Luis Sepulveda - [Chili]

soussou a écrit:

j'y dépose un précieux grain * pour ce bon roman, utopie.

Moi, si je peux, j'y mettrai bien un grain sur "Le Monde du Bout du Monde". Il m'a trop marqué !

"le vieux qui lisait des romans d'amour"

Magnifique hommage à la beauté et à la faune de la forêt amazonienne menacée de plus en plus de mort par les hommes.
Justement procés à l’homme destructeur, aux « gringos » qui ne savent pas ou ne veulent pas savoir et foncent en détruisant et en tuant simplement pour le geste et non par besoin pour revendre, ce qu’ils ont volé à la fôret.
L’histoire d’une femelle jaguar à qui on a tué tous les petits et ses relations avec les hommes, et particulièrement avec ce vieil homme, est émouvante.
C’est mon coup de cœur de l’année jusqu’à maintenant.

je mets moi aussi 1 grain !

Mon histoire avec cet auteur commence il y a deux ans. J'ai trouvé par terre, au bas d'une étagère, un exemplaire de 'Le Vieux qui lisait des romans d'amour', je l'ai dévoré. Et il y a trois semaines, j'ai acheté le recueil 'Rendez-vous d'amour dans un pays en guerre'.

Je trouve que dans ce recueil, le train est comme un leitmotiv qui revient, et que je trouve interessant.

Bon, j'ai d'autres choses interessantes à dire sur cet auteur, bien qu'un grand nombre aient déjà été précisées dans d'autres posts.
Mais l'heure me rend quelque peu muette!

Bonne nuit à tous.

marie chevalier a écrit:

"le vieux qui lisait des romans d'amour"

Magnifique hommage à la beauté et à la faune de la forêt amazonienne menacée de plus en plus de mort par les hommes.
Justement procés à l’homme destructeur, aux « gringos » qui ne savent pas ou ne veulent pas savoir et foncent en détruisant et en tuant simplement pour le geste et non par besoin pour revendre, ce qu’ils ont volé à la fôret.
L’histoire d’une femelle jaguar à qui on a tué tous les petits et ses relations avec les hommes, et particulièrement avec ce vieil homme, est émouvante.
C’est mon coup de cœur de l’année jusqu’à maintenant.

je mets moi aussi 1 grain !

Excellentes aussi les péripéties chez le dentiste : arrachages de dents à volonté !

Le mouton sauvage a écrit:

Le neveu d'amérique

Un long voyage de Luis Sepulveda à travers l'Amérique latine. Souvenirs d'antan, extraits de carnets de notes (perdus ou retrouvés), Luis nous propose de découvrir ses pays d'attache en parcourant ses montagnes, ses forêts, traversant des rivières et franchissant des frontières.

Le voyage est même trop court, tant je souhaiterai avoir plus d'images, plus d'anecdotes et de rencontres de ces contrées lointaines. Et comme souvent avec Luis, les problèmes politiques et les préoccupations écologiques sont souvent présentes, au détour d'un village, d'un peuple...

Citation :

Puerto Bolívar est au bord du pacifique, tout près de Machala, au sud de Guayaquil. La mer est présente dans la brise qui parvient par moments à dissiper les bouffées d’air humide et chaud provenant de l’intérieur des terres. On peut voir et entendre la mer, mais on ne la sent pas. A Puerto Bolívar on embarque les bananes équatoriales pour le monde entier. A cinq kilomètres de la jetée s’ouvre un trou vaste comme un stade de football et d’une profondeur inconnue. C’est là que finissent les tonnes de bananes impropres à l’exportation, soit qu’elles ont mûri trop tôt, soit qu’elles présentent des taches suspectes de parasites ou encore que le propriétaire de la plantation, ou le transporteur, a refusé de payer l’impôt prélevé par les mafias du secteur.

Ce livre est composé comme une suite de récits autobiographiques de Sepúlveda. Suite à deux promesses faites à son grand-père : lire "Et l'acier fut trempé" de Nicolaï Ostrovski et aller à Martos en Andalousie, où ce dernier est parti pour les Amériques. L'auteur va parcourir tout le continent latino-américain, pratiquer toutes sortes de métiers et surtout rencontrer des destins extraordinaires. Ce sont aussi les premiers engagements politiques, l'exil, le totalitarisme, les tortures et son entrée en littérature.

Le premier récit relate ses deux années et demie passées dans une des plus infâmes prisons chiliennes, celle de Tumeco. Narration des compagnons d'infortune comme Rudi Weismann, retrouvé mort de tristesse un matin. Le commandant du camp est un fanatique de Rommel dans cette prison où mène le voyage à nulle part. Les deux parties suivantes représentent des instantanés de voyages, des rencontres incroyables. Nous traversons la Patagonie Chilienne, l'Argentine, la Bolivie, l'Amazonie en compagnie de gauchos, d'aviateurs, de nomades ensorcelants jusqu'aux retrouvailles avec le frère de son grand-père, terme du voyage en Espagne.

C'est un bouquin passionnant avec une écriture incomparable. Votre esprit part vers des contrées sauvages, avec des hommes vrais, puissants, sauvages, fiers et chaleureux. Car la prose de Sepúlveda vient du cœur...

Je viens de lire Les Roses d'Atacam

Ces très courtes nouvelles m'ont aussi enjoué que ces romans. Vraiment agréable de découvrir certaines des relations liées au cours de ces récits. C'est court certes mais justement j'y trouve aussi un côté pratique dans mes courts trajets de bus...

Enfin bref, comme d'habitude Sepulveda m'a emmené quelque part dont je ne croyais plus à l'existence tout en étant conscient que petit à petit ce qu'il décrit disparait...

En résumé, le camarade Luis mérite d'entrer au Panthéon de la littérature...

En attendant, il est en photo, encadré avec d'autre sur le mur de mon salon.

Je trouvais intrigant ce titre "Le Vieux qui lisait des romans d'amour", alors je l'ai lu sans me douter de sa renommée. J'ai bien aimé. Ce n'est pas le livre que j'emporterais sur une île déserte, mais me plonger dedans est comme retrouver un îlot de paix (plutôt idéal au cœur d'une ville cinglée).

On demande pourquoi on aime écouter Sepulveda et pourquoi il nous est sympathique.

Dans ce recueil de nouvelles (133 p. chez Métailié) il tient son auditoire sous le charme, avec des personnages « fabuleux » : non des riches ou des puissants, mais des « qui-ont-vécu », qui sont passés par de multiples endroits, avec des hauts et des bas, toujours ingénieux et confiants.

Ainsi « le Turc » de la nouvelle titre (La lampe D'Aladino), en fait un Palestinien qui arrive en Patagonie, riche d’objets à faire rêver, et si généreux que le sort le récompense d’une nuit d’amour.

Les bons contes font les bons amis, et le conte se conjugue au carré : l’un raconte à son chien un épisode de sa vie, l’autre écoute l‘album de son amie absente, et l’auteur parle de la Patagonie. Des récits gigognes.

Avec des trouvailles farfelues mais ingénieuses - les pièces d’or dans le chien, (la petite flamme têtue de la chance). On passe de la réalité au rêve, de la vie à la mort,( Café Miramar, Le cœur de Maria), et inversement, sans aigreurs, mais avec confiance. Suffit de tenir droit dans l’adversité (L’Arbre).

Le conte part en ritournelles, s’amuse de refrains, sur une musique qu’on fredonne ( Ding dong Ding Dong ! son las cosas del amor), avec des retrouvailles, des pertes de vue, voire des oublis, momentanés.

Citation :

« Car la vie est ainsi faite[…], la vie est ainsi faite[…] parce que la vie est ainsi faite »

.

Histoire de la mouette et du chat qui lui apprit à voler.


Une mouette mazoutée atterrit sur un balcon et, avant de mourir, confie l’oeuf qu’elle vient de pondre à Zorbas, le chat de la maison. Il lui fait la promesse solennelle de protéger Afortunada, le poussin orphelin, et de lui apprendre à voler… Plutôt embarrassé par cette mission insolite, le matou va s’en acquitter avec l’aide des autres chats du port. Un ouvrage attachant, mêlant tendresse et humour, et qui est déjà devenu un classique.


Un très beau conte, aussi bien pour les enfants que pour les adultes.
Sepulveda nous transporte dans un monde fantastique autour duquel opère la poésie, la tolérance et l’écologie
.
Si le poète fait voler les mots, cette œuvre nous donne des ailes, et c’est en survolant l’humanisme et la beauté des lignes de Sépulveda que nous plongeons non sans attachement dans son univers.

Un petit livre que je ne manquerai pas de laisser entre les mains de mon fils.

Après avoir lu Le vieux qui lisait des romans d'amour, je viens de terminer Histoires d'ici et d'ailleurs.

La tendresse de Sepulveda pour son pays, son retour au Chili après 20 années d'exil, la genèse du Vieux qui lisait des romans d'amour, les Shuars entr'aperçus, ses camarades de rébellion contre Pinochet... Sans oublier les "brèves de comptoir" et autres faits divers géniaux... A lire, vraiment, surtout que chaque chronique (excepté la première) doit faire entre 5 et 10 pages...

Une citation tirée du Vieux qui lisait des romans d'amour :

Citation :

Comme il était du premier quart, le vieux s’appropria la lampe à carbure.

Perplexe, son coéquipier le regardait parcourir avec sa loupe les signes réguliers du livre.

- C’est vrai que tu sais lire, camarade ?
- Un peu.
- Et tu lis quoi ?
- Un roman. Mais tais-toi. Quand tu parles, tu fais bouger la flamme et moi je vois bouger les lettres.

L’autre s’éloigna pour ne pas le gêner, mais l’attention que le vieux portait au livre était telle qu’il ne supporta pas de rester à l’écart.

- De quoi ça parle ?
- De l’amour.

A cette réponse du vieux, il se rapprocha, très intéressé.

- Sans blague ? Avec des bonnes femmes riches, chaudes et tout ?

Le vieux ferma le livre d’un coup sec qui fit trembler la flamme de la lampe.

- Non. Ça parle de l’autre amour. Celui qui fait souffrir.

Une citation tirée d'Histoires d'ici et d'ailleurs :

Citation :

5 février : livres.

J’ouvre la porte et je vois un jeune homme auquel il ne manque plus que le chapeau de Baden Powell pour ressembler à un scout. Il déclare aussitôt qu’il ne demande ni argent ni nourriture, juste des livres, car dans son quartier, ils sont en train de créer une bibliothèque. Après quoi il montre divers documents prouvant sa qualité de biblio-volontaire dans une commune pauvre de Santiago.
Il emporte avec lui Cavalerie rouge d’Isaac Babel, un roman d’Andrea Camilleri, Le Voleur de goûter, un autre d’Alfonso Mateo Sagasta, Voleurs d’encre et deux de mes livres.
Je le regarde s’éloigner, convaincu et décidé. Cet agitateur de la lecture, ce dangereux combattant de la culture n’a pas plus de quinze ans et me rappelle moi quand j’avais son âge.

- Tu pleures ? me demande ma compagne.
- Oui, je pleure parce que tout n’est pas perdu.

L’ange vengeur, texte de 50 pages, est une récompense donnée par le libraire aux lecteurs de la collection suite. (donc moi).[Suites Métailié]

La police allemande vient montrer au journaliste-narrateur la photo d’une morte.

La reconnaît-il ? Non il ne l’a jamais vu.

Pourquoi reçoit-il ensuite des menaces par téléphone ? Va savoir…

et les autres morts ? Inconnus eux aussi ?

L’humour règne dans ce polar où la victime désignée (le narrateur-journaliste) doit subir un cours d’horticulture par le policier chargé de le protéger. Quant au lecteur, il s’amuse des réflexions ingénues de la victime… L’ange vengeur, on le connaîtra à la fin, il tombe du ciel évidemment !

A propos de chute :

Citation :

« *** s’était écrasé sur les containers d’ordures. Son corps écartelé était une ordure de plus. »

Je refuse d’en dire plus, même en présence de mon avocat.

Le vieux qui lisait des romans d’amour

Antonio José Bolivar Proano est le seul à pouvoir chasser le félin tuer d'hommes. Il connaît la forêt amazonienne, il respecte les animaux qui la peuplent, il a vécu avec les Indiens Shuars et il accepte le duel avec le fauve. Mais Antonio José Bolivara découvert sur le tard l'antidote redoutable venin de la vieillesse : il sait lire, et il a une passion pour les romans qui parlent de l'amour, le vrai, celui qui fait souffrir.
Partagé entre la chasse et sa passion pour les romans, le vieux nous entraîne dans ce livre au style naïf et plein de charme dont le souvenir ne nous quitte plus.



Sepulveda a toujours l’art de fasciner par la beauté de ses écrits et son humanisme .Dans ce petit livre, ce sont les Shuars, tribu péruvienne vivant de rites, se confondant à la forêt amazonienne qui sont mis en avant ainsi que les colons déployant à coup d’animosité les ravages écologiques.

Puis cette éternelle poésie de sépulveda , ce vieux qui aimait les romans d’amour, ce personnage qui représente tant l’auteur , son attachement à la nature, aux animaux. L’identique, cet espace de vie qui est si cher à Sepulveda , comme un souvenir gravé , ému par la générosité, l’altruisme d’un peuple respectueux de chaque parcelle de vie.

Comme toi, Quetschup, j’ai beaucoup aimé Le vieux qui lisait des romans d’amour, fable poétique qui, mine de rien, en toute simplicité, nous envoie un message humaniste d’harmonie, de respect et d’écoute de l’autre, nous incite aussi à relativiser nos jugements et à nous garder de tout préjugé.

j'ai failli l'acheter quand vous l'avez proposé, et en lisant le résumé, jje me suis rendu compte que je l'avais lu !
du coup, je me suis souvenue qu'il m'avait énormément plu.

Comme d'habitude j'ai lu tout le fil sur cet auteur qui représente si bien l'Amérique Latine. exilé de sa terre, on connaît bien dans le monde,sa lutte pour les droits de l'homme. Dans "le vieux qui lisait des romans d'amour" une expérience hallucinante de sa vie en Amazonie,se dégage l'amour pour le prochain. Ses contes et courtes nouvelles, l'une après l'autre, sont souvent gaies,agréables à lire,d'autres un peu plus profondes qui font réfléchir. J'ai beaucoup aimé le lire,ce sont des livres qui laissent une trace. Demain, si( Internet ne disparaît pas) je posterais sur Sciences Humaines et Documents, un intéressant article de Sepulveda: Il mérite d'être lu.

Citation :

Demain, si( Internet ne disparaît pas) je posterais sur Sciences Humaines et Documents, un intéressant article de Sepulveda: Il mérite d'être lu.

Merci d'avance, Amadak J'ai hâte de lire cet article qui ne peut être qu'intéressant.

J'ai fini récemment Le monde du bout du monde. Un bon petit récit, même si j'ai été globalement déçu. Ca parle beaucoup, ça discute, ça écoute, mais ça ne bouge pas. Je veux dire qu'il manque un peu de magie et que même si Sepulveda reprend un style proche de celui du Vieux qui lisait des romans d'amour, il manque quelque chose pour que ça prenne vraiment. Et puis se référer constamment à Moby Dick, sacré défi. Raté à mon sens. Dommage.

Une petite citation pour la route :

Citation :

« - Et pourquoi vous voulez embarquer sur un baleinier, petit ?
- Parce que… parce que… La vérité c’est que j’ai lu un roman. Moby Dick. Vous le connaissez ?
- Moi non. Et j’ai idée que le Basque non plus. On fait pas beaucoup dans la lecture, par ici. Et de quoi il parle, ce roman ?
A Santiago, parmi mes amis, j’avais la réputation d’être un bon « raconteur » de films. Il était cinq heures de l’après-midi quand j’ai commencé à raconter, timidement d’abord, l’épopée du capitaine Achab. Les deux hommes m’écoutaient en silence, et pas seulement eux ; aux autres tables, les conversations s’étaient interrompues et, peu à peu, les clients se sont rapprochés de la nôtre. Je racontais et je luttais avec ma mémoire. Elle ne pouvait pas me trahir. Les hommes avaient compris que je me concentrais sur quelque chose qui les concernait et, sans faire de bruit, ils ont renouvelé plusieurs fois mon verre de chicha de pomme. J’ai parlé deux heures durant. Qu’Herman Melville me pardonne si cette version de son roman s’est trouvée agrémentée de quelques trouvailles de mon cru, mais, à la fin, tous les hommes montraient des visages pensifs et, après m’avoir donén des tapes sur les épaules, ils ont regagné leurs tables.
- Moby Dick. Dites donc, a soupiré le Basque.
Ils ont demandé l’addition. Ils ont payé. J’avais la certitude amère que mon aventure s’arrêtait là.
- Bon. Allons-y, a dit Don Pancho.
- Moi aussi ? Vous me prenez ?
- Bien sûr, petit. Faut profiter de la lumière pour vérifier le matériel. On appareille demain de bonne heure. »

Après Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler


Max est l'humain de Mix et Mix est le chat de Max. Ils grandissent ensemble, ils sont amis pour de vrai. Lorsque Max part faire ses études, il emmène son chat bien-aimé. Max est souvent absent et Mix, devenu vieux et aveugle, passe de longues journées solitaires.
Un jour un bruit suspect lui révèle la présence d'une souris mexicaine très sympathique, qu'il baptise Mex.

La souris bavarde et trouillarde, raconte le monde à Mix, qui l'emmène en balade et lui donne un coup de main quand il faut atteindre la dernière étagère du placard

78 p chez Metailié.

J'avais beaucoup aimé l'histoire de la mouette et du chat... Celle-ci me tente à son tour   

moi aussi, Manic. J'espère que cette nouvelle histoire sera aussi plaisante à lire que l'histoire de la mouette et du chat !

Auteur chilien, il écrit des romans pour adultes mais aussi des romans jeunesse dont celui-ci :

Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler.

Source Wikipédia :
Label du Prix Bernard Versele, catégorie 5 chouettes 1998
Prix Salicorne du 3e festival du Livre animalier pour la jeunesse 1998
Prix Sorcières roman 1997
Prix jeunesse Gabier du Salon du livre de Concarneau 1997
Prix de la Cité des livres, Cherbourg-Octeville 2004
Prix Mille pages jeunesse du roman 1997
Prix des CM1/CM2/6e du festival du livre pour la jeunesse « Lire aux éclats » de Sallanches, 1998
Sélection Éducation nationale (France)




Merveilleux conte philosophique, où les animaux prennent la place des humains.
un chat Zorbas assiste à la fin tragique d'une mouette. Celle-ci avant de quitter ce monde, lui demande de s’occuper de son œuf où un oisillon naîtra quelques jours plus tard.
Le chat promet.
Avec l'aide de ses amis "chats", et un homme, l'oisillon apprendra à voler.
De tous temps, l'homme a besoin des autres. Partager c'est la vie.

Très joli conte pour enfants que les adultes peuvent lire avec bonheur, c'est vrai, merci Astazie    de nous rafraîchir la mémoire. Deux Grains avaient dit, il y a un certain temps déjà, combien ce petit livre les avait charmés.

Ce petit conte je ne l'ai pas lu,je trouve le résumé ´´emouvant. Les livres que j'ai lus de sa plume,m'ont charmée. je ne me souviens pas des titres en ce moment. faute de temps pour chercher.