Romain Gary

hé bé non, ma Lointaine, c'est ce que nous te disons tous ! tu es très à l'aise avec la langue française. Tu pourrais en remontrer à beaucoup de français, même !

pour Ysandre: tu sais combien j'aime la France, et la langue Française: Depuis mon plus tendre âge j'avais été séduite par les chansons, celles qui avaient une mélodie tandis, qu'aujourdui c'est du bruit seulement genre rock etc... Pour moi deux idoles un Français Aznavour et un Argentin Gardel qui comme on dit" chaque jour chante mieux"

Gros-Câlin de Romain Gary (Emile Ajar) au théâtre,

m.s. Bérangère Bonvoisin, jusqu’au 22 décembre, 19 h. Théâtre de l’Œuvre, 75009.


En 1974, Romain Gary publie à 60 ans son premier roman sous le pseudonyme d’Emile Ajar : Gros-Câlin (Folio). C’est le nom que donne un modeste employé célibataire au python qu’il a rapporté d’Afrique, où il était parti en voyage organisé. L’employé fantasme ses rapports avec une collègue guyanaise, qui s’appelle Melle Dreyfus en hommage au capitaine du même nom, et il va aux «bonnes putes».

Le livre débute au Jardin d’acclimatation, comme une nouvelle de Cortazar et, comme elle, on ne peut l’imaginer sans le Paris de ces années-là, celui des Trente Glorieuses et des hommes de bureau à l’imagination rentrée.


le sujet ?

Citation :

Le python, certes. Mais surtout les anneaux que le texte déploie autour de lui et en lui, comme s’il fabriquait et digérait, de digression en digression, sa propre matière. L’anneau de solitude. L’anneau de tendresse. L’anneau d’amour. L’anneau du manque d’amour. L’anneau du fantasme. Et, après et avant tout, l’anneau de littérature, souris avalée vivante, cœur battant du sujet.

libé dit tout !

J'ai lu un deuxième livre de cet auteur, la vie devant soi et j'ai adoré aussi. J'ai encore à lire les fameuses racines du ciel.  

J'ai lu,moi aussi "Gros Calin", mais pour moi l'inoubliable "la vie devant soi" qui pourrait oublier Momo, et madame Rose?
J'ajoute aussi l'admiration que j'ai pour l'homme Gary, sa vie, ses luttes son engagement pour les causes justes et sa fin douleureuse. Un de mes auteurs les plus célébrés.

Souvent les lectures sont semées d'embûches, des déceptions, des énervements. Mais aussi, on découvre un auteur et là c'est la révélation. Ensuite, on lit ses autres oeuvres, et c'est le bonheur, Romain Gary fait partie de ceux là.