Ou je ne l'ai pas vu ou il n'est pas encore fait mention de cet auteur marseillais de père grec et de mère italienne, ancien photographe et "père" de Constantin le Grec qu'il a créé en 1998. Voici que sort le 17e opus des ses aventures mi-polar mi-baroudeur sous lun titre façon Poulpe : L'Année de tous les Tanger. C'est drôle, ça ne pète pas plus haut que son cul, c'est plein d'expressions locales et ça ne prétend pas au Goncourt, mais bon sang que ça fait du bien à lire ! Je ne voudrais pas déflorer le sujet, sachez cependant que Constantin vit à présent avec sa copine Anaïs sur un bateau. Elle a monté avec un copain, ex-flic, une agence de privés et c'est de là que tout démarre. Une aventure délirante qui ramène Constantin dans la Grosse Pomme qu'il a beaucoup fréquentée, des canards en veux-tu en voilà à l'intérieur du célèbre immeuble Dakota, des Latinos pas gentils du tout. Bref, ça déménage.
Del Pappas est maintenant publié chez Après la lune qui, on ne sait pourquoi, annonce la parution de ce bouquin pour le juin 2011 alors qu'il est en librairire !