Un jet de mots histoire de...

Je vois ce que les autres ne voient pas
allongée sur mon lit nuageux,
je vogue à travers les cieux vers des contrées inconnues.
L'herbe du matin parsemée de rosée
nous donne un petit aperçu
avant que l'aube aux doigts de roses pointe sa bouille ensoleillée.


La nature est mère,
mon enveloppe charnelle sa fille
Je suis une Bohème qui valse avec le Vent
avec un nuage pour compagnon de vie.

Ma vision est embrumée par des désirs enfantins
ma volonté d'échapper à la vie comme de la fumée
me permet d'accéder au statut le plus convoité:
la Liberté.

Avec mes yeux d'enfant rien ne m'échappe
Pour fumer mon herbe bien aimée
Aucune trappe n'aurait l'audace de tromper
mon oeil aiguisé.

Cette sensation de plénitude que seul les plus initiés caressent
permet d'atteindre sans maladresse l'Arbre des Vérités
tout disponible à nous offrir un peu de sa sève sucrée.

Mi-enfant; Mi-adolescente
mi-insouciant; mi-insolente
Je comprends la vie mieux que quiconque
mais n'arrive point à rendre compte.
Seules mes Pensées qui m'accompagnent arrivent
à me percevoir comme une Femme.
Comment te dire, comment vous dire que ma seule envie est de Vivre!


Voila c'est un poème que j'ai écrit, que les langues se délient et laissent libre cours à leurs impressions...

Toi, tu as lu Homère. Et tu as bien raison (sourire)

Effectivement, j'ai lu l'Odyssée étant donné que c'était dans mon programme de littérature cette année, mais cela ne m'a pas empêchée d'apprécier.

Magnifique, l'Odyssée, et de la fraîcheur dans ton poème.

je te verrais bien écrire des textes de chansons, ce qui est un genre exigeant, et pas du tout méprisable, au contraire !

Merci Rotko

Bons petits débuts en effet , une certaine légèreté bienvenue

cela dit, il manque un je ne sais quoi de corps et de vigueur là dedans

fous peut être plus de sensualité écrite dans ta plume là c'est encore un peu trop"vaporeux" et évanescent !

je t'encourage à continuer d'écrire quoiqu'il en soit

racbouni a écrit:

cela dit, il manque un je ne sais quoi de corps et de vigueur là dedans

racbouni a écrit:

Ce sont de belles trouvailles, mais dommage que le tout manque de densité pour atteindre vraiment les hauteurs poétiques...

La composition du sandwich Racbouni :

- une couche de sucrerie pour appâter le client,

- une appréciation sévère sur la qualité du texte proposé,

- un encouragement à poursuivre les efforts, introduit par un "quoi qu'il en soit", ou "cela dit".


Toutes mes excuses, j'ai des pulsions de malice, et je m'y abandonne de temps en temps;

Pardonnez-moi, le Créateur a raté mon ouvrage

J'accepte la critique si elle fondée c'est-à-dire argumentée, si la critique est juste là pour blesser elle n'a pas lieu d'être. Pour dire bref, elle est inutile et montre le caractère avilissant de la personne. Enfin bref, je m'égare mais je suppose que c'est du au propos sans queue ni tête de Rotko. qui ont un effet nuisibles sur ma pensée. Il faudrait que dans un avenir proche je me trouve un antibiotique pour remédier à cela...

En espérant que mon humour ne te froissera pas si ce n'est déjà fait...

Vous avez raison

dire :

"cela dit, il manque un je ne sais quoi de corps et de vigueur là dedans

fous peut être plus de sensualité écrite dans ta plume là c'est encore un peu trop"vaporeux" et évanescent !

je t'encourage à continuer d'écrire quoiqu'il en soit"


c'est vraiment être une crevure abjecte, un salaud qui ne cherche qu'à avilir.

J'ai honte de moi. Je vais me pendre. Adieu, c'est votre faute.

Je suis blessé à jamais ! aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah

Tant qu'il y a de l'humour, y a de l'espoir et de la convivialité

non ne faites pas ça racbouni, se serait regrétable et je ne veux pas être la cause de votre suicide...
Et Rotko tu as raison, l'humour supplante tout...

Petits poèmes sans intérêts.


Premier poème:

Ses yeux roulent sur mes hanches
et me déhanchent d'un battement de cils.
Dévorée par ses yeux couleurs pervenches,
je me penche pour qu'il me voit mieux.

Misère, ce n'est que chimères,
illusions, et petites badineries!
Mon amant n'est point là,
la Solitude le remplace,
cette vieille amie lasse de me voir
me contemple de son regard de glace.

Que dis-je? Ce n'est que le reflet du miroir d'en face.


Deuxième poème:


Nue dans un drap de satin blanc
Lui à l'entrée attend
Son regard imbibé d'innocence balaie ses courbes
Ce petit imberbe à l'air angélique tend son regard vers la demoiselle
Elle, regard noir, immense et profond "abyme" l'ange et en fait un homme...

Troisième poème:


L'écume surgissant de la "Mère",
résulte du dernier effort fourni.
Epuisement et souffrance sont les maîtres mots de l'enfantement.
La libération se fera ce jour-là qu'à un seul prix
en échange d'une autre vie.