les vampires.

Je confirme que les deux opuscules « Le sang des vampires » et « les enfants du vampire » de Kalogridis sont épuisés.
Je les voulais.

Si quelqu'un sait où les trouver...

Moi, m'dame

Les Enfants du vampire d'occase et pas cher.

le sang du vampire chez pocket

Ah par exemple !

YES, YES, YES !

Merci !

Je suis sûre que c'est Nestor qui te l'a dit...

c'est vrai, Nestor est la reincarnation d'un chien policier surnommé SNIFF-SNIFF

Pour info, la Crevette vient d'acheter le tome 2 au bon prix de 2.80 euros que tu m'as déniché.

Le tome 3 à 18 euros n'est pas donné pour un poche.

Dis voir, SNIFF-SNIFF, tu pourrais pas me le dégotter moins cher ?

Oui, je sais j'abuse... Mais je suis fauchée à cause des impôts !

Pour Jean Marigny, professeur de littérature anglaise spécialiste de la littérature vampirique, au site maison-hantee.com, les histoires de vampire ont

Citation :

«tour à tour reflété le courant xénophobe de l'avant-guerre (peur des Allemands et des Russes), l'anticommunisme de la Guerre froide, puis plus récemment, le rejet de la société de consommation et des valeurs traditionnelles, la peur du Sida, de la drogue, de la violence urbaine, de la pollution industrielle, etc. A chaque époque, le vampire a eu un visage différent.»

petite retrospective - avec 2 videos, des films vampiriques sur Slate.

les vampires, ou du moins l'utilisation du thème dans les différentes productions litteraires et cinematographiques, fait l'objet de l'attention universitaire.
Pour preuve un séminaire récent sur «Buffy, tueuse de vampires», l'héroïne de la série télé de Joss Whedon.

Le philosophe Jocelyn Benoist, spécialiste de Husserl et de phénoménologie; le romancier Tristan Garcia, jeune normalien et agrégé de philo, auteur de «la Meilleure Part des hommes», prix de Flore 2008 ; Pascale Molinier, spécialiste du féminisme... nous apprend bibliobs qui en dit long.



Une image qui plaira à Monique Rannou et à Mouton S.

un film suédois qui est l'objet d'éloges

Let the Right One In (Låt den rätte komma in), de Tomas Alfredson (Suède 2008), avec Henrik Dahl, Kare Hedebrandt

Citation :

La Suède en hiver. La nuit éternelle. La neige. Les éclairages artificiels. Oskar, un jeune garçon fragile et introverti, bouc émissaire de ses copains de classe, se lie d’amitié avec sa nouvelle voisine, Eli, qui vient d’emménager dans cette banlieue de Stockholm avec son vieux père. Oskar comprend bientôt, et sans lui retirer une once de son affection, qu’Eli est en réalité un vampire…

Je regarde en ce moment une très bonne série sur les vampires : True Blood.

Synopsis (Allociné)

Citation :

Ayant trouvé un substitut pour se nourrir sans tuer (du sang synthétique), les vampires vivent désormais parmi les humains. Sookie, une serveuse capable de lire dans les esprits, tombe sous le charme de Bill, un mystérieux vampire. Une rencontre qui bouleverse la vie de la jeune femme...

DEL TORO Guillermo & HOGAN Chuck : La Lignée aux Presses de la Cité.

un entretien de Guillermo Del Toro sur culture-café.

Citation :

Co-écrit avec l’auteur Chuck Hogan, auteur de best-sellers de genre tels que Le prince des braqueurs, La lignée est présentée comme une vision extrême du mythe des vampires. L’histoire commence de nos jours, à New-York, alors qu’un Boeing 777 ne répond plus sur la piste d’atterrissage. Tous les occupants de l’appareil sont morts. Commence alors pour le docteur Ephraim Goodweather et son équipe des travaux dont ils n’auraient jamais soupçonné la nature…

J'ai regardé les deux premiers épisodes de la série True Blood, mais je dois avouer que cela ne m'a pas donné envie de continuer. Encore une fois, j'ai déploré le sempiternel cliché de la femme humaine et du vampire ténébreux qui doivent lutter ensemble contre les méchants qui veulent tout le pouvoir...

Par contre, l'idée de base, si elle n'est pas forcément originale, est intéressante à exploiter, car elle peut permettre de soulever beaucoup de choses. La suite est-elle plus alléchante, Prince d'Aquitaine ?

Sur Slate, un article sur la dérive du vampire, depuis le mythe ancien de Dracula jusqu'aux productions actuelles, avec des videos notamment de Nosferatu.

Citation :

Le vampire imaginé par Stoker était un être inhumain, cruel et diabolique, capable comme Satan de se transformer en créatures des ténèbres comme la chauve-souris ou le loup et de commettre tous les crimes possibles sans éprouver le moindre remords. Après tout, c’est normal : Dracula ne ressent rien, il n’est pas un homme.

Les cinéastes du XXe siècle, de Murnau à Herzog, l’avait bien perçu: le vampire leur permettait de poser la question du Mal absolu (la peste ou le nazisme). Et si chez Coppola le vampire devient aussi un être romantique, il conserve néanmoins toute sa dimension monstrueuse. Meurtres, viols, rire diabolique, sida… Coppola n’oublie rien.

Le thème de la pedophilie est exploité quand

Citation :

"une petite fille est transformée en vampire, ainsi condamnée à rester dans son corps d’enfant alors que son esprit et ses désirs grandissent. Résultat dérangeant puisque l’enfant entretient avec le vampire Louis de Pointe du Lac une relation de couple."

Pour Slate, Le racisme subi par les vampires devient la métaphore de l’homophobie, et il s'interesse au public des sagas et séries contemporaines : essentiellement jeune et féminin. La perversité du sexe chez Dracula se banalise.

Lîlâ a écrit:

J'ai regardé les deux premiers épisodes de la série True Blood, mais je dois avouer que cela ne m'a pas donné envie de continuer. Encore une fois, j'ai déploré le sempiternel cliché de la femme humaine et du vampire ténébreux qui doivent lutter ensemble contre les méchants qui veulent tout le pouvoir...

Par contre, l'idée de base, si elle n'est pas forcément originale, est intéressante à exploiter, car elle peut permettre de soulever beaucoup de choses. La suite est-elle plus alléchante, Prince d'Aquitaine ?

Bah moi, j'aime bien La suite est à peu près du même acabit, mais la pauvre humaine n'est pas si "humaine" puisqu'elle est télépathe; par contre, le vampire est lui bien ténébreux. Malgré tout, je trouve que cette série plante beaucoup de problèmes sociaux, notamment à travers les Eglises, les partis politiques, l'exclusion de l'autre à cause de sa différence.
Je dirais que c'est une assez bonne série, ce n'est pas un chef-d'œuvre, mais ça se regarde. J'en suis à la fin de la 2ème saison Cette une série qui se cherche pendant quelques épisodes, puis trouve un bon fil de croisière.

rotko a écrit:

Pour Slate, Le racisme subi par les vampires devient la métaphore de l’homophobie, et il s'interesse au public des sagas et séries contemporaines : essentiellement jeune et féminin. La perversité du sexe chez Dracula se banalise.

Au niveau perversité, Poppy Z. Brite est allée beaucoup plus loin qu'Anne Rice, qui, elle, aborde TOUS les thèmes que l'on peut lier au vampirisme, mais évite de sombrer dans les extrêmes au niveau de leur traitement. Elle conserve une certaine retenue.

Dans les Ames perdues, à travers un même personnage, on trouve non seulement l'homosexualité, mais aussi la pédophilie et la pornographe, le tout narré de façon assez crue.

Ce qui m'amuse, c'est de voir combien ce mythe devient, en effet, féminin. Non seulement les femmes constituent la majorité des lecteurs de ce type de livres (encore qu'il faut voir, parce que choisir Twilight ou Le journal d'un vampire n'est pas, à mon sens, opter pour le mythe, mais davantage pour un récit à l'eau de rose avec tous les clichés du mâle ténébreux et protecteur qui permet à la donzelle de se sentir unique, différente et supérieure...), mais en plus, la majorité des auteurs sont désormais des femmes. Et ce sont elles qui vont le plus loin dans la transgression des tabous.

A creuser, sociologiquement.

La Fascination des vampires de Jean Marigny chez Klincksieck, Collection : 50 questions




Le but de ces 50 questions est de s'interroger sur les origines lointaines du mythe du vampire afin de comprendre pourquoi et comment il est devenu l'un des grands thèmes de l'imaginaire contemporain.

Je le veux.

http://www.dracula-limmortel.com/


Vous étiez au courant ?

Pas du tout ça pour une surprise, une suite "officielle" ? Intéressant, mais j'ai tendance à me méfier des œuvres bénéficiant de ce genre de tapage médiatique, d'ailleurs on ne peut pas ressusciter Bram Stoker. Je trouve assez comique de notifier sur le site : "par son descendant direct" A-t-il Dracula dans le sang ?
A la lecture du premier chapitre je n'accroche pas vraiment, j'attendrais qu'il sorte en poche d'ici quelques années pour tenter la lecture

Grenouille Fraise a écrit:

"par son descendant direct" A-t-il Dracula dans le sang ?

Très bonne question

Bande annonce Darren Shan, l’assistant du vampire

c'est du gentil ou de l'horrificque ?

twilight 2 plait beaucoup aux moins de 13 ans, pas aux autres

il y a ‘peut-être du sexe’ parce que les héros ne peuvent pas, ne doivent pas coucher ensemble. Ça traîne, ça se déchire, ça hésite, ça s'en va, ça revient, etc.

rue 89

Citation :

Le vampire représente à la fois symboliquement la peur de la mort et le désir d'immortalité, la sexualité libérée et la peur du Sida, la domination d'autrui et la libération totale par rapport aux règles existantes.

Il incarne donc toutes nos contradictions et c'est à ce titre qu'il nous fascine.’

jean Marigny.

Bientot un film sur Vlad, un film sur la vie de l'empereur Vlad III, surnommé l'empaleur . L'homme est connu pour avoir inspiré Bram Stoker pour son chef-d'oeuvre Dracula

Hunnam a expliqué que son film se découperait en deux actes :

- le premier s'intéressant à l'enfance malheureuse de Vlad, un enfant enlevé par un sultan Ottoman et forcé de respecter les coutumes et croyances musulmanes à l'àge de 12 ans.

- Le second chapitre s'ouvrira sur l'évasion du jeune homme et sa prise de pouvoir, dans le sang et la peur. Devenu un puissant chef d'Etat, il s'opposera par la force aux Ottomans et fera régner la terreur sur ses terres.

il n'y serait pas question de vampires !

Homo vampiris de Fabien Clavel (professeur de français à Budapest).

290 pages aux Editions Mnémos.

• un thriller vampirique mené tambour battant où il dépeint un avenir sombre, bien plus terrifiant finalement que les êtres nocturnes qui le hantent. 21e siècle. 8 mai. Roumanie. 2h environ. Un patient s'échappe de l'Usine, une clinique d'un genre un peu particulier. Londres. 13h02. Une jeune étudiante quitte en courant une conférence de l'ONU etc...

En exergue,

Citation :

je suis Lilith-Isis l'âme noire du monde

(la fin de Satan, Hugo)

Il ya de l'action, de la baston, on va à Moscou, à Pekin, à Dubaï, dans le golfe de Guinée etc..

La vampire assoiffée de sang dans le train, monte sur le toît des wagons pour saigner les conducteurs. C'est le plus jeune qui fait la pause. Elle le..., bref ! elle lui pompe le sang avec un grand plaisir

Citation :

("son sexe s'apanouit comme une fleur")

pp 128-131.

Elle a le sang chaud, sait se battre, fait l'amour et la guerre, quel tempérament !

vampires


Une chaîne de télévision est contactée par une communauté de vampires belges pour un reportage.




Ma fille est amoureuse d'un humain, se lamente le père vampire

où "rouler un pelle" prend tout son sens.

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