tuerie des dauphins aux Iles Feroe au Danemark

En effet tout est bien.

Citation :

R.-A. Kursner nous a apporté des élements nouveaux, et c'est bien

Merci à vous deux car je crois que nous nous égarions ....à force de vouloir arrêter les boucheries de tous genres nous avons peut-être oublié que tout peut s'expliquer ....

->Marie chevalier

Rotko a bien compris ce que je voulais dire. Je ne visais personne et surtout ne souhaitais vexer personne.
C'est juste qu'on reçoit tous des quantités d'infos par e-mail ou autres et qu'il est parfois plus simple de les relayer ou de les prendre pour ce qu'elles sont sans tenter d'en vérifier la validité. Rien n'est tout noir ou tout blanc. J'apprécie lorsque l'on nuance les choses ou on les recontextualise. Cela vaut pour tout sujet.

-> Rotko

Je n'ai pas dit que les messages à destination des autorités étaient inutiles, mais alors il faut s'adresser aux bonnes autorités
(et je ne chipote pas Marie chevalier: Les affaires féringiennes - les Féroé n'étant notamment pas dans l'UE, je le rappelle - ne regardent pas le Danemark pour bon nombre de domaines).

je crois avoir été claire en vous remerciant tous les deux.

je fais partie des gens qui reçoivent des fichiers et qui sotte comme je suis ne vérifie rien et hop ! en voiture Il faut peut-être arréter là s'il te plait car chaque post que tu mets en remet une couche et devient vexant à la fin
je sais Rotko
la pensée unique mais bon

je vais non réviser sur les îles feroe, mais combler mes lacunes !
bonne soirée à vous.

Bonne soirée à tous. J'espère que l'on aura l'occasion de se reparler sur d'autre sujets de ce forum (moins sensibles).

A bientôt

tu es le bienvenu

c'est vrai que des films comme le marché de la faim nous secouent et nous rendent très sensibles à notre conduite face aux animaux.

Ce n'est pas par hasard que ceux qui travaillent dans les abattoirs ont des troubles psychologiques. J'avais vu dans ce film des scènes insoutenables.

Merci

rotko a écrit:

Citation :

"Pensée unique", c'est quand quelqu'un livre une info plus ou moins bien ficelée et que tout le monde reprend en choeur sans chercher à analyser plus avant ladite info...

Il s'agit d'une bonne definition de la pensée unique, sans que quiconque ici soit visé.

R.-A. Kursner nous a apporté des élements nouveaux, et c'est bien.

Bien je n'ai rien vu de nouveau. Quant à la définition de la pensée unique donnée par R.A. Kursner et entérinée par Rotko...

Merci de nous prendre pour des cons !
Mais nous ne sommes pas les seuls :

http://www.dauphinlibre.be/feroe.htm
En 1981 : GreenPeace
Des pétitions

Ici ou ailleurs. Je ne rajouterai rien car si j'emploie le mot "Je" je ne rapporterai les idées qu'à mon point de vue, ce que je ne souhaite pas faire, j'essaye toujours d'avoir une vision large, tant faire se peut, je ne suis qu'un être humain.

On a vu le cas pour la corrida, la personne défendant la corrida est venue et blahblahblah.

Ok vive les tueries en tout genre, mais je vous laisse dans votre monde !



:chap:

Parler des animaux est toujours un sujet sensible et subjectif car il touche à l'affect.

Nous sommes nombreux à avoir été élevés avec un chien, un chat, un poisson ou que sais-je et nous les connaissons assez pour savoir qu'un animal est fait de chair, de sentiments (eh oui !), d'intelligence et même d'humour (!).

Puis, même en admettant la théorie réductrice qui en fait des machines, ils ont des nerfs, comme nous, donc souffrent de la même façon.

Nous sommes impliqués à des degrés divers dans leur vie.

Sur la pensée unique, je dirais que les défenseurs des animaux sont loin d'en avoir le monopole !

Bien au contraire, les tortionnaires ont le pouvoir !

Les gros lobbys industriels (abattoirs, organisateurs de corridas, laboratoires...) détiennent cette pensée.

Des propagandes efficaces et nauséabondes pour justifier le pire.

R.-A. Kursner, ton érudition sur le sujet ne justifie toujours pas la cruauté.

Langage de la culture face au langage du coeur.

Espérons qu'un jour, le coeur gagnera.

Espérons qu'un jour, le coeur gagnera.
que cette phrase est réconfortante et j'adhère complètement.

Arc a écrit:

R.-A. Kursner, ton érudition sur le sujet ne justifie toujours pas la cruauté.

Langage de la culture face au langage du coeur.

Espérons qu'un jour, le coeur gagnera.

Encore une fois, je ne cherche en rien à justifier la chasse dont il est question. Je m'emploie juste à mieux comprendre ses motivations.

En fait, ce qui m'agace, c'est que beaucoup s'offusquent de ce genre de chasses et ce sont les mêmes qui mangent du foie gras, ne regardent pas si les oeufs qu'ils consomment proviennent de poulets élevés en batterie etc. (je ne vise personne de ce forum en particulier). On pourrait encore citer ceux qui ont un aquarium ou une perruche en volière. Bref, j'ai beaucoup d'exemples. Les comportements contradictoires sont légions.

A mon sens, si l'on veut vraiment être crédible dans la protection animale, il faudrait d'abord adopter le végétarisme.

Nous sommes quelques- uns ici à avoir protester contre le spectacle et les tueries , rien à voir avec la façon dont on doit se nourrir
ton argument est celui de ceux qui essaient de convaincre que nous ne sommes pas meilleurs que les autres car nous osons manger du poulet
c'est transposer le sujet
nous parlons tueries collectives avec manifestations festives et voyeurismes des autres .
volontairement tu essaies de nous faire comprendre que nous ne valons pas mieux que ces tueurs
c'est du réchauffé tous ces arguments !
chaque échange sur ce sujet se termine invariablement par le pauvre petit oeuf que l'on mange sans penser à sa mère c'est lassant à la fin
sur ce j'arrête de parler sur ce fil
car ces conversations me fatiguent, elles sont trop répétitives et se ressemblent tellement dans les arguments justificatifs de la boucherie organisée que ça m'écoeure.
ce n'est plus un échange là tu ne lâches pas l'os que tu as trouvé c'est différent.

R.-A. Kursner, si tu parcours le forum, tu retrouveras les mêmes personnes (celles qui te répondent présentement) dénoncer le foie gras ou l'instrumentalisation des animaux "domestiques"ou les abattoirs.

Tu parles à des gens déjà engagés et au fait des pratiques barbares.

N'oublions pas de mentionner la mafia des labos.

Parallèlement à tout ça, des gens se bougent.

Diversement.

Aucun effort n'est à rejeter.

PS : Je n'ai jamais bouffé un morceau de foie gras de ma vie car je SAIS ce qu'il y a derrière...

On milite ou on ne milite pas.

marie chevalier a écrit:

Nous sommes quelques- uns ici à avoir protester contre le spectacle et les tueries , rien à voir avec la façon dont on doit se nourrir
ton argument est celui de ceux qui essaient de convaincre que nous ne sommes pas meilleurs que les autres car nous osons manger du poulet
c'est transposer le sujet
nous parlons tueries collectives avec manifestations festives et voyeurismes des autres .
volontairement tu essaies de nous faire comprendre que nous ne valons pas mieux que ces tueurs
c'est du réchauffé tous ces arguments !
chaque échange sur ce sujet se termine invariablement par le pauvre petit oeuf que l'on mange sans penser à sa mère c'est lassant à la fin
sur ce j'arrête de parler sur ce fil
car ces conversations me fatiguent, elles sont trop répétitives et se ressemblent tellement dans les arguments justificatifs de la boucherie organisée que ça m'écoeure.
ce n'est plus un échange là tu ne lâches pas l'os que tu as trouvé c'est différent.

Marie Chevalier, Je ne sais pas si tu lis mes messages avant de rédiger les tiens.

Je me cite (quelques posts plus haut) :

"Marie chevalier, je te donne raison sur le fait que l'on est quelque part dans un spectacle de mise à mort. C'est indéniable. Je t'avoue que j'ai du mal à cautionner cet aspect-là."

"Je ne fais pas l'apologie de la chasse aux globicéphales."

"Encore une fois, je ne cherche en rien à justifier la chasse dont il est question."

C'est clair, non ?

je propose une pause dans ce dialogue.

J'avais déja noté hier soir que le ton montait inutilement, et que l'echange devenait un affrontement stérile.

je rappelle une maxime du forum :

Citation :

Une table conviviale pour parler des livres, des spectacles, et goûter aux plaisirs des mots

.

Sur GDS* on aborde tous les problèmes, y compris les plus sensibles, encore faut-il que cette liberté d'expression se fasse dans la sérénité.

C'est mon point de vue et je l'assume.

C'est un peu bizarre ce type de discussion sans arrêt recommencée.

On en revient toujours au même type d'arguments et le type qui dit "moi j'ai rien contre la corrida ni pour" se fait traiter d'horrible ennemi de la Vie, tandis que les défenseurs de la cause animale prennent les accents les plus mélodramatiques, parlent de génocide et de camps de concentration aviaire les doigts dans le nez, tout en admettant qu'ils mangent parfois du saucisson, contraints en cela, comme si leur vie en dépendait, par une société conditionnée au meurtre animal.

Qui dira les pensées d'une crevette grise s'asphyxiant hors de sa flaque, se tordant de douleur dans l'eau bouillante, appelant sa mère et.... Quoi, une crevette grise n'appelle pas sa mère ? Qu'est ce que vous en savez ? Le Boudhisme, dans sa grande sagesse, dit qu'il vaut mieux, si on ne peut s'empêcher de se repaître de cadavres, supprimer la seule vie d'un boeuf dont la chair nourrira une centaine de personnes plutôt qu'une centaine de crevettes qui n'en nourriront pas une. Vous ne croyez pas en la réincarnation ? Moi non plus, hélas.

Je vis à la campagne avec tous les animaux domestiques qu'on peut imaginer, du poney au poisson rouge en passant par le chien, le chat, les poissons d'aquarium, les oiseaux dans les champs, les tégénaires à la fenêtre et j'en oublie. J'ai beaucoup de tendresse pour le monde animal, et les poulets de basse cour que j'ai tués, je les ai fait souffrir le moins possible. Mais ils souffrent tout de même, c'est la vie, c'est la mort.

Je finis par haïr ces documentaires d'Arte dans lesquels on voit de jolies quinquagénaires remontant une rivière africaine et expliquant à voix basse devant la caméra comme on a eu des difficultés avec la population locale pour réintroduire des gorilles sur tel ou tel territoire en voie de déforestation. Trois nègres* (j'emploie ce terme à dessein) en costume de garde chasse expliquent avec un phrasé que ne négligerait pas une pub ancienne ya Bon Banania comme ils sont contents de mettre au service de la dame anthropologue leur savoir de pisteur millénaire et à quel point sont ignorants des problèmes de survie de la Planète leurs congénères quasi-préhistoriques qui ne pensent qu'à brûler le peu de bois qui reste ou a bouffer du singe roti.

La caméra ne montre pas, évidemment, les bidonvilles des pêcheurs qui survivent sur l'île, les cadavres des enfants morts de méningite ou de suite de chiasse, ou d'empoisonnement aux métaux lourds divers, qu'on aligne au bord du port, au petit matin. Non, la caméra s'arrête sur le dos d'un vieux singe argenté. Extase. On va relâcher deux jeunes qui tambourinent dans leur cage, couvés par le regard amoureux des dames à singe.

C'est bien, les subventions qu'on a obtenues du fond de sauvetage des espèces en voie de disparition. Bien, mais toujours insuffisant, hélas. Demain, ce sera les éléphants. Après demain les tortues des îles Dilamigos, les ours des Parapathes ou les serpents de Zonzibie. Qu'ont donc besoin tous ces gens de tuer si sauvagement des espèces que nous autres blancs avons décidé de protéger ? Déjà qu'ils déforestent à donf, nous privant de médicaments actuels et futurs pour nos sidaïques et cancéreux, faut pas pousser quand même!

Quoi, c'est pour l'humanité entière, les bienfaits des forêts équatoriales, les médicaments contre le sida ? Ah bon, alors, le nègre ne fait pas partie de l'humanité. Il est vrai qu'il est con, tue par superstition maligne les derniers beaux animaux sauvages. Le nègre n'est pas une espèce en voie de disparition, non plus que l'esquimau qui taquine la baleine ou croque le phoque. L'homme est mauvais par essence, heureusement que l'homo ecolo blanco est une espèce supérieure dominante.

Les amis hypersensibles des bêtes ne m'énervent pas quand ils ne traitent pas les autres te tortionnaires pour un oui pour un non. Ceux qui s'offusquent de la souffrance animale quand on tue pour manger pourraient avoir la pudeur et l'honnêteté de ne pas manger, eux, de chair animale qu'ils n'aient eux même engraissée ou vu dépecer devant leurs yeux, ou, au moins, ne pas se charger de donner aux autres de leçons de bien penser en ce domaine.

Voilà, je vous quitte, j'ai un gros chat en daube qui mijote au coin du feu, et je ne voudrais pas gâcher la sauce.

Voila pourquoi, il est bon d'avoir des avis différents et de ne pas crier au loup sans écouter les interlocuteurs.

Sphynx souligne à juste titre que nos valeurs - qu'il ne s'agit pas de renier à chaque coin de rue, ne sont pas pour autant des valeurs universelles.