O Neige, et autres poèmes

Mes salutations!

C’est avec un immense plaisir que je vous annonce
La parution récente de mon recueil de poèmes
Intitulé « L’envol de l’Épervier » par André
Labrosse.

Pour obtenir mon recueil de poèmes, je vous invite
Cordialement à vous diriger vers ce lien :

http://www.mille-poetes.com/Librairie_Poesie-001.html

Je suis un poète québécois dont le rêve devient réalité.
Venez partager ma passion de la poésie!

Au plaisir!

André, épervier.
Site de poésie: http://epervierlepoete.iquebec.com

Tendresse


L’amour chéri, l’indomptable amour,
L’adoration de ton regard émouvant.
De la sagesse, une beauté, un discours.
Volupté, un corps troublant, scintillant.


Gentillesse dans une démarche somptueuse.
Un écran où la beauté fulmine en extase.
Douceur d’un toucher, des mains rieuses.
Du charme à profusion, emphase.


Un adieu déchirant, des yeux pleureurs.
Maintenant un souvenir , douleur pensive.
Des nuages sérieux dans mon pauvre cœur.
Désolation, des larmes pénibles, dérive…


Image atroce, yeux fermés à l’impossible.
Reviens-moi! Douce tentation de la vie
Dans l’attente d’un toucher indéfectible.
L’espoir, un soleil, tendre défi.


André, épervier.

Voilà qui est écrit, et qui se laisse lire
Joli copié-collé, en style un peu cucul
Il faut noircir papier, alors on fait le pire
Ce mois-ci, le beau recueil s'est-il bien vendu ?

Epervier, as tu lu ce qu'ecrit houllebecq dans le forum poesie initerrompue ?

rappelle -toi Rimbaud dans "un coeur sous une soutane" on lui disait

Citation :

c(est suave, c'ést suave !

d'accord ! n'hesite pas a dire ton mot sur nos lectures

epervier a écrit:

Tendresse


L’amour chéri, l’indomptable amour,
L’adoration de ton regard émouvant.
De la sagesse, une beauté, un discours.
Volupté, un corps troublant, scintillant.


Gentillesse dans une démarche somptueuse.
Un écran où la beauté fulmine en extase.
Douceur d’un toucher, des mains rieuses.
Du charme à profusion, emphase.


Un adieu déchirant, des yeux pleureurs.
Maintenant un souvenir , douleur pensive.
Des nuages sérieux dans mon pauvre cœur.
Désolation, des larmes pénibles, dérive…


Image atroce, yeux fermés à l’impossible.
Reviens-moi! Douce tentation de la vie
Dans l’attente d’un toucher indéfectible.
L’espoir, un soleil, tendre défi.


André, épervier.

:| Tout ce qui rime, hélas, n'est pas poésie...Ce serait trop facile...La poésie est un Art...N'est pas artiste qui veut...Je trouve cela un peu présomptueux de parler de poème(sur l'autre fil annonçant la parution de vos "poèmes")...

J'aime trop la poésie...J'ai un peu de mal à trouver ce texte poétique, j'ai un peu l'impression que vous vous êtes donné du mal pour que vos vers riment et j'ai surtout du mal avec les expressions que je copie-colle ci-dessous:

"L’amour chéri....
un corps ... scintillant.
Gentillesse dans une démarche somptueuse
Un écran où la beauté fulmine en extase
Du charme à profusion, emphase.
Des yeux pleureurs
Des larmes pénibles
Toucher indéfectible"

Si, globalement, on perçoit ce que vous avez voulu exprimer...et c'est beau de l'avoir fait...tout ceci me semble encore maladroit, à perfectionner....Vous avez de la chance d'être déjà édité! ...

Ce que j'ai toujours trouvé touchant, par contre, c'est de lire les mots d'amour ou d'humour que les uns ou les autres viennent déposer sans prétention sur un forum ...Que de belles surprises parfois!

"Je suis un poète québécois, 59 ans, qui adore la poésie."

"Toute ma vie j'ai su m'entourer de mots merveilleux à accomplir sur une feuille blanche"

"Le rêve, l'imagination offrent aux mots l'expression incroyable de ce que l'on peut exprimer dans des sentiments émouvants pour l'auteur."
(Epervier)

O Neige!
Neige blanche, patinoire vitrée.
Arbres dessinant des monstres gelés.
Aucun vent , de la froidure impénitente.
Des mouvements sournois en détente.
Des cris perçants, nature en bataille.
Des loups piégeant un chevreuil sous la paille.
La nature maîtrise sa force naturelle
Implacablement dans un infaillible appel.

Neige rouge, le sang coule avec effroi.
La bête gît immobile au terrible froid.
La chair se découvre sous un ciel en fureur.
On déchire, on grogne et voilà le coeur...
La forêt se tait, les carnivores décharnés
S'empiffrent d'une viande bien réchauffée.
Ciel rougi de honte, la meute se repose enfin
Eloignant à ce jour une excessive faim.

Neige noire, nuit apaisante dans un doux murmure.
Les oiseaux diurnes scrutent d'autres déchirures.
Silence satanique, on circule dans une frigidité
Où les os se cassent et les proies transies et gelées
Absorbent le glaive givré dans un écho mortuaire.
Les victimes vidangent leurs corps en des cris vulgaires
L'hiver, ce monstre glacial perce les âmes glutineuses
Dans un désarroi où la mort devient bienheureuse.

Neige bleue dans une encre effaçant les couleurs indignes.
L'Archange chasse le malheur, trace de belle lignes
Dans un ciel d'amour, doux patinage, décor de pureté.
Tout s'engloutit, le malheur est figé, bâillonné
Dans un épais foulard réchauffsant un corps admiratif
Où la gloire majestueuse des sapins en un portrait décisif
Offre l'apaisement d'une saison mystérieuse et divine
A l'approche difficile d'un printemps rempli d'épines.
Epervier

Le voleur poétique.-

Je vole l’hypocrisie, la dérision de l’humain.
Je l’enterre dans l’insuffisance de nos esprits.
Mains liées, je prie avec douleur et mélancolie.

Je dérobe l’insatisfaction d’une bêtise maladive.
L’incompréhension de comprendre l’amour véritable.
Un désir funeste m’entoure, la peine chagrinée.

Je fauche l’imbécillité dans une expression sarcastique.
Le déplorable affichant un sourire dégoûtant.
Une chasse voulue, giberne avide et maligne.

Je filoute avec sagesse l’être méprisant.
L’éloignement désiré, atmosphère embaumée..
Le corps respire sans haine provoquée.

Je cambriole l’atrocité dans une beauté fabuleuse.
Un bonheur inégalé, l’expression sensible d’un amour.
Je marche sur un tapis doucereux, bonheur total!

Je gravelle un désir chassé de plaire tout simplement.
Un partage d’amitié dans une harmonie complète.
Je chasse le vent l’emprisonnant dans un bel écrin.

Je vole… pour mieux m’envoler … et pourquoi pas!
Le sublime d’une plume à décrire l’extase.
Je vole pour mieux apprécier mes désarrois.

Et l’oiseau s’en va, satisfaction partagée…

André,épervier

Tu me fais songer à Quignard quand tu dis ceci, Epervier:

Citation :

Je vole pour mieux apprécier mes désarrois.

Ce qui fait déjà 3 oiseaux dans notre volière, j´en oublie un?
Quignard, c´est le vautour qui tourne au dessus de la vallée:
"J´épie, je guette, j´examine. Je tourne en rond comme un vautour autour du bout de vallée qui est le mien pour en examiner sans cesse le site" ( extrait d´un entretien sur www.lire.fr).
Ces lents cercles concentriques sont une manière de voir et de comprendre, de loin, mais prêt à foncer s´il y a lieu de rectifier rythme et parcours.

epervier devrait mettre un avatar de son choix...on pourrait aussi créer un fil poetique sur les oiseaux en poesie ininterrompue ou ailleurs c'est à voir...

L’attente.-

Vieillir,
Souffrir,
Des rires.

Se dandiner,
Se balancer,
Rêver.

Faiblesse,
Sommeil,
Pénibilité.

Noirceur,
Titubation,
L’horreur.

Courbature,
Lassitude,
Errance.

Béatitude,
Nonchalance,
Divagation.

Repose-pied,
La douleur,
Déficience.

Un jour,
Des jours,
Et plus rien…

André,épervier.

Merci Swallow,

J'ai appréciél lien du site.
J'ai visité, très intéressant.

André,épervier

Salutations Rotko,

Comment insérer un avatar?

André,épervier

epervier a écrit:

Comment insérer un avatar?

Tu pourras mettre ton avatar en suivant les indications : ici

Comme d´habitude, Utopie, tu t´es très bien expliquée.

Bonsoir Swallow,

J'essaie de m'exprimer le mieux possible.
La poésie me donne cette chance d'enjoliver les
mots, de les habiller et de rendre un écrit à sa
juste valeur.

André,épervier

L’enfant au tambour
Petit jeune homme à la recherche de la vie,
Ton monde est vaste d’intelligence et d’harmonie.
La terre est peu à ton univers fertile de richesse.
Le bonheur t’inonde mais l’adulte te blesse…

Ton sourire d’enfant est franchise et pureté.
Tu sembles dire : « Laissez-moi vivre dans la théâtralité! »
Société implacable qui étouffe ton imagination,
L’univers t’appartient malgré tes douloureuses actions.

Tu as droit à l’existence, à ce rire angélique
Et non à des incompris qui te pensent diabolique.
Solitaire dans tes jeux, tu respires la vitalité.
Tu crées un monde à la mesure de ta créativité.

Ne désespère pas! Un jour, tu seras homme
Dépassant la petitesse d’un gnome…
La vie sera ton bel étendard
Et l’avenir, un fabuleux départ!!!

André,épervier

2007

Jour premier, le ciel pleure sa nostalgie.
Le grisâtre habille nos corps fatigués.
L’espoir de plusieurs lendemains éblouit
Où l’insaisissable désespoir déraciné.

Une téléviseur déambulant des paroles désordonnées.
De l’écriture pour apaiser l’effroyable déroute.
Tout prêts, chaleur animale, esprit apaisé.
Le silence absurde se cachant sous une voûte.

Le pourquoi de la vie, l’éternelle question.
Le fameux mépris, le cœur fort ému.
Rappel d’un passé, véritable malédiction.
L’échéance d’une vieillesse, applaudissement déçu.

Et l’on continue, détresse non rêvée.
La tranquillité, le manifeste des mots.
Vivre, continuer à vivre, odieuse chasteté.
Respirer pour survivre sans écho.

Déjà un livre clos, le pareil d’une vie.
La pluie coule l’indifférence de l’instant.
Rideau insensible, l’interminable défi.
Le sommeil, douleur de l’enfant…

André,épervier

La Majesté.-

La beauté animale dans son expression humaine.
De la noblesse, de l’amour vrai avec partage.
Sans hypocrisie, de la justesse, franchise.
Quatre pattes sur un sol incertain, véridique.
Cependant un frottement, un museau sentimental.
De la joie, le contact merveilleux, le calme.
La bête suit son maître pour plaire, satisfaire.
La vérité concrète d’un attachement sans borne.
Aucune parole mais un partage évident.
Je bénis ces instants, les caresses sincères.
Satisfaction illimitée, un sourire partagé.

S’entourer sans malice, s’abreuver de l’animal.
Rendre ce respect, l’action sublime, appréciation.
Oui, ma bête, je t’adore et au diable l’humain!
Tu es mon inspiration, mon calme , ma vie.
Ce soir, je vais dormir en paix.
Tu es près de moi ronflant ton innocence.
Et demain, je partagerai ton bonheur
Car ta présence m’apaise, m’illumine…
Ton regard parle et je te comprends.
Ta gentillesse m’éblouit, les jours me caressent…
Ta compagnie, je l’adore au plus profond de mon cœur.

André,épervier.

Cantilène.-


Je pleure ma douleur étouffée.
Divagation, l’impossible retour.
Je me cherche sans discours.
Mon cœur rague sa destinée.

Je pleure pour me délivrer.
L’incapable, l’essoufflement.
J’ai mal, l’horrible dément.
Le secours, je suis dérouté.

Je pleure discrètement, vraiment.
En retrait, si possible, douleur.
La déchirure totale, l’horreur.
Le motus à travers mon sang.

Je pleure des larmes chagrinées.
Le ghetto absolu, le cœur émotionnable.
L’empreinte indescriptible, indéchiffrable.
Le détour, la fausseté rêvée.

Je pleure, lassitude, lassitude…
Donnez-moi la force d’arrêter.
Un repos de l’âme souhaitée.
Un sommeil, douce plénitude…

André,épervier

Touchante prière.-


Donnez-moi cette rose enflammée.
Tes bras délicieux, lèvres parfumées.

Donnez-moi la chance de rêver.
Ta peau appétissante, basanée.

Donnez-moi ce lit recroquevillé.
Nos deux corps essoufflés.

Donnez-moi l’amour sans fin.
La communion désirée, l’entrain.

Donnez-moi le bonheur de tes yeux.
Le sourire merveilleux, être chanceux.

Donnez-moi l’éternité, le sensuel.
Le désir immense, mille appels.

Donnez-moi le goût de vivre.
La parole consolatrice, survivre!!!

Donnez-moi vos mains chéries
Sur mes joues blessées, endolories.

Donnez-moi l’avenir de votre corsage,
Le long chemin de l’adage.

André,épervier.

"Entre oiseaux":
Epervier, sur ce même fil " Vos Productions, biffures et ratures", et sur le thème TENDRESSE, plusieurs d´entre nous, comme Rotko, Troglo ( et d´autres encore) ne se sont pas contentés de lire distraitement tes poésies, ils se sont penchés sur tes vers, leur prêtant toute l´attention qu´ils méritent.
Tu n´as toujours pas répondu à ce que t´ont dit ces amis de GDS.
Ceci est un Forum, les gens se parlent et se répondent, en toute confiance, car c´est aussi un endroit de rencontre et de partage et pas en sens-unique.

Smallow,

Je réponds le plus possible aux commentaires de mes poèmes
cependant j'irai voltiger vers d'autres poèmes sur ce forum
et contempler leurs écrits.

André,épervier

Cantilène.-


Je pleure ma douleur étouffée.
Divagation, l’impossible retour.
Je me cherche sans discours.
Mon cœur rague sa destinée.

Je pleure pour me délivrer.
L’incapable, l’essoufflement.
J’ai mal, l’horrible dément.
Le secours, je suis dérouté.

Je pleure discrètement, vraiment.
En retrait, si possible, douleur.
La déchirure totale, l’horreur.
Le motus à travers mon sang.

Je pleure des larmes chagrinées.
Le ghetto absolu, le cœur émotionnable.
L’empreinte indescriptible, indéchiffrable.
Le détour, la fausseté rêvée.

Je pleure, lassitude, lassitude…
Donnez-moi la force d’arrêter.
Un repos de l’âme souhaitée.
Un sommeil, douce plénitude…

André,épervier