David Dusa, les fleurs du mal (Iran)

Ce film primé un peu partout peut séduire par plusieurs atouts !

- une réelle virtuosité dans les prises de vue avec un flou coloré qui ressemblerait à des aquarelles ,

- une grande souplesse du personnage masculin, adepte du hip hop,

- un jumelage inattendu entre une idylle à Paris et des manifestations durement réprimées à Téhéran,

- une alternance entre des scènes réelles et des comptes-rendus virtuels sur Twitter, facebook, et youtube.

- des formules chocs sur le malaise iranien : on ment toujours sur soi, à l'école comme à la maison.

seulement voilà ! à trop virevolter, on donne le tournis au spectateur et on tue l'émotion.

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