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| | variations autour de Darwin. | |
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+7fulcanelli Constance Nymphéa leutchi rotko fontelle Liess 11 participants | |
Auteur | Message |
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Liess habitué(e)
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 16/12/2009
| Sujet: variations autour de Darwin. Mer 16 Déc 2009, 18:45 | |
| - Nadja a écrit:
- Richard Dawkins a écrit "L'horloger aveugle" donnant un exposé de la théorie darwinienne et de ses développements récents. Il souligne comment de petites modifications très probables ont fini par introduire, sur une échelle de temps qui déborde notre perception, des changements considérables avec pour seul but la survie des gènes.
La parution en 1859 de l'origine des espèces de Charles Darwin est une révolution aussi importante que l'héliocentrisme de Galilée, la découverte de l'inconscient par Freud, la relativité d'Einstein ou la physique quantique.
Mal acceptée parce qu'elle reste mal connue, mal comprise elle demeure pourtant la seule à expliquer le fait -indiscuté- de l'évolution.
On a énormément de mal à se représenter les milliards d'années des ères géologiques et la succession presque infinie des formes de vie.
Richard Dawkins "Lhorloger aveugle" Ce que Darwin n'avait pas prévuEt si avant l’avènement de l’homme, les animaux qui l’ont précédé avaient non seulement pensé, mais ils avaient même tracé la même histoire que l’humanité est entrain de l’emprunter actuellement. Comment et de quelle manière les animaux avait-ils tracé cette histoire ? Ce que Darwin n’avait pas prévu Vous serez émerveillé de savoir Depuis quand, comment et pourquoi ?- Le requin blanc dort en nageant - L'hyène est devenu boiteuse et charognard. - Le crocodile est devenu amphibien et à sang froid. - L’ours est devenu plantigrade. - Les vampires se nourrissent exclusivement de sang. - Le chien lève une patte en pissant - Le chien avait appris sa profession de garde. - Le chat enterre ses excréments. - La domestication des animaux herbivores était réalisée. Savez-vous depuis quand on dit ? - Les larmes du crocodile Le bouc émissaire. - Les dandinements de l’ours. - Qui veut noyer son chien l’accuse de rage. - Rusé comme un renard. Tirer la part du lion. - Le lion roi des animaux et pourquoi pas un autre animal Tout cela remonte à l’époque où les animaux avaient pensé Le jour où on trouvera de crocodiles fossiles aux alentours de Moscou, des ossements de lion aux environs de Washington. Ce jour là, on peut scientifiquement confirmer que les animaux avaient pensé. Exactement comme nous. Cordialement | |
| | | fontelle pilier
Nombre de messages : 2068 Age : 77 Localisation : Anjou Date d'inscription : 15/06/2006
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Mer 16 Déc 2009, 18:50 | |
| Liess, OU veux tu en venir ? Je n'ai pas ben compris. Nierais-tu le darwinisme ? | |
| | | Liess habitué(e)
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 16/12/2009
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Mer 16 Déc 2009, 19:44 | |
| - fontelle a écrit:
- Liess, OU veux tu en venir ?
Je n'ai pas ben compris. Nierais-tu le darwinisme ? Non pas du tout. Mais après six ans de contemplation et de recherchistes, en projetant des réaction politiques et militaires de certaines nations sur certaines espèces animales que j’ai déduit cette anomalie. Les animaux avaient bien emprunté la meme histoire que nous sommes nous les humains entrain de l'entreprendre actuellement. Et faute du mal usage de cette faculté de penser et de raisonner, il avaient ce don suite à un choc. Et leur instinct s'etait ancré de ce ce moment là comme un fou qui ne cesse pas repeter les gestes et les paroles du choc qui l'a rendu ainsi. Darwin propose par exemple que la girafe forcée à recueillir les feuilles des hauts des branches qu'elle à le long cou. Il parait qu'elle a ce cou suite à un choc psychique. Le crocodile (la France de Napoléon) est devenu à sang-froid lorsqu’il avait attaqué un ours blanc la Russie tsarine) en plein hiver. C’est là où le crocodile avait perdu son thermostat . Il réclamait la royauté, le trône des animaux. Il cherchait devenir roi. Le chat domestique (la Turquie) était domestiqué par l’homme parce que les autres prédateurs de l’ancien monde ne voulaient pas l’admettre parmi eux. Alors il avait rejoint l’homme. Les singes sans queues (les Noirs) à cause de la ressemblance à l’homme, la hardiesse des mains, ils étaient par la force exploités pour épucer les fourrures et les peaux des prédateurs. Heureusement que l’esclavage était aboli. Sérieusement difficile à comprendre si on ne savait l'histoire et la zoologie. la polititiue aussi. l'histoire se répète. | |
| | | fontelle pilier
Nombre de messages : 2068 Age : 77 Localisation : Anjou Date d'inscription : 15/06/2006
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Mer 16 Déc 2009, 20:00 | |
| Désolée, j'ai rien compris à tes explications qui me semblent délirantes et basées sur rien. Ou bien tu fais l'andouille (et ce n'est pas très fin) ou bien tu es complétement à l'ouest. la prochaine fois, argumente ton sujet de manière plus crédible; | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Mer 16 Déc 2009, 20:20 | |
| - Liess a écrit:
- Darwin propose par exemple que la girafe forcée à recueillir les feuilles des hauts des branches qu'elle à le long cou. Il parait qu'elle a ce cou suite à un choc psychique.
Je ne suis pas sur de tout comprendre mais j'en profite pour souligner une "erreur d'interprétation" souvent faite lorsque l'on parle de la théorie de l'évolution. Ce n'est pas que la girafe a été "forcée" a recueillir les feuilles en haut des branches qu'elle a un long coup. Ce n'est pas non plus qu'elle s'est "sciemment adaptée" en faisant grandir son cou. En fait, il s'est trouvé que, dans la compétition pour la nourriture, il y avait une "niche libre". C'est à dire que de la nourriture était présente et disponible"en haut des branches". Donc un animal qui avait un cou plus long que les autres était avantagé, car il pouvait atteindre ce que les autres ne pouvaient pas et donc avait moins de concurrence pour trouver de la nourriture. Donc, cet animal, mieux nourri, plus fort, avait donc plus de chance de mieux se reproduire donc de propager son patrimoine génétique. Vous mettez cela sur des très longues périodes, vous remuez le tout, des glaçons, vous versez tout ça dans un verre et hop, vous avez une girafe (Ca marche aussi avec les autres cocktails animaux ) |
| | | Liess habitué(e)
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 16/12/2009
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Jeu 17 Déc 2009, 15:35 | |
| - fontelle a écrit:
- Désolée, j'ai rien compris à tes explications qui me semblent délirantes et basées sur rien.
Ou bien tu fais l'andouille (et ce n'est pas très fin) ou bien tu es complétement à l'ouest. la prochaine fois, argumente ton sujet de manière plus crédible; Ce que je cherche c’est tisser une histoire faite avant l’arrivée de l’homme sur terre par les différentes espèces animales, semblable à celle faite par les différentes nations de l’humanité de la découverte du continent américain jusqu’aujourd’hui. Où une espèce prédatrice équipée de canine, de griffes ou de venin incarne une nation qui a pratiqué le colonialisme, et une espèce herbivore dotée de cornes ou de sabots personnifie une nation qui a subit le colonialisme. Une histoire où pour s’épouiller ou se griffer, un tigre exploite un Chimpanzé plus doué pour faire ce travail. Heureusement que l’esclavage était aboli. Sinon on pourrait voir un singe entrain d’épucer un lion ou lui léché l’arrière après avoir fait ses besoins. Une histoire où sous prétexte de surveiller et guetter l’homme, physiquement plus faible que les grands prédateurs, afin de l’anéantir avant qu’il ne prenne les commandes sur terre. Ils ont conquis le monde. L’hyène qui n’était ni charognard ni boiteuse avait découvert l’Amérique en exploitant les baleines comme moyen de transport maritime. En rejoignant cette vaste terre, elle avait cru atteindre la terre des buffles. Les animaux à l’époque confondent les buffles et les bisons d’Amérique. Le continent Américain était le berceau de l’apparition du lion, un hybride dont le géniteur est le tigre, la mère est toujours inconnue. Il se peut une bufflesse veule à cause de la crinière. Lors d’un combat, le lion a blessé l’hyène à la hanche. Guérie avec un handicape, ne peut pas chasser comme avant, le lion lui a volé presque toutes ses proies, l’hyène est devenue charognard et boiteuse. Une histoire où un renard rusé et pour s’offrir une renardière au milieu de la cage à poules avait créer cette fameuse diction : Nous les renards, on est des prédateurs sans proie et les poules sont des proies sans prédateurs. Et pour démontrer aux cinq membres du conseil de sécurité de la faune : le lion, le tigre, le crocodile, l’ours et l’éléphant que la terre des poules était à ses aïeux pourchassés par les dinosaures disparus, il ne cessait pas de creuser entre les racines d vieil arbre où perchaient les poules à la recherche d’un squelette ou des excréments de ses aïeux qui autrefois faisaient la sieste sous l’ombrage de cet arbre. Une histoire où un bouc, accusé d’avoir eu en plus de ses cornes, des canines des griffes et un pelage d’un porc-épic, du venin, une chimère qui crache le feu… des armes qui se rassemblent chez un seul et encore herbivore sont considérées des armes à destructions massives, il avaient menacé les grands prédateurs de disparition s’il s’approchaient de lui… Une histoire où un chien, qui autrefois gardait la ferme de sa majesté le lion, et après une rage, il se retourna contre son maitre, et ne cessait ses menaces de débusquer le renard et remblayer la renardière…. A suivre. | |
| | | rotko pilier
Nombre de messages : 69282 Date d'inscription : 26/12/2005
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Jeu 17 Déc 2009, 15:58 | |
| bonjour liess, Si je comprends bien, tu imagines une fiction, sorte d'hypothèse fondée sur ton imagination ? Pourquoi pas ? mais alors il faudrait peut-être poster sur le fil vos creations plutôt que sur le fil Darwin et darwinisme ? dis-moi ton sentiment par mp, et je ferai le déplacement ou non, selon ta décision, bien cordialement, | |
| | | leutchi pilier
Nombre de messages : 109 Age : 62 Localisation : Crolles (Grenoble) Date d'inscription : 07/05/2009
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Jeu 17 Déc 2009, 16:21 | |
| Hello les gens (évolués of course) de GDS! Petit complément d'info sur ce bon Darwin qui était un "putain d'génie" (un peu de vulgarité bien contrôlée ) ce qui m'avait échappé jusque là (en autres choses). Comme j'ai une fifille en 3ème et que l'évolution est toujours au programme dans mon coin de l'Isère, je me procure le hors-série de Télérama consacré au gars Darwin histoire de compléter son cours, et là je tombe sur un bouquin super bien fait avec des articles à la fois lisibles (genre l'évolution pour les nuls tels que moi), didactiques et pour certains très rigolos. Je pense notamment au petit lexique du darwinisme par l'excellent Nicolas Delasalle. On peut se procurer la chose sur le site du magazine. pour pas très cher (7,5 €) et franchement ça vaut le coup. Hip Hip Hourra pour Darwin. ps: un fil sur Télérama, ce magazine culturo-gentil-bobo-politiquement trop-correct que j'adore détester... ? | |
| | | Nymphéa pilier
Nombre de messages : 1480 Age : 70 Localisation : Nord Date d'inscription : 28/12/2008
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Jeu 17 Déc 2009, 18:38 | |
| Excellente biographie sur Darwin et son oeuvre et ses recherches, facile d'accès: "Darwin l'homme qui osa" de Catherine Bousquet | |
| | | Liess habitué(e)
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 16/12/2009
| Sujet: variations autour de Darwin. Ven 18 Déc 2009, 17:06 | |
| - charled a écrit:
- Liess a écrit:
- Darwin propose par exemple que la girafe forcée à recueillir les feuilles des hauts des branches qu'elle à le long cou. Il parait qu'elle a ce cou suite à un choc psychique.
Je ne suis pas sur de tout comprendre mais j'en profite pour souligner une "erreur d'interprétation" souvent faite lorsque l'on parle de la théorie de l'évolution.
Ce n'est pas que la girafe a été "forcée" a recueillir les feuilles en haut des branches qu'elle a un long coup. Ce n'est pas non plus qu'elle s'est "sciemment adaptée" en faisant grandir son cou.
En fait, il s'est trouvé que, dans la compétition pour la nourriture, il y avait une "niche libre". C'est à dire que de la nourriture était présente et disponible"en haut des branches". Donc un animal qui avait un cou plus long que les autres était avantagé, car il pouvait atteindre ce que les autres ne pouvaient pas et donc avait moins de concurrence pour trouver de la nourriture.
Donc, cet animal, mieux nourri, plus fort, avait donc plus de chance de mieux se reproduire donc de propager son patrimoine génétique. Vous mettez cela sur des très longues périodes, vous remuez le tout, des glaçons, vous versez tout ça dans un verre et hop, vous avez une girafe (Ca marche aussi avec les autres cocktails animaux ) Donc comment vous interpretez le long cou de la girafe. plus precisement comment, selon Darwin, cet animal avait eu ce long cou? | |
| | | rotko pilier
Nombre de messages : 69282 Date d'inscription : 26/12/2005
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Ven 18 Déc 2009, 17:12 | |
| la girafe, c'est lamarck - Citation :
- Relativement aux habitudes, il est curieux d'en observer le produit dans la forme particulière et la taille de la girafe (camelo-pardalis) : on sait que cet animal, le plus grand des mammifères, habite l'intérieur de l'Afrique, et qu'il vit dans des lieux où la terre, presque toujours aride et sans herbage, l'oblige de brouter le feuillage des arbres, et de s'efforcer continuellement d'y atteindre.
Il est résulté de cette habitude, soutenue, depuis longtemps, dans tous les individus de sa race, que ses jambes de devant sont devenues plus longues que celles de derrière, et que son col s'est tellement allongé, que la girafe, sans se dresser sur les jambes de derrière, élève sa tête et atteint à six mètres de hauteur (près de vingt pieds). » wikipedia | |
| | | Constance pilier
Nombre de messages : 1650 Date d'inscription : 01/10/2009
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Ven 18 Déc 2009, 17:26 | |
| Liess ... pourrais-tu nous faire part de ce que tu penses de l'évolution de notre très lointain ancêtre : le coelacanthe ? | |
| | | leutchi pilier
Nombre de messages : 109 Age : 62 Localisation : Crolles (Grenoble) Date d'inscription : 07/05/2009
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Ven 18 Déc 2009, 17:32 | |
| En fait les girafes à long cou (comme il y a des hommes à long nez mais c'est pour le moment un caractère "neutre") ont eu à partir du moment où la nourriture s'est trouvée en hauteur, un avantage sur les girafes qui ne disposaient pas de ce caractère. Cet avantage leur a permis de se reproduire plus que les autres et au final ne sont restées que les girafes à long cou. le hasard a mis en exergue des "qualités" particulières qui sont devenues des caractéristique de l'espèce. Ceci sur du très long terme évidemment. Enfin c'est ce que j'ai compris | |
| | | rotko pilier
Nombre de messages : 69282 Date d'inscription : 26/12/2005
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Ven 18 Déc 2009, 18:11 | |
| J'aui un copain dont la maitresse est en déplacement, et il n'a subi aucune transformation biologique notable | |
| | | Liess habitué(e)
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 16/12/2009
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Ven 18 Déc 2009, 18:17 | |
| - Leutchi a écrit:
- En fait les girafes à long cou (comme il y a des hommes à long nez mais c'est pour le moment un caractère "neutre") ont eu à partir du moment où la nourriture s'est trouvée en hauteur, un avantage sur les girafes qui ne disposaient pas de ce caractère.
Cet avantage leur a permis de se reproduire plus que les autres et au final ne sont restées que les girafes à long cou. le hasard a mis en exergue des "qualités" particulières qui sont devenues des caractéristiques de l'espèce. Ceci sur du très long terme évidemment.
Enfin c'est ce que j'ai compris Même le hasard a ses motifs qu’il faut chercher à débusquer. Ce qui hasard aujourd’hui, pourrait être une machination, une structure très bien ordonnée demain. | |
| | | leutchi pilier
Nombre de messages : 109 Age : 62 Localisation : Crolles (Grenoble) Date d'inscription : 07/05/2009
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Ven 18 Déc 2009, 18:21 | |
| - rotko a écrit:
- J'aui un copain dont la maitresse est en déplacement, et il n'a subi aucune transformation biologique notable
oui mais Darwin avait confié à un ami, Lord Prescot (je ne suis plus très sûr) "chez l'homme, la longueur ne fait pas tout, lol" J'ai perdu mes sources mais faut me faire confiance | |
| | | Nymphéa pilier
Nombre de messages : 1480 Age : 70 Localisation : Nord Date d'inscription : 28/12/2008
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Ven 18 Déc 2009, 18:52 | |
| On trouve un grand nombre d'analyses et de données intéressantes et étayées par de nombreuses études de cas et d'études comparées dans L'expression des émotions chez l'homme et les animaux de Darwin (1872). Et notamment sur la girafe... | |
| | | Liess habitué(e)
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 16/12/2009
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Sam 19 Déc 2009, 09:31 | |
| - Constance a écrit:
- Liess ... pourrais-tu nous faire part de ce que tu penses de l'évolution de notre très lointain ancêtre : le coelacanthe ?
Je ne suis pas ici en mesure de discuter l’origine des espèces. Je discute ici comment les animaux ont acquis cet ensemble d’actions, de réactions, de conduites, de comportements, d’agissements spontanés et aînés … appelé instinct que les animaux le gardent inchangé. Comme : Pourquoi et comment et depuis quand, un chat avait appris à enterre ses défécations? Même sur un parterre strictement propre en marbre, en absence de la terre ou du sable, un chaton fait l’action comme s’il enterre ses excréments. Pourquoi, comment et depuis quand un chien lève une patte pendant qu’il pisse. Comment, pourquoi et depuis quand le crocodile est-il devenu à sang froid ? L’hyène est devenue boiteuse ? Les parades nuptiales ? Chasser en groupe ? Chasser solitairement… Il me parait que la seule explication à toutes ses interrogations, c’est qu’à une ère avant l’arrivée de l’homme sur terre, suite à un choc, les animaux non seulement commencèrent à penser, mais loin encore, de ce choc jusqu’à l’arrivée de l’homme, ils avaient emprunté le même chemin historique que nous sommes, nous les humains entrain de l’entreprendre actuellement. Pour tracer cette histoire, les animaux n’ont pas la hardiesse d’utiliser les mains pour usiner les outils, alors les uns exploitent la capacité des autres. Pour traverser les mers et découvrir le monde on exploité les baleines comme moyens de transport maritime. Pour bombarder, on a utilisé les corbeaux. Pour exprimer l’esclavagisme. Un tigre ou un lion et au lieu de se griffer et se lécher seul par la force, il exploite un singe pour l’épucer. Un singe est plus doué pour ce travail. Heureusement que l’esclavagisme était aboli. Sinon on pourrait voir un chimpanzé entrain d’épouiller les prédateurs. Et c’est pendant cette période-ci que les animaux avaient acquis cet instinct. En élaborant sa théorie d’évolution, Darwin n’avait pas prévu ce cas. Le cas de la pensée. Le crocodile est devenu à sang froid lorsque, en réclamant le trône de la faune, et en plein hiver, il avait attaqué un ours blanc en hibernation dans sa tanière. C’est là qu’il a bousillé son thermostat. Il a bousillé l’organe qui contrôle et règle la température du corps. Lorsque Napoléon attaqua la Russie tsarine. Le même sort avait subi la vipère, en attaquant un grizzli en plein hiver. Hitler en attaquant l’URSS. Croyez-vous que cette diction : ″ le lion roi des animaux ″ est dite fortuitement. Elle nous est arrivée faussement déviée de sens. La robe que porte le lion et cette superbe crinière ornant le col, cette queue paraffinée par cette magnifique touffe de poils ne représentent pas les baptêmes de la royauté ; l’habit et le sceptre, ne manque que la couronne, prévue le crâne de l’homme. L’homme dépasse l’animal par cette faculté de penser. Un don autrefois octroyé aux animaux, ils ne l’ont pas bien exploité pour anéantir l’homme. Pourtant ils étaient bien avertis que ce nouveau venant, une fois bien installée, il sèmera les catastrophes. Si l’homme n’avait pas existé ou été anéanti avant qu’il arrive à maîtriser le feu, le lion se régalerait sans doute des animaux domestiques que l’homme détient. Nous arrivera –t-il ce qui est arrivé aux animaux. Espérons que notre élite réunie à Copenhague ne fait pas la même erreur où chacun ne pense qu’à ses intérêts uniquement. Le réchauffement climatique, la dégradation de l’environnement sont des menaces éminentes autant l’homme pour les animaux. Hélas, Les animaux ne peuvent plus penser, nous on peut encore. | |
| | | rotko pilier
Nombre de messages : 69282 Date d'inscription : 26/12/2005
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Sam 19 Déc 2009, 11:19 | |
| il faudrait préciser, Liess, que tu es l'auteur d'un ouvrage sur edilivre
La véridique théorie d'évolution de Darwin et la deuxième arche de Noé
Par Liess Kadri
ISBN : 9782812105449
Est-ce une fiction, une hypothèse, ou un ouvrage qui se veut scientifique ? | |
| | | Liess habitué(e)
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 16/12/2009
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Dim 20 Déc 2009, 10:10 | |
| - rotko a écrit:
- il faudrait préciser, Liess, que tu es l'auteur d'un ouvrage sur edilivre
La véridique théorie d'évolution de Darwin et la deuxième arche de Noé
Par Liess Kadri
ISBN : 9782812105449
Est-ce une fiction, une hypothèse, ou un ouvrage qui se veut scientifique ? Franchement, après six ans de contemplation et de recherche, je n'ai pas encore pu répertorier ce livre. Une fiction? Genre de Lafontaine adressant une morale et un noble message aux dirigeants de ce monde et aux peuples de prendre au sérieux le problème du climat et tous les menaces qui guettent le globe. Une hypothèse d’une nouvelle théorie, il se peut le jour où on trouvera des lions fossiles aux alentours de Washington ou des crocodiles aux environ de Moscou…les preuves deviennent plus tangibles que Darwin n’avait pas prévu le cas où les animaux avaient pensé. Scientifique ? Le jour où cette théorie sera prouvée et admise, le livre servira à découvrir les secrets que cachent les animaux. Pour le moment, il reste un divertissement surtout pour les politiciens et les zoologistes. | |
| | | leutchi pilier
Nombre de messages : 109 Age : 62 Localisation : Crolles (Grenoble) Date d'inscription : 07/05/2009
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Dim 20 Déc 2009, 10:31 | |
| Les blagues les plus courtes..... Au début j'ai trouvé ton gentil délire assez rigolo... mais là je ressens comme une lourdeur | |
| | | Liess habitué(e)
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 16/12/2009
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Mar 22 Déc 2009, 15:19 | |
| - Leutchi a écrit:
- Les blagues les plus courtes.....
Au début j'ai trouvé ton gentil délire assez rigolo... mais là je ressens comme une lourdeur Avant l’arrivée de l’homme sur terre, les animaux qui l’avaient précédé, connaissent instinct autre que nous le constatons aujourd’hui. Un instinct c’est cet ensemble de conduites, de réactions, d’agissements, de comportements aînés et spontanés qui caractérise l’espèce. Après avoir fait ses besoins même sur une parterre de marbre strictement propre, un chat fait le geste d’enterrer ses déchets même sil n’y a pas de sable ou de terre. Le chat est auto programmée. Quand une personne (un humain, bien sûr), pressée, fait comme le chat venait de faire. En absence de l’eau ou de papier toilette, est-ce que cette personne fait le geste de se nettoyer? Certainement, vous voulez savoir comment le chat avait appris le geste d’enterrer ses déchets. En ce sens. Le crocodile n’était pas à sang froid. L’hyène n’était pas ni boiteuse ni charognard. Le bouc ne portait pas de barbe. Le chat n’enterrait pas ses défécations. Le chien ne levait pas une patte quand il pisse, et c’est après qu’il avait appris cette profession de ″ garde ″. L’ours n’était pas plantigrade. Le dindon n’enflait pas le corps pour attirer la dinde. Les vampires ne se nourrissaient pas du tout de sang … Avec cet instinct, les animaux menèrent une vie tranquille et paisible, commandés par l’instinct, qui est comme aujourd’hui dirige l’attitude, le comportement de chaque espèce. Même, au sein d’un groupe de la même espèce dispersée en plusieurs hordes gérées par l’instinct, il est rare que les membres de l’un s’entremêlent avec ceux de l’autre. Une place est attribuée [/center][/scroll]à chaque membre selon son physique, et rien que le physique. Une hiérarchie à respecter. Une routine quotidienne, saisonnière, annuelle, marque la survie des animaux. Les prédateurs ; carnivores, passent la journée à guetter les proies, s’ils ont faim ils s’empressent de s’y attaquer. Ayant fini leurs repas, ils se livrent, après une toilette au sommeil. Les proies, la plus part des herbivores, sont toujours sur leurs gardes et en surveillance continue des prédateurs pour éviter la surprise. Durant les saisons d’amours, les mâles mûrs et adultes s’affrontent, le plus puissant aura le droit de s’accoupler avec les femelles et l’honneur de commander le groupe. Le plus faible s’incline. Il n y’avait que la force qui autorise l’accouplement. Les parades nuptiales pour attirer les femelles sont inventées par la suite. De ces accouplements naissent les petits, fierté et soucis des femelles. Par le soutien et la protection des parents, les petits grandissent et deviennent adultes. Et instinctivement se comporteront, exactement, comme leurs ascendants. C’est ainsi que vivaient les animaux. La vie était simple, paisible et même heureuse, marquée par un magnifique « Prendre et donner », sans gaspillage et sans abus, une parfaite modération sous la l’égide de sa majesté l’instinct. Jusqu’au jour où un fait brutal surgissait brusquement, avait tout bouleversé. Ce jour là, une prophétie venait de se répandre, avertissant la proche arrivée d’un être étrange, de modeste corpulence, vulnérable appelé homme. Ne possèdera ni pelage, ni plumage pour se protéger du froid, n’aura à peine que quelques touffes de poils dispersées sur la tête et sur certains endroits du corps. À la place des serres tranchantes qui peuvent gratter les roches, n’aura que de larges et faibles ongles, Il sera dépourvu de canines coupantes qui pourront craquer les os coriaces et menu de faibles et larges dents à peine visibles même en ouvrant largement la bouche. Il se tiendra debout et courra sur deux pieds mais ne pourra jamais être aussi rapide que ceux possédant quatre pattes. Au lieu des ailes, il aura de faibles mains qu’il utilisera pour s’épouiller et l’aideront difficilement à grimer les arbres, il ne volera pas comme les oiseaux. N’aura même pas une queue pour s’émoucher et couvrir ce qu’on doit dissimuler. Toute fois, cet homme sera équipé d’une arme secrète qui, lui permettra une fois bien installé sur terre, de maîtriser l’âme du volcan, d’apprivoiser un bon nombre d’animaux herbivores les entourant d’infranchissables grillages en ronces épinées plus dures que la pierre. Il privera ainsi, leurs prédateurs d’en faire leurs proies. Seulement, ce survenant sera une menace, même pour les grands et les puissants prédateurs. Et ceux qui parviendront à en échapper à cet anéantissement, seront encerclés dans des réserves, et nourrit de ses déchets et ses excréments pour s’en distraire. En plus, cet humain amènera avec lui de menaçantes et effrayantes catastrophes. Un état de choc, de nervosité et de perplexité orna les animaux d’une épaisse et lourde frayeur. Les grands prédateurs de l’époque, seront les plus menacés par cette arrivée, eux qui ne connaissaient ni peur ni appréhension, ayant toujours vécu en liberté et, se sentant menacés, se demandaient : « Comment cette créature, plus faible que le plus chétif de nous, arrivera-il à maîtriser l’âme du volcan et nous menacera de cette manière ? ». Et selon la théorie d’évolution de Darwin, se demandant « Comment », sentant le stress ne prouve qu’une réalité : les animaux sont devenus réflectifs. Seul un être pensif peut s’interroger et chercher des explications. Le choc dépassé mais l’angoisse persistait, les animaux prédateurs, se mettaient séparément à raisonner pour éclaircir le concept de la prophétie. Les proies, faibles, ne se souciant de rien, se disaient : « Etre proie est un destin, dévoré par un tigre ou par un homme ne changera rien. Un ravageur de plus, un prédateur en remplace un autre ». Mais, pensant sérieusement aux catastrophes qu’engendrera l’homme, elles espéraient et s’attelaient, que l’homme sera plus indulgent que leurs prédateurs ; les nourrit, les engraisse puis les dévore. La prophétie n’avait donné aucun signe de la manière dont cet homme atterrira sur terre, ni « Où » ni « Quand » sauf que son arrivée soit proche et qu’il faut réagir vite. Les animaux, perturbés, ne savaient ni ce qu’il fallait faire, ni par quoi commencer, mais ils avaient sentit quelque chose circulant et picotant le cerveau comme du sang circulant dans les veines d’une personne ayant subit une paresthésie, sentant un fourmillement. Ils avaient pris conscience d’une vérité : ils ont acquit un réflexe. [center] L’explorationSe réveillant de la torpeur, se sentant menacer, les animaux se trouvaient contraint à réfléchir et à réagir pour éloigner les dangers. Ils devaient se préparer à les affronter, à prendre leurs précautions pour éviter la surprise de leur assaillant. Prirent conscience de l’immensité de la terre, ne savaient pas où se situaient. Où commence cette terre et où se termine ? Quelle forme a-t-elle ? Leurs premiers réflexes étaient : découvrir, explorer, mettre sous surveillance, et contrôle tout point sur terre, afin d’avoir la possibilité de localiser l’homme dès son apparition, et de pouvoir l’anéantir avant de s’installer, et surtout avant de maîtriser l’âme du volcan. L’hyène, prédateur redoutable, qui n’était ni boiteuse ni charognard, se réveillant de sa somnolence instinctive par l’effet de la crainte de la prophétie, fut surpris de l’invasion de ce que nous appelons actuellement : les animaux domestiques herbivores... | |
| | | Liess habitué(e)
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 16/12/2009
| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Jeu 24 Déc 2009, 14:09 | |
| - Liess a écrit:
- Leutchi a écrit:
- Les blagues les plus courtes.....
Au début j'ai trouvé ton gentil délire assez rigolo... mais là je ressens comme une lourdeur Compulsant un des ouvrages de Régine Pernoud « Pour en finir avec le moyen Age » Edition du Seuil 1977, un tout petit récit, à la page 135, attire l’attention et suscite l’imagination, impression à transmettre sans rien y changer. « En 1969, peu après les premiers pas sur la lune et lors d’une enquête faite par la télévision, interrogeant un groupe d’enfants sur les raisons des progrès techniques de l’humanité, un petit garçon répondit : « c’est parce qu’après le moyen âge, les gens ont réfléchi ».
Et si avant l'arrivée de l'homme sur terre, les animaux avaient réfléchi? Où un prédateur concrétise une nation colonialiste et une proie personnifie une nation colonisée Avant l’arrivée de l’homme sur terre, les animaux qui l’avaient précédé, connaissent instinct autre que nous le constatons aujourd’hui. Un instinct c’est cet ensemble de conduites, de réactions, d’agissements, de comportements aînés et spontanés qui caractérise l’espèce. Après avoir fait ses besoins même sur une parterre de marbre strictement propre, un chat fait le geste d’enterrer ses déchets même sil n’y a pas de sable ou de terre. Le chat est auto programmée. Quand une personne (un humain, bien sûr), pressée, fait comme le chat venait de faire. En absence de l’eau ou de papier toilette, est-ce que cette personne fait le geste de se nettoyer? Certainement, vous voulez savoir comment le chat avait appris le geste d’enterrer ses déchets. En ce sens. Le crocodile n’était pas à sang froid. L’hyène n’était pas ni boiteuse ni charognard. Le bouc ne portait pas de barbe. Le chat n’enterrait pas ses défécations. Le chien ne levait pas une patte quand il pisse, et c’est après qu’il avait appris cette profession de ″ garde ″. L’ours n’était pas plantigrade. Le dindon n’enflait pas le corps pour attirer la dinde. Les vampires ne se nourrissaient pas du tout de sang … Avec cet instinct, les animaux menèrent une vie tranquille et paisible, commandés par l’instinct, qui est comme aujourd’hui dirige l’attitude, le comportement de chaque espèce. Même, au sein d’un groupe de la même espèce dispersée en plusieurs hordes gérées par l’instinct, il est rare que les membres de l’un s’entremêlent avec ceux de l’autre. Une place est attribuée [/center][/scroll]à chaque membre selon son physique, et rien que le physique. Une hiérarchie à respecter. Une routine quotidienne, saisonnière, annuelle, marque la survie des animaux. Les prédateurs ; carnivores, passent la journée à guetter les proies, s’ils ont faim ils s’empressent de s’y attaquer. Ayant fini leurs repas, ils se livrent, après une toilette au sommeil. Les proies, la plus part des herbivores, sont toujours sur leurs gardes et en surveillance continue des prédateurs pour éviter la surprise. Durant les saisons d’amours, les mâles mûrs et adultes s’affrontent, le plus puissant aura le droit de s’accoupler avec les femelles et l’honneur de commander le groupe. Le plus faible s’incline. Il n y’avait que la force qui autorise l’accouplement. Les parades nuptiales pour attirer les femelles sont inventées par la suite. De ces accouplements naissent les petits, fierté et soucis des femelles. Par le soutien et la protection des parents, les petits grandissent et deviennent adultes. Et instinctivement se comporteront, exactement, comme leurs ascendants. C’est ainsi que vivaient les animaux. La vie était simple, paisible et même heureuse, marquée par un magnifique « Prendre et donner », sans gaspillage et sans abus, une parfaite modération sous la l’égide de sa majesté l’instinct. Jusqu’au jour où un fait brutal surgissait brusquement, avait tout bouleversé. Ce jour là, une prophétie venait de se répandre, avertissant la proche arrivée d’un être étrange, de modeste corpulence, vulnérable appelé homme. Ne possèdera ni pelage, ni plumage pour se protéger du froid, n’aura à peine que quelques touffes de poils dispersées sur la tête et sur certains endroits du corps. À la place des serres tranchantes qui peuvent gratter les roches, n’aura que de larges et faibles ongles, Il sera dépourvu de canines coupantes qui pourront craquer les os coriaces et menu de faibles et larges dents à peine visibles même en ouvrant largement la bouche. Il se tiendra debout et courra sur deux pieds mais ne pourra jamais être aussi rapide que ceux possédant quatre pattes. Au lieu des ailes, il aura de faibles mains qu’il utilisera pour s’épouiller et l’aideront difficilement à grimer les arbres, il ne volera pas comme les oiseaux. N’aura même pas une queue pour s’émoucher et couvrir ce qu’on doit dissimuler. Toute fois, cet homme sera équipé d’une arme secrète qui, lui permettra une fois bien installé sur terre, de maîtriser l’âme du volcan, d’apprivoiser un bon nombre d’animaux herbivores les entourant d’infranchissables grillages en ronces épinées plus dures que la pierre. Il privera ainsi, leurs prédateurs d’en faire leurs proies. Seulement, ce survenant sera une menace, même pour les grands et les puissants prédateurs. Et ceux qui parviendront à en échapper à cet anéantissement, seront encerclés dans des réserves, et nourrit de ses déchets et ses excréments pour s’en distraire. En plus, cet humain amènera avec lui de menaçantes et effrayantes catastrophes. Un état de choc, de nervosité et de perplexité orna les animaux d’une épaisse et lourde frayeur. Les grands prédateurs de l’époque, seront les plus menacés par cette arrivée, eux qui ne connaissaient ni peur ni appréhension, ayant toujours vécu en liberté et, se sentant menacés, se demandaient : « Comment cette créature, plus faible que le plus chétif de nous, arrivera-il à maîtriser l’âme du volcan et nous menacera de cette manière ? ». Et selon la théorie d’évolution de Darwin, se demandant « Comment », sentant le stress ne prouve qu’une réalité : les animaux sont devenus réflectifs. Seul un être pensif peut s’interroger et chercher des explications. Le choc dépassé mais l’angoisse persistait, les animaux prédateurs, se mettaient séparément à raisonner pour éclaircir le concept de la prophétie. Les proies, faibles, ne se souciant de rien, se disaient : « Etre proie est un destin, dévoré par un tigre ou par un homme ne changera rien. Un ravageur de plus, un prédateur en remplace un autre ». Mais, pensant sérieusement aux catastrophes qu’engendrera l’homme, elles espéraient et s’attelaient, que l’homme sera plus indulgent que leurs prédateurs ; les nourrit, les engraisse puis les dévore.
La prophétie n’avait donné aucun signe de la manière dont cet homme atterrira sur terre, ni « Où » ni « Quand » sauf que son arrivée soit proche et qu’il faut réagir vite. Les animaux, perturbés, ne savaient ni ce qu’il fallait faire, ni par quoi commencer, mais ils avaient sentit quelque chose circulant et picotant le cerveau comme du sang circulant dans les veines d’une personne ayant subit une paresthésie, sentant un fourmillement. Ils avaient pris conscience d’une vérité : ils ont acquit un réflexe. [center]
L’exploration
Se réveillant de la torpeur, se sentant menacer, les animaux se trouvaient contraint à réfléchir et à réagir pour éloigner les dangers. Ils devaient se préparer à les affronter, à prendre leurs précautions pour éviter la surprise de leur assaillant. Prirent conscience de l’immensité de la terre, ne savaient pas où se situaient. Où commence cette terre et où se termine ? Quelle forme a-t-elle ? Leurs premiers réflexes étaient : découvrir, explorer, mettre sous surveillance, et contrôle tout point sur terre, afin d’avoir la possibilité de localiser l’homme dès son apparition, et de pouvoir l’anéantir avant de s’installer, et surtout avant de maîtriser l’âme du volcan. L’hyène (L’Espagne du 15eme siecle), prédateur redoutable, qui n’était ni boiteuse ni charognard, se réveillant de sa somnolence instinctive par l’effet de la crainte de la prophétie, fut surpris de l’invasion de ce que nous appelons actuellement : les animaux domestiques herbivores (Les Arabes en Andalousie)... | |
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| Sujet: Re: variations autour de Darwin. Jeu 24 Déc 2009, 15:40 | |
| - Liess a écrit:
Même le hasard a ses motifs qu’il faut chercher à débusquer. Ce qui hasard aujourd’hui, pourrait être une machination, une structure très bien ordonnée demain. Je ne sais si le hasard a ses motifs, mais en tout cas, il a ses causes, du moins dans ce cas. Chaque individu possède des caractères (couleurs des yeux etc...). Ces caractères sont portés par des gènes, eux même se trouvant sur des chromosomes. Sachant que, dans le cas de la girafe, chaque chromosome est en deux exemplaires. Lors de l'accouplement des girafe, la moitié des chromosomes du père et la moitié de ceux de la mère se mêlent (je ne donne évidemment pas les détails) pour donne un nouvel ensemble de gènes qui donne les caractères du descendant. De plus, lors de ce "mélange", des "chocs" peuvent intervenir, ce qui peut entrainer un brassage supplémentaire des gènes (par exemple, un morceau de chromosome peut être échangé avec un autre morceau, ce qui donne deux chromosomes différents, pour ceux que cela intéressent et qui voudrait des détails, cela s'appelle le crossing over. Pardon par contre si je ne suis pas en phase avec la conversation. En fait Liess, je n'arrive pas à savoir si tu cherches à discuter de la théorie de l'évolution ou si tu veux mettre un "vernis" scientifique sur ton histoire. |
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