Nick Stone, Cuba libre.

Cuba Libre de Nick Stone et Samuel Todd

512 p, série noire.

Octobre 2008, Miami. Quelques jours avant la victoire historique de Barack Obama, Max Mingus, ex-flic, ex-alcoolo et ex-taulard, voit sa vie bouleversée en quarante-huit heures. Eldon Burns, son mentor, chef véreux de la police locale, et Joe Liston, son ancien coéquipier et ami de toujours, meurent tous deux, assassinés.
Victime d’un chantage du FBI lié à de vieilles affaires, Mingus est contraint d’enquêter. La piste va le mener à une certaine Vanetta Brown, activiste des droits civiques accusée du meurtre d’un policier dans les années 1960, et réfugiée à Cuba depuis

tout un article

ce serait interessant de le comparer à leonardo Padura.

Renseignements pris, cet auteur a l'air intéressant. Il me faudrait 48 h par jour pour lire tout ce qui me plaît!

J'aime beaucoup les polars bien ficelés et comme j'aime bien PADURA, ce livre que tu proposes me tente!

je vais revenir sur ce fil, merci....

Bill, pas " razor " du tout!!!!

Mais si Razorbill pour me rapprocher d'Ysandre, de Rotko et de toi... Vous sentez bon...

Cuba Libre de Nick Stone.

C'est un thriller, et j'ai voulu voir de quoi il retournait :

1ere scène : A Miami dans une salle de boxe déserte, le proprio reçoit une visite, et se fait descendre. Assez bien rendu.

2e scène : un détective privé, ancien flic, veut fournir les preuves d'un adultère en "flagrant du lit" au mari commanditaire.

C'est ensuite que l'auteur en fait trop, à mon avis.

Retour sur la vie mouvementée du détective/flic, il a fait de la taule, a connu deux femmes superbes, traqué des super truands etc

Là, je me dis que l'auteur multiplie les coups de cymbales, et qu'à accumuler les péripéties, il charge trop la barque.

Tenir l'auteur en haleine ne veut pas dire l'étouffer par le récit de vies vertigineuses et un lot incessant de surprises

. J'abandonne donc le livre après 70 pages.

on sait déjà que la piste du tueur mènera à Cuba. Si vous avez l'occasion de le lire, vous me direz si j'ai pris une décision trop rapide. Le livre fait quand même 512 p. !