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 Jean Genet, journal du voleur, etc.

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soussou
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soussou
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MessageSujet: Etienne Daho chante le poème sur le mon cou de Jean Genet   daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 EmptyMar 19 Juil 2011, 18:30

La Cour d'honneur du Palais des papes accueille le 18 juillet 2011 le duo Jeanne Moreau/ Etienne Daho pour interpréter 'Le condamné à mort' de Jean Genet.


daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 G2917
Merci Etienne Daho d'avoir soustrait momentanément Jeanne Moreau des plateaux de la réalisatrice Josée Dayan. Celle que l'on désigne, souvent par manque d'imagination, comme la Grande Dame du Cinéma français, est tout de même mieux sur une scène à lire 'Le Condamné à mort', le long poème que feu son ami Jean Genet écrivit en prison (en 1942), qu'à jouer les marâtres dans une fiction kitscho-historique pour la télé...

Afin de roder leur récital qu'ils avaient donné au théâtre de l'Odéon, le chanteur et l'actrice étaient invités en novembre dernier dans la grande salle du 104 (Paris 19ème). Une « couturière » devant 400 personnes à laquelle Evene avait pu assister. Les nostalgiques du tourbillon, l'hymne de 'Jules et Jim' repasseront. Jeanne Moreau ne chante pas, ni sur l'album (sorti le 2 novembre dernier chez Naïve), ni au cours de ce spectacle. Elle dit le texte qui fît connaître Jean Genet, en sort le souffre, en exhume la sombre beauté. « Je trouvais inutile de chanter. Avec l'âge, la partie virile et la féminine se confondent. Jamais je n'ai pensé qu'il y aurait une dissonance entre sa voix chantée et ma voix parlée», déclarait-elle récemment dans le Figaro. On le confirme : son timbre de rocaille et l'élégance pop de Daho s'harmonisent à la perfection. Et si l'on passe sur un léger accroc sur 'J'ai tué', l'une des plus belles chansons du disque, l'on comprend mieux après cette avant-première pourquoi le chanteur a voulu bâtir ce projet en compagnie de Jeanne Moreau.

Son incomparable voix ravinée par la cigarette, s'accorde en effet merveilleusement à la poésie torturée de Genet. Comme si elle en portait toute la canaillerie. A preuve, il n'est jamais nécessaire à Jeanne Moreau de (sur)jouer les vieilles dames indignes. Le texte est cru, elle demeure sobre, semblant parfois s'en remettre à ses souvenirs, ceux d'une époque où l'écrivain l'entraînait le soir danser à la Coupole. C'était dans les années 50. « Je lui servais d'appât pour attirer de beaux garçons… » Une relation avec Genet basée, avoue-t-elle, sur une complicité naturelle : « peut-être avait-il senti que son univers ne m'était pas inconnu… j'avais été très jeune en rébellion contre mon milieu familial, je connaissais ce monde de voyous, de souteneurs, de petits voleurs, j'avais même aperçu une fois Pierrot le Fou ».

La réussite de cet hommage tient aussi à la capacité de Daho de saisir, après Hélène Martin, première à mettre en chansons 'Le Condamné à mort' (voir la vidéo ci-dessous), le rapport particulier de Genet à la musique, la musicalité de ses mots. Dans un entretien à paraître ce vendredi dans Le Magazine Littéraire, l'acteur Alain Constant, qui vient de jouer trois mois durant 'Le Funambule', explique que l'expérience de l'écrivain, homme errant à la recherche de lui-même, est très tôt mise en forme par la musique. « Les chansons populaires ont été les ferments de son imaginaire, car il a été placé vers 15 ans chez René de Buxeuil, qui était un auteur très connu de chansons. C'est ainsi qu'il a fréquenté Nini Buffet, grande chanteuse réaliste qu'il a beaucoup aimée, et Damia, plus célèbre encore, avec laquelle il a noué, plus tard, une grande amitié. Or le répertoire de Damia présentait la vie des matelots, des voyous, des maquereaux, des gigolos, des putains, des femmes délaissées… Il y avait là une nostalgie permanente du brouillard, des canaux, des pavés luisants : tout l'univers de Jean Genet ! On pourrait dire que son univers existe comme thème de chansons avant même de prendre une matérialité », explique encore Alain Constant à nos confrères du Magazine Littéraire.

Cet univers, précisément, Étienne Daho le retrouve d'une voix altière, plus haute qu'à l'accoutumée. Il le recompose par cette illustration musicale des alexandrins du 'Condamné à mort', (admirablement soutenue par la guitare sèche d'Edith Fambuena, complice historique de Daho). Un accompagnement qui renoue avec l'essence même de ce poème, révélateur du beau, de la sensualité dans la montée vers l'échafaud.
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Nathaniell
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Nathaniell


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MessageSujet: Re: Jean Genet, journal du voleur, etc.   daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 EmptyLun 21 Mai 2012, 14:22

Je reviens sur ce forum où je ne suis jamais vraiment arrivé pour remonter ce sujet sur un auteur qui, je pense, mérite plus de deux pages, surtout là où Nothomb ( dont j'ai, si ce n'est les deux derniers, lu tous les romans non épuisés) en a une quinzaine. Le centenaire est passé, c'est vrai, mais si on ne devait parler des auteurs que tous les cent ans, il y aurait pas mal de perte.
Je ne pense pas que je puisse faire aimer Genet à ceux qui détestent, car je pense qu'il est pleinement légitime de le détester pour certaines raisons, mais je peux au moins essayer de donner envie à ceux qui connaissent peu ou pas, de continuer leur progression!

Alors, pourquoi lire Genet ?
J'ai commencé Genet avec le journal du voleur, par hasard je crois. Je ne sais plus vraiment comment il est arrivé dans ma main mais, dès les premières lignes, je me suis dit que quelque chose passait.

« Le vêtement des forçats est rayé rose et blanc. Si, commandé par mon cœur l'univers où je me complais, je l'élus, ai-je le pouvoir au moins d'y découvrir les nombreux sens que je veux : il existe donc un étroit rapport entre les fleurs et les bagnards. La fragilité, la délicatesse des premières sont de même nature que la brutale insensibilité des autres. Que j'aie à représenter un forçat – ou un criminel - je le parerai de tant de fleurs que lui-même disparaissant sous elles en deviendra une autre, géante, nouvelle. »

La grammaire étrange, la phrase complexe et la ponctuation non évidente vont se prolonger. Si vous voulez une lecture légère, elle ne sera pas ici mais il y a parfois de la complexité qui vaut le coup, doit-on s'arrêter à la première lecture de Mallarmé, ne rien comprendre et laisser tomber ?
Les sujet dérangent, on peut y voir de la provocation facile, mais on peut alors reprocher cela à la charogne de Baudelaire. Genet a pour moi sa place dans le siècle de changement qu'est le Xxème. Je ne parlerai pas tellement du théâtre, c'est ce que j'ai le moins « étudié » même si les changements sont théâtraux aussi. Là où Céline introduit l'argot, Genet introduit le langage « obscène », le réintroduit dans une langue classifié du moins, et, rien que pour cela, je juge nécessaire d'y jeter un coup d’œil.

« ces mots existent. S'ils existent il faut les utiliser, sans cela il ne fallait pas les inventer. Ces mots auraient sans moi une existence larvaire. Le rôle d'un grand artiste, c'est de valoriser n'importe quel mot. »
(« Entretien avec Madeleine Cobeil », L'Ennemi déclaré, Gallimard)

Je n'aime pas les apologies biographiques, si vous voulez voir ses fréquentations et ses coups d'un soir, en dehors de ses œuvres, ils m'intéressent peu et je n'en parlerai pas. Il est cependant nécessaire, d'un point de vue culturel comme littéraire, de noter l'engagement idéologique de Genet. Je ne maîtrise que peu la cause palestinienne, Genet a soulevé plus de questions que je n'avais de réponses et je vais donc me contenter, ici, des Black Panthers.
Invité par les Black Panthers et entré illégalement sur le territoire américain, Genet s'est engagé aux côté du mouvement révolutionnaire pendant un temps, finalement assez court mais qui a provoqué un assez grand nombre d'écrits. Porte parole de la cause en France et aux États-Unis, il a (d)écrit, avec un point de vue semi extérieur, semi intérieur, une lutte idéologique et poétique dont je ne citerai que quelques lignes :

« Ces hommes et cette femme dont je parle sont Noirs mais de l'être ce n'est pas encore le crime inexpiable. Noirs sans doute mais aussi rouge et le nerf optique des Américains blonds s'affole, il ne sait plus quelle image ni quelle couleur saisir. Qui sont ces Nègres rouges, ces Noirs écarlates ? »
( « Le Rouge et le Noir », extrait de L’Ennemi déclaré, Gallimard)
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rotko
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MessageSujet: Re: Jean Genet, journal du voleur, etc.   daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 EmptyLun 21 Mai 2012, 15:15

Tu as raison, Genet meriterait plus de place ; il a aussi un fil au rayon théâtre.. Quant à convertir les grains à une lecture, c'est possible, parfois un peu long : pour la fille aux yeux d'or de Balzac, il a fallu 5 ou 6 ans, mais il suffit parfois d'un petit déclic, et l'accord se fait.

je n'ai pas été entièrement conquis par le journal d'un voleur, mais écouter chanter le journal d'un condamné à mort (on en parle sur ce fil) est un grand moment.

Il faut donc être optimiste, pour soi-même, et pour les autres, c'est dans cet esprit que nous sommes contents de te revoir Razz

Si tu veux une courte nouvelle de Serge Pey, tu m'envoies ton adresse de courriel en Mp.
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Nathaniell
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MessageSujet: Re: Jean Genet, journal du voleur, etc.   daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 EmptyMar 22 Mai 2012, 19:28

5 ou 6 ans !? Je ne peux que louer la persévérance. Ce Balzac vaut autant de temps?

Je n'ai pas écouté la lecture / le chant du condamné à mort, j'ai un peu de mal avec le chant de poésie parfois et j'ai aimé lire ce texte, au rythme que je voulais. Mais si je tombe dessus à l'occasion, pourquoi pas!

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MessageSujet: Re: Jean Genet, journal du voleur, etc.   daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 EmptyMer 23 Mai 2012, 05:26

Nathaniell a écrit:

Je n'ai pas écouté la lecture / le chant du condamné à mort, j'ai un peu de mal avec le chant de poésie parfois et j'ai aimé lire ce texte, au rythme que je voulais. Mais si je tombe dessus à l'occasion, pourquoi pas!

Cherche-le dans une bibliothèque, il vaut vraiment le coup cf. p. 1 de ce fil.
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Luca
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MessageSujet: Re: Jean Genet, journal du voleur, etc.   daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 EmptySam 30 Juin 2012, 16:39

Le funambule, 1958, L’Arbalète Gallimard, 42 pages.

daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 Genet_Le+funambule

Voici une œuvre emblématique de Genet. On peut y voir un magnifique poème d'amour et un texte sur la condition d'artiste. Mais aussi, et surtout, sur la vie. Un texte indispensable, à poser à son chevet pour y revenir régulièrement.

En 1956, Genet tombe passionnément amoureux d’un jeune acrobate de 18 ans, Abdallah Bentaga. C'est à lui qu'est dédié Le Funambule. Le jeune homme se suicide en 1964, laissant Genet anéanti. Il en conçoit alors une responsabilité et une douleur qui ne s’effaceront jamais ; les derniers jours de sa vie, il ne parlait que de lui à ses proches.


« Je me demande où réside, où se cache, la blessure secrète où tout homme court se réfugier si l'on attente à son orgueil, quand on le blesse ? Cette blessure – qui devient ainsi le for intérieur -, c'est elle qu'il va gonfler, emplir. Tout homme sait la rejoindre, au point de devenir cette blessure elle-même, une sorte de cœur secret et douloureux.
Si nous regardons, d'un œil vite et avide, l'homme ou la femme qui passent – le chien aussi, l'oiseau, une casserole – cette vitesse même de notre regard nous révélera, d'une façon nette, quelle est cette blessure où ils vont se replier lorsqu'il y a danger. Que dis-je ? Ils y sont déjà, gagnant par elle – dont ils ont pris la forme – et pour elle, la solitude : les voici tout entiers dans l'avachissement des épaules dont ils font qu'il est eux-mêmes, toute leur vie afflue dans un pli méchant de la bouche et contre lequel ils ne peuvent rien et ne veulent rien pouvoir puisque c'est par lui qu'ils connaissent cette solitude absolue, incommunicable – ce château de l'âme – afin d'être cette solitude même. Pour le funambule dont je parle elle est visible dans son regard triste qui doit renvoyer aux images d'une enfance misérable, inoubliable, où il se savait abandonné.
C'est dans cette blessure – inguérissable puisqu'elle est lui-même – et dans cette solitude qu'il doit se précipiter, c'est là qu'il pourra découvrir la force, l'audace et l'adresse nécessaire à son art [et à la vie?]. »

« Faut-il le dire ? J'accepterais que le funambule vive le jour sous les apparences d'une vieille clocharde, édentée, couverte d'une perruque grise : en la voyant, on sauvait quel athlète se repose sous les loques, et l'on respecterait une si grande distance du jour à la nuit. Apparaître le soir ! Et lui, le funambule, ne plus savoir qui serait son être privilégié : cette clocharde pouilleuse ou le solitaire étincelant ? Ou ce perpétuel mouvement d'elle à lui ? »

« Tes sauts – ne crains pas de les considérer comme un troupeau de bêtes. En toi, elles vivaient à l'état sauvage. Incertaines d'elles-mêmes, elles se déchiraient mutuellement, elles se mutilaient ou se croisaient au hasard. Pais ton troupeau de bonds, de sauts et de tours. Que chacun vive en bonne intelligence avec l'autre. Procède, si tu veux, à des croisements, mais avec soin, non au hasard d'un caprice. Te voilà berger d'un troupeau de bêtes qui jusqu'alors étaient désordonnées et vaines. Grâce à tes charmes, elles sont soumises et savantes. Tes sauts, tes tours, tes bonds étaient en toi et ils n'en savaient rien, grâce à tes charmes ils savent qu'ils sont et qu'ils sont toi-même t'illustrant. »
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Luca
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MessageSujet: Re: Jean Genet, journal du voleur, etc.   daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 EmptyMer 04 Juil 2012, 06:24

Luca a écrit:
Le funambule, 1958, L’Arbalète Gallimard, 42 pages.
Pour vous faire une idée, le texte est en ligne ici.
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sarabennada
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MessageSujet: Re: Jean Genet, journal du voleur, etc.   daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 EmptyMer 04 Juil 2012, 08:36

merci pour le lien Luca, très intéressant.
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L'émane
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MessageSujet: Re: Jean Genet, journal du voleur, etc.   daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 EmptyVen 20 Déc 2013, 16:23

J'ai découvert Notre dame des fleurs pour ceux qui veulent aborder l'oeuvre de Genet, on m'a dit plusieurs fois que c'était le meilleur livre pour commencer. Excellent, en effet. Emouvant, profond, poétique. A lire sans a priori.
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MessageSujet: Re: Jean Genet, journal du voleur, etc.   daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 EmptyVen 20 Déc 2013, 16:31

as-tu écouté Jeanne Moreau/ Etienne Daho dans 'Le condamné à mort' de Jean Genet ?

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MessageSujet: Re: Jean Genet, journal du voleur, etc.   daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 EmptyVen 20 Déc 2013, 16:42

Non. Où est-ce que je peux trouver ça ?
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rotko
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MessageSujet: Re: Jean Genet, journal du voleur, etc.   daho - Jean Genet, journal du voleur, etc. - Page 2 EmptyVen 20 Déc 2013, 16:58

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je l'ai emprunté en bibliothèque.
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