Gerard De Villiers et SAS.

Gérard de Villiers : la consécration américaine

Le "New York Times" consacrait mercredi un grand portrait au créateur de SAS, l'homme le mieux renseigné du monde, qui murmure à l'oreille des puissants.

L'article égrène les "coups" du romancier. Le chemin de Damas (1), l'un des derniers volets des aventures de Malko, décrit par le menu l'attaque d'un centre de commandement du régime syrien, à deux pas du palais présidentiel à Damas. Sauf que le roman sort un mois avant que le régime de Bachar el-Assad ne soit décapité par un attentat, bien réel celui-là, contre le bâtiment de la Sécurité nationale. Il y a un an, Les fous de Benghazi narrait comment les islamistes ont investi la Libye post-Kadhafi, et le combat que leur livre la CIA. Le tout six mois avant l'assassinat de l'ambassadeur américain en Libye, Christopher Stevens.

"Le roman, ajoute Robert Worth, contenait des descriptions du QG de l'agence à Benghazi (top secret à cette époque), devenu depuis un point central de la controverse sur l'assassinat de Stevens." Dans les années 80, le même Gérard de Villiers imagine l'attentat contre Anouar El Sadate un an avant qu'il n'ait lieu : "Les Israéliens savaient et n'ont rien fait", lâche l'écrivain, "avec un haussement d'épaule gaulois", précise le journaliste

Ma parole, je rêve ! et l'article du Point qui en rajoute sur ce qu'en dirait le "New York Times" !

Citation :

Hubert Védrine, [...] invita le créateur de Malko à dîner quand il était ministre des Affaires étrangères et l'a accueilli en lui avouant : "Je voulais vous parler, car j'ai découvert que vous et moi, nous avons les mêmes sources."

l'article du Point

qui c'est, Malko ?

Ysandre a écrit:

qui c'est, Malko ?

Le héros des bouquins de Gérard de Villiers , je n'ai jamais accroché avec ses bouquins de gare...

ah bon ! hé bé, ça manque "à ma culture" !

Cactus m'a grillé mon post.

d'accord, un prince raffiné et brutal, impitoyable et charmeur, sodomite d'après l'article. Cet article du NYT puis du point me paraissent invraisemblables pour de l'écriture très bas de gamme, avec stereotypes, vulgarités, machisme, misogynie et j'en passe.

bon, bah j'ai bien fait de ne pas y mettre mon nez !

Citation :

Cactus m'a grillé mon post.

bienfait pour toi ! (lémurien méchant comme une gale !)
de toutes façons, que peux tu dire d'un "auteur" vulgaire, machisme, sodomite, misogyne, et t'en passe ! ? tu ne veux tout de même pas nous inciter à le lire ? (lémurien raisonneur...)

D'un autre côté c'est bon à savoir pour l'éviter...

Chez De Villiers c'est l'accumulation des tares qui m'éloignent de sa lecture, je préfère lire un bouquin de Pedro Juan Gutierrez

Comment expliquer ces invraisemblables considérations du New York Times et ensuite du Point qui s'en fait le relais ?

je mentionne, je fais part, loin de moi de conseiller !

oui, tu as raison !
on m'avait dit que "gérard de villier" n'était pas "un" auteur, mais une sorte d'éditeur qui faisait travailler des "nègres" pour sont compte. Genre "industrie de l'écriture". Il ne se bornerait qu'à donner les canevas .... mais je suis méfiante avec les "on"

A moi aussi des "on" m'ont dit la même chose...Bizarre, bizarre....

le lémurien enquêteur est sur la piste..

c'est évident !

S.A.S. (nom issu du titre Son Altesse sérénissime) est une série de romans d'espionnage (191 ouvrages publiés début 2012) écrite par Gérard de Villiers

Editions Gérard De Villiers - vente de romans policiers, érotiques et de science-fiction. SAS, Blade, Jimmy Guieu, Série X

que du caniveau.

Crocus ! tu as un don de double vue !
j'étais entrain de fouiner sur Gougoule ! avec ma lampe électrique ..
ce de Villiers-là est très mondain, il semble qu'il soit habituer à renifler sous les bureaux des "bien informés", et même, (il entretient le "bruit") des grosses pointures des services secrets.

t'inquiète pas ! j'ai horreur de ces odeurs-là. Mais le personnage m'intrigue, où trouve-t-il tous ces renseignements ? crois-tu, comme semblent l'affirmer les journalistes, que des gens comme les Grosses Pointure du Renseignement viennent lui faire part des secrets d'Etat ?

Ysandre a écrit:

t'inquiète pas ! j'ai horreur de ces odeurs-là. Mais le personnage m'intrigue, où trouve-t-il tous ces renseignements ? crois-tu, comme semblent l'affirmer les journalistes, que des gens comme les Grosses Pointure du Renseignement viennent lui faire part des secrets d'Etat ?

ben voyons

le pire est que le Point accrédite, en ne le dementant point, et en rapportant sans aucune réserve l'idée de contacts avec Hubert Védrine par exemple.

Dans la même collection Jimmy Guieu est en contact permanent avec les extraterrestres.(speciales grosses pointures !)

Citation :

Dans la même collection Jimmy Guieu est en contact permanent avec les extraterrestres.(speciales grosses pointures !)

alors ça, c'est pas vrai ! je le saurais, quand même ! en tant qu'extra-terrestre moi-même, j'ai des infos de première ! ce Jimmy machin n'est qu'un imposteur ! et pourtant... je ne chausse que du 37/38 !

«Le vrai talent de Gérard est caché par ce qui fait son succès», juge l'éditeur Bernard de Fallois, allusion à l'érotisme baroque de ses romans, comme la fameuse «poussée en avant» d'un «membre turgescent» dans la «croupe callipyge» d'une «splendide salope tropicale».

Ce n'est pas avec de telles phrases que bibliobs convaincra du "talent" de gérard De Villiers...

je ne suis pas non plus convaincue ! je le prend pour un racoleur, sans talent, ce qu'il écrit et fait écrire par ses "nègre", c'est de la soupe ! le type même du roman de gare!
recette : un sujet lambda, rebattu, un héro qui se tire de toutes les situations, des jolies filles, des scènes de sexe pour voyeur-frustré, etc... et moi non plus, ce n'est pas la phrase que cite bibliobs (d'ailleurs ... que va-t-il faire dans cette galère ?) qui me convaincra du "talent" de ce "bisnessman" de l'écriture !

bibliobs se déconsidère avec de tels propos.

tout à fait d'accord avec toi.

Mort du prévenu.

Citation :

Gérard de Villiers était (...) le dernier survivant de la 'vraie littérature de gare'. C'est-à-dire quelqu'un lu par tout le monde, même si, pour certains, c'était en cachette." la lecture des SAS, "de vraies enquêtes géopolitiques", permet d'"avoir une vision large de tous les événements internationaux depuis la guerre froide".

jerôme leroy.

et certains d'en rajouter sur la pertinence de ses contextes politiques ; mais le mythe a du mal à décoller.

Rotko a écrit:

Mort du prévenu.

quel humour si tôt le matin