renaît sans cesse, comme le peuple
Mais il faut qu'un homme brûle
Qu'un autre grille à 30 000 volts
Et que des femmes meurent sous les balles
Ca commence par des femmes et des hommes qui se donnent la main
Et c'est beau comme un algèbre réinventé
Une équation de la liberté, la plus simple du monde : 1+1= deux
Et puisse jamais un i se glisser entre ces deux-là
Mais hélas il faut qu'un homme brûle
Qu'un autre grille à 30 000 volt
Et que des femmes meurent sous les balles
Ô vous frères arabes qui avez tant souffert
Et sœurs arabes qui souffrez encore tant
Ô vous femmes et hommes unis dans le courage de dire "Non"
Ô vous, indignés de chair et de larmes
Qui rendez à tous les peuples de la terre leur dignité
A tous les peuples de la terre la force de dire Dégage !
Merci Merci Merci
J'ai hâte de voir l'adaptation de La bannière était en noire et aussi hâte de le lire ( manque à ma collec' ) Et j'aivu que Kadogos et Braquages sont en cours d'adaptation aussi Vivement