Romain Weingarten, La mort d’Auguste, Flammarion
A la fois jeu de cirque entre trois personnages Auguste, Loyal, et Rubis, la femme de ce dernier, cette pièce en est aussi la parodie et l’apothéose. Le public est pris à partie, témoin complice et bienveillant de tableaux poétiques comme de culbutes farcesques.
Sous la présidence de Bergson qui téléphone à tout bout de champ, on fait un tour au pays du comique et de la fantaisie.
Le soin apporté par Weingarten à la gestuelle, et aux indications de mise en scène fait de la mort d’Auguste une pièce désopilante où le langage prend tous les tons.