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| | Les traductions littéraires de Josiane Frouchiez. | |
| | Auteur | Message |
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WILLIAM- habitué(e)
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 28/07/2013
| Sujet: Les traductions littéraires de Josiane Frouchiez. Lun 29 Juil 2013, 05:31 | |
| _____________________________________________________________________________________________ Les traductions littéraires de Josiane Frouchiez. Josiane Frouchiez habite dans le charmant petit bourg de Barque-Les-Ecluses dans le magnifique département de la Seine-et-Garonne. En décembre, Josiane a perdu son emploi de Maître-nageur à la Bibliothèque municipale. Très rapidement, Josiane, aimant la littérature romantique du dix-neuvième siècle, se mit à écrire quelques essais, quelques nouvelles. Monsieur Trichon, l'éditeur des éditions COLOR-CLIMAX, après lecture de plusieurs "nouvelles", conseilla Josiane dans le choix d'une carrière de traductrice. En effet, Josiane intervient quelques fois sur le Tchat de quelques sites sous d'amusants pseudos. Profitant des cinq lignes maximums, possibles, pour développer une idée littéraire. Quelques fois, une vraie fulgurence de sa pensée... Ses traductions, hermétiques pour le lecteur lambda, sont autant de messages à l'attention de ceux qui savent décrypter les hiéroglyphes et l'écriture cunéïforme des tablettes de Sumer... Un don de traductrice inné et certain. Josiane a donc décidé de suivre les conseils de Monsieur Trichon. Après avoir traduit l'intégrale de Gustave Flaubert en Mandarin ancien (du septième siècle), Josiane s'est très rapidement lançée dans la traduction de Emile Zola en Péruvien du XVIII ème siècle. Un succès. Après avoir également traduit l'intégrale d'Enrico Macias en Florent Pagny moderne, Josiane s'attaque à présent à l'intégrale de Guy de Maupassant en Tyrolien du dix-neuvième siècle. Un véritable challenge ! Un authentique défi. Ce travail phénoménal commence avec "LE HORLA", texte plutôt fantastique que n'aurait pas renié Edgar Allan Poë. Puis il y aura la traduction de "UNE VIE" et "BEL-AMI"... Autant de difficultés d'écritures. Sachant que le Tyrolien du XIX ème siècle est beaucoup plus guttural que le Tyrolien moderne. Tyrolien moderne qui devint beaucoup plus structuré, voire académique, à partir de 1948. Tout spécialement avec les travaux de Franz-Marc... Nous souhaitons, à Josiane, une réussite exemplaire. Un exemple qui saura donner espoir à toutes celles et à tous ceux qui font leurs premières armes littéraires sur le forum. Parfois avec un certain talent... ______________________________________________________________________ ___ Copyright - 2013 - B.J. - Tous droits réservés - | |
| | | Ysandre pilier
Nombre de messages : 18014 Age : 121 Localisation : sud ouest Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: Les traductions littéraires de Josiane Frouchiez. Lun 29 Juil 2013, 07:07 | |
| de l'humour ! | |
| | | nicyrle pilier
Nombre de messages : 5882 Age : 81 Localisation : Tout en bas, sous les orangers Date d'inscription : 05/02/2008
| Sujet: Re: Les traductions littéraires de Josiane Frouchiez. Lun 29 Juil 2013, 08:23 | |
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| | | WILLIAM- habitué(e)
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 28/07/2013
| Sujet: La "Culotte d'Or" décernée au "Club des renifleurs"... Mar 30 Juil 2013, 10:12 | |
| _______________________________________________________________________________________________ La "Culotte d'Or" décernée au "Club des renifleurs"... LA CULOTTE D'OR Personne n'ignore plus ces petites annonces que l'on rencontre quelques fois au détour d'un forum, sur un site "spécialisé". Ces annonces où une dame, (parfois un homme), propose d'envoyer à un (ou une) fétichiste sa culotte ou son slip portés une journée. On peut donc légitimement envisager le concept développé dans ce texte. Pourquoi ne pas fonder le "Club des renifleurs" ? En effet, il serait profitable d'avoir un local, des réunions mensuelles (menstruelles ?) et ponctuelles avec des statuts déposés en bonne et dûe forme. Le premier samedi soir du mois, les membres du Club se réuniraient autour d'un bon repas dans un local sympathique. Le Club pourrait introniser de nouveaux "MEMBRES" en les nommant "Chevalier-du-slip" ou encore "Seigneur-de-la-culotte", selon leur degré d'ancienneté dans la discipline du reniflage. Ce Club serait mixte et ouvert à toutes les confessions. En seraient exclus celles qui ne portent pas de culottes, ceux qui n'ont pas d'odorats ou encore celles et ceux qui changent de sous-vêtements toutes les trente minutes. Seraient nommés "MEMBRES D'HONNEUR" celles et ceux qui portent leurs sous-vêtements au moins huit jours de suite, vingt quatre heures sur vingt quatre. Des concours de reniflages permettrait d'organiser des PREMIERS PRIX" où seraient offert des Médailles, des Coupes et la "CULOTTE D'OR" ! Le détenteur de la "CULOTTE D'OR" serait animateur du Club pour une durée d'une année. Il y aurait un Président, un secrétaire, un trésorier, un chambellan, un rapporteur et un représentant local qui serait chargé des relations publiques. A tous les membres de ce "CLUB DES RENIFLEURS", souhaitons, joies, bonheur, plaisirs et odeurs corporelles... | |
| | | Marie kiss la joue Animation
Nombre de messages : 2576 Age : 36 Localisation : Rennes/Paris Date d'inscription : 03/04/2007
| Sujet: Re: Les traductions littéraires de Josiane Frouchiez. Mar 30 Juil 2013, 10:35 | |
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| | | rotko pilier
Nombre de messages : 69282 Date d'inscription : 26/12/2005
| Sujet: Re: Les traductions littéraires de Josiane Frouchiez. Mar 30 Juil 2013, 11:25 | |
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| | | Ysandre pilier
Nombre de messages : 18014 Age : 121 Localisation : sud ouest Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: Les traductions littéraires de Josiane Frouchiez. Mar 30 Juil 2013, 13:49 | |
| - dans l'antiquité... a écrit:
Rotko mais, très Cher.... dans l'antiquité, ils ne portaient pas de sous vêtements !!! | |
| | | rotko pilier
Nombre de messages : 69282 Date d'inscription : 26/12/2005
| Sujet: Re: Les traductions littéraires de Josiane Frouchiez. Mar 30 Juil 2013, 13:55 | |
| qu'en sais-tu ? tu n'y étais pas... | |
| | | WILLIAM- habitué(e)
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 28/07/2013
| Sujet: L'énigme du protocole des sages de Sion... Lun 05 Aoû 2013, 09:40 | |
| __________________________________________________________________________________________ L'énigme du protocole des sages de Sion. L ' Amulette sacrée livre son secret ancien ... C'est lorsque Solange découvrit l'amulette sacrée de Toutencarton que commencèrent à se manifester de curieux phénomènes . Faisant part de sa découverte à Maurice , maître-nageur sur la ligne Paris-New-York , Solange ne se doutait pas de la conséquence de son acte . Maurice , occupé à pomper l'eau de sa cave , suite à l'inondation dûe à l'orage de la veille , retire son masque et son tuba . Solange lui demande de garder le masque et le tuba , car la nudité de Maurice , bâtit comme un athlète , pourrait la troubler . Maurice se met à étudier le curieux objet . L'amulette est sans aucun doute un porte-clés publicitaire "Banania"de la troisième dynastie avant Jacques Dutronc . Lorsque Maurice introduit l'objet dans le bac à légumes de son réfrigérateur , Solange se met à réciter une fable de Jean De La Fontaine dans une langue inconnue . Le corbeau et le Renard . Maurice qui , pourtant , parle onze langues , et absolument toutes en Français , ne comprend pas un traître mot . Soumettant Solange au rayons ultra-violets de son scaner à impulsions pélagiques , Maurice découvre la cause du mystère . C'est dans les sous-terrains de l'église de Rennes-Le-Chateau , entre la tour Magdala et l'ancien présbytère de Béranger Saunière , que se trouve la clé de l'énigme . Le symbole du Prieuré de Sion est représenté sur le tableau de Nicolas Poussin : "Les bergers d'Arcadie" et sur le porte-clé "Banania" , trouvé par Solange . Solange reste convaincue qu'une partie du trésor des Templiers est caché dans le vide sanitaire des toilettes de Madame Marthe . En effet , Madame Marthe , la boulangère se disait "Cathare" et organisait des "consolamentum" dans la crypte de sa chapelle privée . Maurice reste très sceptique en descendant dans la fosse . En effet , Maurice , très pragmatique ne croit pas à toutes ces chimères . Rien n'est plus trompeur que les fausses sceptiques . Maurice préfère les vraies ... Vêtu de sa combinaison de mécanicien "Feu-Vert" , Maurice explore les abords immédiats de la boulangerie . Solange , dans la solitude de la crypte , prépare une de ses délicieuses fougasses aux olives noires dont elle a le secret . Lorsque soudain , semblant surgir du sarcophage , apparaît le fantôme de Vlad l'empaleur , plus connu sous l'amusant sobriquet de "Dracula" . Aussitôt , Solange , profitant de cette opportunité , demande à Vlad de surveiller la cuisson de la fougasse pendant que cette dernière invoque l'esprit d'Emma Calvé . Emma Calvé apparaît en chantant la Traviata . Le mystère est enfin levé lorsque Dracula avoue à Solange que le secret de Rennes-Le-Chateau a été enterré sur la lune , en 1969 , par Lance Armstrong , juste après que ce dernier eut gagné son dernier Tour de France . Lance Armstrong est souvent confondu avec son frère Louis qui jouait de la trompette à la Nasa . Maurice , content du dénouement heureux de cette sombre histoire , retourne pomper l'eau de sa cave . ____________________________________________________ Copyright - B.J. - 2012 - Tous droits réservés - ____________________________________________________ | |
| | | Ysandre pilier
Nombre de messages : 18014 Age : 121 Localisation : sud ouest Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: Les traductions littéraires de Josiane Frouchiez. Lun 05 Aoû 2013, 18:45 | |
| hello ! William j'aimerais bien te dire ce que je pense de ta prose, mais quelque chose me dérange .... tu postes, mais tu ne participes pas au forum. Je trouve grand dommage que tu ne le fasses pas, nous, les Grains, avons l'habitude d'échanger, nous sommes comme ça ! aussi vais-je réserver mon opinion sur L'énigme du protocole des sages de Sion. A bientôt, peut-être ? | |
| | | WILLIAM- habitué(e)
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 28/07/2013
| Sujet: Alex Comunier... Mar 06 Aoû 2013, 12:01 | |
| Alex Comunier (1768 - 1823) Alex Comunier est né le 26 janvier 1768, dans une famille de curés. Originaire de Brest, dans le Gers, d'une famille où l'on était curé de père en fils, le jeune Alex Comunier s'illustra très tôt pour sa manie de collectionner les porte-clés. Alex Comunier inventa la copocléphilie, cet art de collectionner les portes-clés. Il écrivit à ce propos, à l'âge de seize ans, sa première encyclopédie en douze volumes de sept cent pages chacun, l'historique du porte-clés à travers le monde. Rapidement, Alex Comunier devint célèbre et fut amené à donner des conférences dans toute l'Europe. C'est d'ailleurs Alex Comunier qui donna au jeune Wolfgang-Bang Amédeus Mozart, avec qui il voyageait en solitaire, sa toute première clé de Sol accompagnée d'un magnifique porte-clé en ivoire de mamouth fossilisé. Alex Comunier récidiva quelques années plus tard en offrant au jeune Ludvig-van-Byte-au-vent sa toute première clé de Fa accompagnée d'un splendide porte-clés en nacre jaune incruté d'abalone du Texas. Alex Comunier, coutumier du fait, fit également cadeau de la clé d'Ut à la belle flutiste virtuose qui l'accompagnait partout, la jeune et célèbre Anne-Fée Lation. Alex Comunier s'éteignit le 12 avril 1823 dans son manoir de La Tourelle en Sologne dans sa ravissante petite ville de Namur. | |
| | | WILLIAM- habitué(e)
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 28/07/2013
| Sujet: L'art fin de la flatulence... Jeu 14 Nov 2013, 13:40 | |
| L'art de la flatulence. Depuis des années, en parfait virtuose, je cultive l'art de la flatulence. Attention, je tiens à préciser que je cultive cet art dans le plus parfait "clacissisme" et le plus parfait "académisme". Dès la veille de la prestation publique, je prépare ma partition avec une diététique appropriée. Rien ne réussi mieux à mon "instrument" qu'une délicieuse salade de champignons. Ingérée de préférence en soirée. Ainsi, après une bonne nuit de transit intestinal, les "munitions" sont prêtes. Il faut imaginer le principe de la cornemuse. Ce sac d'air qu'il faut savoir vider de façon musicale avec doigté. Donc, à l'heure du "concert", de préférence à la messe de 10 h, au cinéma, au théatre ou lors d'une conférence, je peux interprêter ma partition au maximum de mes possibilités. Sans forcer ma respiration. Ce qui est d'une importance primordiale. Du plus profond de mes entrailles, je peux sentir ce grondement sourd qui va aller en s'amplifiant. Je peux le sentir se déplacer dans mon ventre, suivant les courbes magnifiques de mes intestins. Là, en sachant qu'il n'y aura aucun risque pour le slip, je me mets en équilibre sur une fesse. La gauche de préférence. Je serre les fesses afin de ne laisser passer que le strict nécessaire de "vent". Cela me permet de moduler longuement la nuance sonore. Le résultat est souvent au-delà de mes espérances. Inodore... Partant du Do le plus profond de la clef de Fa, longuement je module la note pour l'emmener vers le Si bémol de la clef d'Ut. C'est un véritable frisson de plaisir, intense et viscérale, qui m'anime à ce moment d'interprétation sublime. Le Si bémol laisse toujours une effluve d'oeuf-mollet qui persiste dans les espaces étroits. Pendant que j'émets cette première salve, au fond de mon être, je peux déjà sentir la préparation de la salve suivante. Puis, dans un long chapelet de notes, plus classiques et plus académiques les unes que les autres, j'arrive à la Coda du premier mouvement. Les effluves sont suaves et persistantes... Dans la salle, c'est la stupeur. Les regards se croisent, interrogateurs, suspicieux et inquisiteurs. Qui est l'interprête de ce mystérieux concerto ? Que l'on me pardonne cet oxymore, mais j''aime cette "célébrité anonyme". Mon génie ne réclame nulle gloire, je ne suis pas un de ces vulgaires pêtomanes populaires qui font la joie des music-halls. Non, je suis un esthète, un "sculpteur" de la flatulence. J'ai déjà remporté de nombreux succès. Je me souviens de cette conférence sur l'ozone où, en parfaite harmonie avec le sujet, je ponctuais chaque intervention du conférencier d'une magnifique modulation vibrante et sonore, le plus souvent en Fa dièze. Un magnifique Fa dièze, pur et divin, ne peut s'obtenir qu'avec un véritable cassoulet Toulousain, ingéré la veille au soir. Attention toutefois aux conséquences humides. Les effluves effroyables peuvent faire repérer l'interprête... Un beau Sol, généreux et précis, ne peut s'obtenir qu'avec des pruneaux, ingérés la veille au soir. Toutefois, il faudra se méfier des noyaux qui peuvent générer une légère occlusion passagère mais pénible durant l'interprétation. Les effluves en sont immondes mais passagères... Personnellement j'évite le Mi bémol et le La. En effet, je n'aime pas la paëlla ni le couscous. Et surtout pas en soirée. Si l'on désire "jouer" dans ces tonalités, je ne saurais trop conseiiler le port d'un masque à gaz... Les personnes désireuses de savourer un concert privé, n'hésitent surtout pas à me contacter. Je pense entreprendre une tournée des "salons" pour 2014. Tenues correctes exigées... Contacts par MP uniquement... | |
| | | WILLIAM- habitué(e)
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 28/07/2013
| Sujet: Sans doute une admiratrice... Sam 01 Mar 2014, 13:38 | |
| Sans doute une admiratrice... Un matin, en ouvrant une de mes boîtes mails, je tombe, (sans me faire le moindre mal), sur un intitulé sybillin. En règle générale, lorsque le mail a une provenance inconnue, je ne l'ouvre pas et il passe à la corbeille. Mais, là, une certaine originalité poétique du titre, éveilla ma curiosité. J'ouvrais le message et le lisais à plusieurs reprises. C'était le message d'une personne, sans doute du sexe féminin, (mon préféré), à qui je donnerais, ici, le pseudo de "Académia". Dans sa réalité, le pseudo était moins beau, mais j'ai besoin de rendre les choses plus belles pour en relater le déroulement. Sur Internet, nous ne sommes jamais certain de l'identité sexuelle de notre interlocuteur, sauf pas le biais de la web-cam qui reste la formule la plus sûre. Je reste donc toujours très méfiant. Il y a toujours, quelque part, une erreur ou une inadvertance, qui peuvent nous éclairer, voire nous apporter un début de certitude. "Académia" m'invita donc à échanger, plus ou moins régulièrement, de tout et de rien. Je suis un homme, un vrai, avec les attributs et la libido qui vont avec. Donc, très rapidement, au-delà des trois ou quatre premiers échanges de circonstances, j'aime évoquer la sexualité. Ce qui est parfaitement normal. Je déteste perdre mon temps en évoquant la cueillette des champignons, les recettes de cuisines ou encore les soldes chez Auchan. Je n'exerce pas en tant que psychanalyste bénévole... "Académia" semblait partante et plutôt complice de mes premières "avances" virtuelles. J'apprécie l'honnêteté, je suis direct, je déteste l'hypocrisie, les faux-derjes et les peine-à-jouir. Dans ce sens, dans ma quatrième prose, je joignais à mon message, long et sympathique, une belle photographie de moi, en randonnée, prise deux ou trois jours plus tôt. Comme je suis plutôt bel homme, athlétique, sportif, je n'ai pas honte de ma plastique avantageuse. Je suis "partageur"... Curieusement, "Académia", trouva mon initiative photographique un peu "cavalière". Un peu comme une chose insurmontable. Je ne lui demandais strictement rien en retour. Mais j'espérais une réciprocité qui permettrait de mettre une image sur des mots. Ce qui est, il faut bien l'admettre, la première des civilités, un des tous premiers processus de sociabilisation, dans notre condition humaine. Rien de plus efficace pour commencer de basculer du virtuel au réel. Bref, la moindre des convenances... Je ne "pratique" pas de la moche. Il me faut un physique en rapport, attractif et évocateur... Jouer carte sur table. Jouer franc jeu. Tel est mon fonctionnement d'homme intègre. La réponse fut toutefois sympathique et, comme si "Académia" occultait ma "transparence", son message fut long et agréable. Je ne sais toujours pas sur quel forum, j'ai eu le premier contact avec "Académia", car je sévis sur un grand nombre. En tant qu'administrateur, en tant que modérateur ou en tant qu'intervenant, comme sur celui-ci. "Académia" restait évasive, pas vraiment secrète, mais "amnésique". Ce qui n'avait pas grande importance... Je n'ai plus répondu. Laissant "Académia" avec un silence et une absence définitive. Et là, je m'adresse à toutes les "Académias" passées et à venir : Dans l'impossibilité de pouvoir mettre un visage sur des mots, ces derniers achêvent de se diluer dans une abstraction qui m'est inutile... | |
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| Sujet: Re: Les traductions littéraires de Josiane Frouchiez. | |
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