Lucie en septembre.

Ok message reçu. Tu n'as pas encore lu mon 2eme texte. je t'invite à le lire et tu me diras ce que tu en penses. Alors j'attends tes remarques et tes critiques le cas échéant. Je ne sais pas si mon texte est visible pour les autres lecteurs. Je n'ai reçu d'eux aucun commentaire. Peut-être ne sont-ils pas intéressés par ce que j'écris. Tu m'expliques s'il te plait. Merci pour tes explications. Merci

Amadak, j'aimerais écire une langue étrangère aussi bien que toi le français.

Même les autochtones cultivés font des fautes de conjugaison, alors ne te dénigre pas!

Ne te vexe surtout pas si je te signale cette faute (Je pense que cela peut t'aider)

Citation :

parce que il y a très longtemps que je ne lisais rien écrit dans ce style. Cela me rappelle mes anciennes lectures.

Parce qu'il y a très longtemps que je n'ai pas lu (passé simple, l'action est terminée)

Encore bravo et amitiés

pour Fontelle:
merci, chère amie, toute correction sur la langue française est bievenue pour moi.
C'est difficile de vivre dans un pays étranger et maîtriser une autre langue. Je regrette beaucoup n'en savoir plus. Vous Français dès que vous ouvrez les yeux, vous avez tout en français, les journaux, la télévision, les conversations familiales, la radio, la publicité etc.. en un mot: tout ce qui me manque!! mais à l'oral je me défends bien( avis de français qui sont venus à Bs AS) car j'ai une bonne prononciation. Revenant aux contes de Rotko, moi j'ai aimé les deux, justement par la différence du langage. Promets moi, chère Fontelle de me corriger chaque fois que tu verras une gaffe et cette demande
je la fait parvenir à tous les Grains de Sel, mes amis que j'aime.

Polémique !!

Citation :

parce que il y a très longtemps que je ne lisais rien écrit dans ce style. Cela me rappelle mes anciennes lectures.

Citation :

Parce qu'il y a très longtemps que je n'ai pas lu (passé simple, l'action est terminée)

Pendant très lontemps je ne lisais rien d'écrit dans (ou de) ce style.

pour moi les deux formules d'Amadak et de fontelle sont bonnes, avec peut-être une nuance de style. L'ennui est que, contrairement à fontelle, je ne sais pas dire pourquoi

polémique
pardon, je deviens folle?

"je n'ai pas lu" pour moi c'est le passé composé,
pas le passé simple.

à mon modeste avis la phrase de rotko me semble la meilleure.

j'ai besoin d'être rassurée, les doutes vont m'empêcher d'écrire

aidez-moi svp

merci

Amadak je trouve que tu es bonne en français, ne t'inquiètes pas et continues à écrire. Moi qui suis française de souche, je fais encore des fautes d'orthographe et de grammaire ! je suis contente aussi lorsque l'on me corrige.

je ne voudrais pas jouer les conciliateurs à bon marché, mais les trois formules sont correctes, ce qui montre la complexite de la langue, mais qui se plaindrait d'avoir le choix ?

merci à ceux qui m'encouragent, mais j'accepte volontiers toutes les corrections; il faut toujours apprendre.

"j

Citation :

e n'ai pas lu" pour moi c'est le passé composé,
pas le passé simple.

désolée, mes doigts ont fourchés...
bien sûr c'est le passé composé..;

Je te fais mes plus plates excuses pour t'avoir induit en erreur

pour Fontelle,
chère amie, ne t'en fais pas!!! je ne parviens pas à atteindre ta cheville. Cette sorte de malentendus
arrivent souvent.

Super Mario(le).

A toujours dire « super ! » il m’énervait. Qu’il s’agisse d’un livre ou d’un film, il sortait toujours content.

- Comment l’as-tu trouvé ? demandais-je, en vrai naïf que je suis.

La réponse était invariablement « super ! ».

Il appartenait à cette catégorie de gens que Balzac nomme les « idemistes ». Toujours d’accord avec le dernier qui avait parlé.

J’avais donc décidé de l’éviter.

Pourtant je me rappelle notre dernière rencontre, elle aurait pu servir à son épitaphe, s’il en avait mérité une.

C’était le 21 juillet 2011, je roulais avec un bon vent arrière quand je dus ralentir devant un attroupement sur la route, avec voitures de police, ambulances et les inévitables curieux : un accident.

Un corps étendu sur la route, puis mis sur un brancard. Avant qu’il ne soit enfourné dans l’ambulance, je le reconnus. C’était bien lui !

- comment te sens-tu ? lâchai-je sottement..

- Super ! répondit-il.

Ce fut son dernier mot.