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| | Le coeur cousu de Carole Martinez | |
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+11Laura C. mimi54 Bridget Jones Harelde roilyre index katie Constance nicyrle rotko Hibiscus 15 participants | |
Auteur | Message |
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Laura C. pilier
Nombre de messages : 45 Age : 41 Date d'inscription : 20/06/2010
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Mar 22 Juin 2010, 11:42 | |
| Dans un livre qui ne l'est pourtant pas j'ai trouvé assez comique le passage où le mari de Frasquita retombe à l'état animal et se croit être un coq. | |
| | | Cécile pilier
Nombre de messages : 467 Date d'inscription : 03/05/2007
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Mer 23 Juin 2010, 08:50 | |
| perso, j'ai bcp apprécié le style. J'aime lire comme on me raconterait une histoire merveilleuse et terrible le soir au coin du feu et nous transporterait dans une autre dimension. je suis d'accord avec Rotko, les formules imagées sont remarquables, fort à propos et contribuent à l'enchantement. | |
| | | rotko pilier
Nombre de messages : 69282 Date d'inscription : 26/12/2005
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Jeu 24 Juin 2010, 05:50 | |
| Carole Martinez a su coudre ensemble des épisodes variés :
burlesques avec des processions antagonistes, le Christ vs la Madone, héroï-comiques tendant ensuite vers la tragédie, avec la frénésie combative de José, le roi du poulailler, des instants historiques avec des révoltes, et des figures toujours bienvenues, comme celles de l’ogre et du traître, ou de la victime clairement désignée par son prénom (Martirio).
Car l’auteur sait intégrer dans la trame de son roman des ingrédients connus, à peine modifiés : La robe de mariée ouvre sur la représentation de tout un univers, comme le bouclier d’Achille dans l'Iliade, la jeune fille meneuse de révolutionnaires se souvient d’une photo culte de mai 68, la conteuse nocturne doit beaucoup à Schéhérazade, on trouve des échos du petit Poucet, tel tapis renvoie à une tapisserie de Lurçat (1), etc…
(1)Au centre d’un fond bleu nuit rayonnait un énorme médaillon rouge feu, plein comme un œuf de treillis déroulant leurs infinies ramures et leurs fleurs colossales ordonnées en miroir. Le pourtour crénelé du motif central, soleil de laine au contour mouvant, offrait à l’ entière une vibration proche de celle du tambour ou du battement de cœur. Oui quelque chose palpitait -une énigme un astre de feu - dans le ciel nocturne enclos dans un tapis par un ornementiste de génie.
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| | | rotko pilier
Nombre de messages : 69282 Date d'inscription : 26/12/2005
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Jeu 24 Juin 2010, 08:32 | |
| clic ! - Citation :
- - Il me semble qu'une tapisserie ou un mur ou même un bijou est un objet uniquement décoratif et un peu mince de substance si je n'y ai pas mis un soleil, des étoiles ou une lune.
Jean Lurçat. | |
| | | rotko pilier
Nombre de messages : 69282 Date d'inscription : 26/12/2005
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Jeu 24 Juin 2010, 08:38 | |
| clic ! - Citation :
- Déjà dans ses tentures, le thème du coq avait séduit Lurçat. Mais le coq n'était pour lui, jusque - là, qu'un prétexte décoratif, un amuse - coloriste. [...] le coq prend une force significative, une valeur à la fois symbolique et réaliste ...
Claude Roy. | |
| | | Harelde pilier
Nombre de messages : 7283 Age : 49 Localisation : Yvelines Date d'inscription : 18/09/2008
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Jeu 24 Juin 2010, 09:02 | |
| Curieusement, je me suis parfois ennuyé. J'ai trouvé un peu la seconde moitié du livre, des enfants à n'en plus finir...Puis l'errance dans le désert... J'ai un sentiment partagé pour ce livre. Sentiment qu'il m'est difficile d'expliquer : je l'ai beaucoup apprécié. L'écriture est belle, les images également, les personnages attachants, leur destinée peu banale... Et pourtant, je trouvais souvent le temps long. Inexplicable ! | |
| | | rotko pilier
Nombre de messages : 69282 Date d'inscription : 26/12/2005
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Sam 26 Juin 2010, 05:32 | |
| - Harelde78 a écrit:
- Curieusement, je me suis parfois ennuyé. J'ai trouvé un peu la seconde moitié du livre, des enfants à n'en plus finir...Puis l'errance dans le désert...
J'ai un sentiment partagé pour ce livre. C'est le livre d'une conteuse avec plusieurs épisodes cousus main, moi je suis resté sous le charme, sans m'y perdre car il y a des lignes directrices dans la trame du récit. La foule et les gens alentour, souvent représentés comme hostiles (jalousie, méchanceté) ou maléfiques, font qu’on craint pour nos personnages, d’autant que les « méchants » succombent toujours aux mêmes travers (l’ogre ou José le père). + de beaux passages comme celui-ci : p.313 - Citation :
- les mains des conteuses sont des fleurs agitées par le souffle chaud du rêve, elles se balancent en haut de leurs longues tiges souples, fanent, se dressent, refleurissent dans le sable à la première averse, à la première larme et projettent leurs ombres géantes dans des ciel plus sombres encore, si bien qu’ils paraissent s’éclairer, éventrés par ces mains, par ces fleurs, par ces mots..
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| | | nicyrle pilier
Nombre de messages : 5882 Age : 81 Localisation : Tout en bas, sous les orangers Date d'inscription : 05/02/2008
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Sam 26 Juin 2010, 08:16 | |
| Je suis également restée sous le charme d'un bout à l'autre, sans m'ennuyer une seconde. Mais j'adore les contes, une belle écriture me fascine et je trouve que l'auteur a réussi un beau tour de force en rendant très humains, donc proches de nous, des personnages de conte justement. | |
| | | mimi54 pilier
Nombre de messages : 550 Age : 55 Localisation : nancy Date d'inscription : 11/03/2010
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Sam 26 Juin 2010, 12:19 | |
| Mon avis enthousiaste :
Ce livre est sans cesse à la frontière du réel et du fantastique ; et c’est ce qui en fait sa richesse, sa magie.
L’écriture de Carole Martinez est un régal à lire : fine, émouvante, ciselée, précise. Tout comme son héroïne, elle réussi à faire avec les mots, ce que Frasquita réalise avec ses fils précieux : un récit à la fois émouvant, difficile et fantastique.
Il n’est pas aisé de résumé ce livre. La narratrice, Soledad, met en scène, bien avant sa naissance, sa famille dont le pivot est Frasquita Carasco sa mère, dans une Espagne archaïque, ancrée dans ses traditions et ses croyances. Les trois parties du livre constituent 3 périodes de sa vie bien distinctes : - De son entrée dans sa vie de femme et son « initiation » par sa mère Francisca avec une boite à couture et des prières que l’on se transmet durant la Semaine Sainte, à son mariage avec José et la naissance de 4 de ses enfants. - Sa longue traversée du désert, à travers l’Espagne après qu’elle eût été jouée et perdue par un mari rustre. - La naissance de la narratrice en Afrique du Nord
J’ai trouvé assez orignal cette narration « ante- natale, puisque Soledad n’apparaît pas avant les deux tiers du livre ; comme pour mieux souligner cette phrase : « Ma vie s’est jouée avant que je ne vienne au monde. N’est-ce finalement pas le cas de tout un chacun. Notre vie n’est le fruit d’un passé qu’on ne maîtrise absolument pas » p321 (édition brochée)
Quelle vie difficile que celle de ces femmes du 19ème siècle dans une Espagne ancrée dans ses traditions et son catholicisme. Le destin des femmes y est tout tracé : les rites d’initiation, le mariage auquel on n’échappe pas, les naissances qui sont plus de ressort de la bestialité que de la maternité. Carole Martinez a le mérite de l’écrire avec élégance et finesse sans rien n’enjoliver pour autant. Malgré cette vie pleine de difficulté, Frasquita, accepte telle une fatalité cette vie et ses avatars sans mot dire.
Le thème de l’héritage, est omniprésent dans ce roman .Pour preuve : « N’est-ce pas la douleur de nos mères que nous léguons depuis la nuit des temps dans cette boite en bois ? » p 323 Au-delà du symbole de cette boite à couture, l’auteur nous interpelle sur ce le fait que tout individu, inconsciemment, reproduit, génération après génération, un certain nombre de choses, de faits qui font nos difficultés profondes.
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| | | Ysandre pilier
Nombre de messages : 18014 Age : 121 Localisation : sud ouest Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Carole martinez Mer 30 Juin 2010, 08:35 | |
| - Mag à l'eau a écrit:
- J'ai interrompu ma lecture de Un Cœur cousu. Depuis le début s'alternaient les moments d'admiration de l'écriture de Carole Martinez et les moments d'ennui.
Descriptions trop longues ? personnages pas assez attachants ? (le père passant ses journées dans le poulailler, puis à faire de comptes est particulièrement dénué d'intérêt pour moi), manque de rythme ? Un peu de tout ça je pense, mais je suis comme Harelde un peu perplexe quand à mon manque d'intérêt pour ce roman. Mag, je suis un peu d'accord avec toi sur le manque de rythme de ce livre de Carole Martinez et quelques longueurs inutiles. Cependant je trouve qu'elle a cousu son texte comme on coud, à petits points délicats, en mêlant les couleurs de son pays à celles de son coeur. C'est un conte qui allie l'improbable avec le quotidien
Dernière édition par Lysandre le Mer 30 Juin 2010, 12:04, édité 1 fois | |
| | | rotko pilier
Nombre de messages : 69282 Date d'inscription : 26/12/2005
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Mer 30 Juin 2010, 12:01 | |
| Mettez vos impressions, quelles qu'elles soient, sur le fil de l'auteur.
Chacun a le droit d'exprimer son avis. Je trouve que des remarques comme les vôtres visent tout particulièrement les contes et les romans picaresques.
On suit les aventures avec plus ou moins d'empathie, telle est la loi du genre, avec les mille et une nuits ou les aventures de Gil Blas de Santillane pour donner des exemples. | |
| | | Ysandre pilier
Nombre de messages : 18014 Age : 121 Localisation : sud ouest Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: le coeur cousu de Carole Martinez Mer 30 Juin 2010, 12:07 | |
| Voilà, Chef Rotko, c'est fait. | |
| | | Bridget Jones pilier
Nombre de messages : 806 Age : 63 Localisation : Genève Date d'inscription : 09/03/2009
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Jeu 01 Juil 2010, 19:48 | |
| Quel roman fantastique, dans les deux sens du terme. Formidablement bien écrit et parcouru de surnaturel de bout en bout. Un véritable OVNI dans le paysage littéraire français d’aujourd’hui, où les Lévy-Musso-Gavalda-Pancol tiennent le haut du pavé et où les livres font généralement 120 pages écrit gros. J’adore la poésie de Carole Martinez, ce roman brode, chante, scintille sur 400 et quelques pages. C’est toutefois la première partie qui m’a le plus plu. La deuxième, les insurgés dans leur grotte, m’a paru un peu inerte et interminable. Et la troisième ressemblait davantage à une succession de nouvelles. J’ai adoré l’histoire de la visite de l’étrange Adélaïde, qui sourit comme on mord. Ou encore le chant divin d’Angela qu’on soupçonne d’être le messager du diable. Un roman qui fait penser à Cent Ans de Solitude, ainsi qu’au Manuscrit trouvé à Saragosse : la magie, le surnaturel, le destin inéluctable sont omniprésents. Il y a forcément un élément autobiographique dans cette fresque monumentale : - Citation :
- Car la Frasquita Carasco qui embrase ce roman picaresque, la femme trahie par son mari pour une histoire de coq était son arrière-arrière-grand-mère. Une affaire qui a marqué son enfance : «Une nuit, des voisines sont venues l'avertir que son mari l'avait jouée. Alors, pour ne pas payer la dette, elle a fui jusqu'en Algérie. Je la trouvais admirable mais je la voyais comme une victime.» Deux siècles plus tard, sa descendante lui a brodé un destin sur mesure.
Source: Bibliobs | |
| | | nicyrle pilier
Nombre de messages : 5882 Age : 81 Localisation : Tout en bas, sous les orangers Date d'inscription : 05/02/2008
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Jeu 01 Juil 2010, 21:39 | |
| - Bridget Jones a écrit:
-
Il y a forcément un élément autobiographique dans cette fresque monumentale :
- Citation :
- Car la Frasquita Carasco qui embrase ce roman picaresque, la femme trahie par son mari pour une histoire de coq était son arrière-arrière-grand-mère. Une affaire qui a marqué son enfance : «Une nuit, des voisines sont venues l'avertir que son mari l'avait jouée. Alors, pour ne pas payer la dette, elle a fui jusqu'en Algérie. Je la trouvais admirable mais je la voyais comme une victime.» Deux siècles plus tard, sa descendante lui a brodé un destin sur mesure.
Source: Bibliobs Cette part autobiographiqure très forte fait qu'on se demande justement si l'auteur de ce splendide premier roman saura en "inventer" entièrement un nouveau. Reste son écriture que je trouve belle et personnelle. J'attends avec curiosité sa seconde publication qui d'ailleurs tarde puisque celui-ci remonte à plus de trois ans. | |
| | | Aphrodite pilier
Nombre de messages : 1643 Date d'inscription : 05/01/2010
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Lun 05 Juil 2010, 18:53 | |
| Désolée, j'arrive peut-être un peu tard pour donner mon avis. J'ai beaucoup aimé ce livre. Cela dit, j'ai trouvé que la première partie traînait un peu en longueur. J'ai commencé à accrocher au livre à partir du chapitre sur "Angela". Comme la souligné Nyrcle, il y a sûrement une part autobiographique dans ce roman; je pense aux relations qu'entretiennent les différents personnages, l'ambiance du village etc... "La Maria", "La Blanca", tout cela fait très rural. Le paysage est en effet bien dépeint. Tous ces personnages sont dotés d'une sensibilité à fleur de peau, toujours en état "d'éveil". Je noterai cela page 121 : "La nuit, il arrivait que, pendant son sommeil, il poursuivît les calculs commencés dans la journée". Je note aussi le prénom d'une des filles de Frasquita, Clara, d'où la clarté. J'ai souligné deux passages qui m'ont interpellés : "La présence des hommes, le souffle des chevaux blancs d'écume, leur pas tranquille rassuraient les enfants. Jamais encore ils n'étaient montés sur de telles bêtes" (page 246). Page 249 : "Plus tard, tu m'as enjambé et quelque chose s'est emparé du carnet que j'avais encore dans la main". ... Bon, j'ai PEUT ETRE les idées mal placées. J'arrête ou ca va virer à l'explication de texte. Sorry pour mes interprétations moyennes. | |
| | | Bridget Jones pilier
Nombre de messages : 806 Age : 63 Localisation : Genève Date d'inscription : 09/03/2009
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Mar 06 Juil 2010, 08:01 | |
| - Pantagruelle a écrit:
J'ai souligné deux passages qui m'ont interpellés : "La présence des hommes, le souffle des chevaux blancs d'écume, leur pas tranquille rassuraient les enfants. Jamais encore ils n'étaient montés sur de telles bêtes" (page 246). Page 249 : "Plus tard, tu m'as enjambé et quelque chose s'est emparé du carnet que j'avais encore dans la main".
... Bon, j'ai PEUT ETRE les idées mal placées.
Tu vois quelque chose de freudien dans ces passages ? Il y a pourtant des passages sexuels plus explicites... Le "quelque chose" qui s'est emparé du carnet, à mon avis, c'est le destin, puisque, à plusieurs reprises, les événements se déroulent "comme c'est écrit" dans Le Grand Livre Du Destin. Quant aux enfants qui n'avaient jamais vu de chevaux, pour des pauvres venant d'un village pauvre, ça me paraît tout à fait normal. Donc oui, je crois que tu as les idées mal placées | |
| | | Harelde pilier
Nombre de messages : 7283 Age : 49 Localisation : Yvelines Date d'inscription : 18/09/2008
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Mar 06 Juil 2010, 09:14 | |
| C'est vrai que Carole Martinez n'a pas hésité à écrire certains passages assez crus. Ce qui me laisse penser que les passages qui ne sont pas clairement identifiés comme sexuels ne doivent pas être détournés vers ce quoi ils ne sont pas. | |
| | | Aphrodite pilier
Nombre de messages : 1643 Date d'inscription : 05/01/2010
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Mar 06 Juil 2010, 09:54 | |
| - Bridget Jones a écrit:
- Pantagruelle a écrit:
J'ai souligné deux passages qui m'ont interpellés : "La présence des hommes, le souffle des chevaux blancs d'écume, leur pas tranquille rassuraient les enfants. Jamais encore ils n'étaient montés sur de telles bêtes" (page 246). Page 249 : "Plus tard, tu m'as enjambé et quelque chose s'est emparé du carnet que j'avais encore dans la main".
... Bon, j'ai PEUT ETRE les idées mal placées.
Tu vois quelque chose de freudien dans ces passages ? Il y a pourtant des passages sexuels plus explicites...
Le "quelque chose" qui s'est emparé du carnet, à mon avis, c'est le destin, puisque, à plusieurs reprises, les événements se déroulent "comme c'est écrit" dans Le Grand Livre Du Destin. Quant aux enfants qui n'avaient jamais vu de chevaux, pour des pauvres venant d'un village pauvre, ça me paraît tout à fait normal.
Donc oui, je crois que tu as les idées mal placées Oui, en effet. Disons que j'ai souligné les passages qui me PARAISSAIENT implicites. Je suis sûrement passer à côté des évidences !.. De l'utilité de RELIRE les livres ! | |
| | | Albert pilier
Nombre de messages : 2302 Localisation : île de france Date d'inscription : 22/06/2010
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Jeu 15 Juil 2010, 06:57 | |
| Je viens de terminer le livre, que j'ai bien aimé: un beau style de conteuse, de quoi réfléchir au delà de ce qui est écrit.
Le livre m'a également évoqué La maison aux esprits, mais également Beloved de Toni Morrison par la relation entre réalité vécue et réalité imaginée. Il m'évoque également de façon très floue un autre livre dont je suis incapable de me rappeler ni le titre ni le nom de l'auteur. Je me rappelle vaguement l'histoire d'une femme en robe rouge qui cherchait je ne sais plus quoi, une histoire d'errance également. Ça vous dit quelque chose?? | |
| | | nicyrle pilier
Nombre de messages : 5882 Age : 81 Localisation : Tout en bas, sous les orangers Date d'inscription : 05/02/2008
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Jeu 15 Juil 2010, 07:17 | |
| - Albert a écrit:
- Je viens de terminer le livre, que j'ai bien aimé: un beau style de conteuse, de quoi réfléchir au delà de ce qui est écrit.
Le livre m'a également évoqué La maison aux esprits, mais également Beloved de Toni Morrison par la relation entre réalité vécue et réalité imaginée. Il m'évoque également de façon très floue un autre livre dont je suis incapable de me rappeler ni le titre ni le nom de l'auteur. Je me rappelle vaguement l'histoire d'une femme en robe rouge qui cherchait je ne sais plus quoi, une histoire d'errance également. Ça vous dit quelque chose?? La femme coquelicot de Noëlle Chatelet ? Mais peut-on parler d'errance ? | |
| | | Albert pilier
Nombre de messages : 2302 Localisation : île de france Date d'inscription : 22/06/2010
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez Jeu 15 Juil 2010, 07:20 | |
| ce n'est pas la femme coquelicot, ça se passait en Espagne ou au Portugal il me semble et ça se terminait dans un port. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Le coeur cousu de Carole Martinez | |
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