gilles D.Perez le goût des abricots secs

chez la brune, editeur du rouergue.

Un récit d'amour et de musique (scènes d'enfant, de Schuman) qui a selon l'editeur obtenu plusieurs prix dont le prix Senghor du premier roman francophone.

Je me réjouis de ces distinctions qui montrent que, dans la lecture comme dans la nature, les goûts sot différents

Entre les amours du Vieux et du Jeune, tous deux esseulés, car l'un vient de perdre son épouse, et l'autre pense à sa Véra absente, je ne savais plus où j'en étais.

Les passages d'un couple à l'autre m'ont paru mal balisés, et les rapports entre les personnages, peu convaincants.

J'ai trouvé aussi de fâcheuses répétitions, pp 50 51, où les personnages disent deux fois la même chose : "j'ai envie de me dégoudir les jambes" x 2, la pianiste nue à son piano "sans autre vêtement que ce collier autour du cou"; là c'est pire, x 3 ou 4.