Luc Besson: Arthur, Malavita, etc..

Je ne connais pas bien la bande dessinée mais j'ai plutôt apprécié le film... jusqu'aux 20 dernières minutes.
D'après les connaisseurs, l'histoire est un mélange de tous les albums d'Adèle Blanc-sec et à mon avis c'est bien dommage. Quel besoin d'ajouter au ptérodactyle les momies égyptiennes ?
Pour rester positive, le côté caricatural des personnages, autant dans le physique que dans le caractère, m'a bien plu. J'ai accroché aux personnages... tout en déplorant certaines faiblesses dans les dialogues et le jeu des acteurs. La Adèle qu'est-ce qu'elle cruche lorsqu'elle évoque sa soeur ! Son ironie, son recul aurait été bienvenu sur ce sujet là, au lieu de tomber dans un pathos absolument pas émouvant (et pourtant j'ai la larme facile au cinéma).

Citation :

L.Bourgoin manque de profondeur de jeu, elle est cantonnée dans la réplique ironique facile, et les moments d'émotion ne font pas grand chose.

Tout à fait d'accord Prince. Le film est trop tiède... mais du coup j'ai bien envie de lire la BD.

the lady

Michelle Yeoh y incarne la dissidente birmane Aung San Suu Khi.

un extrait exclusif sur le site de l'Express.

Aglae en a déjà parlé,

samedi 22 septembre, journée portes ouvertes à La Cité du cinéma.

La Cité du cinéma est installée à la Plaine-Saint-Denis, près de Paris, dans une ancienne centrale électrique d'EDF construite en 1933 pour alimenter le métro. Samedi, ce sera journée portes ouvertes, et le public pourra découvrir les 6,5 hectares du site, ses neuf plateaux de tournage, les ateliers de décoration, les salles de montage et l'école de cinéma Louis-Lumière. Les fans de Luc Besson ont déjà eu un aperçu des lieux. Le réalisateur y a tourné quelques plans de Léon (1994).

l'article du figaro.

Michelle Pfeiffer et De Niro incarnent des mafieux planqués en Normandie dans «Malavita», de Luc Besson, d’après Benacquista. On (Le Parisien) a adoré. Le romancier aussi
 
L’histoire de « Malavita », publiée en 2004, c’est celle de Fred Blake, un mafioso new-yorkais repenti qui vient se terrer dans un village normand sous une fausse identité, avec femme, enfants et chien, sous la protection d’un agent du FBI.
 
Spécialiste du thriller d’action, Besson a dopé « Malavita » avec des scènes de fusillade, donnant au film un faux air de « Tontons flingueurs » en plus violent. « Pour moi, les références sont avant tout américaines », corrige Benacquista. Il faut dire que « Malavita » a bénéficié d’une caution indiscutable en matière de films de mafia : le producteur exécutif n’est autre que Martin Scorsese…