Marcel Theroux, au nord du monde.

340 p. 10/18.

"Ici, dix mois par an, le climat mord la peau. Le silence règne, désormais. La ville est plus vide que le paradis." Au nord du monde, la terre s'étend à perte de vue, anéantie par un cataclysme. Parmi les décombres, le shérif Makepeace erre. La route porte ses pas, à la recherche d'un temps qui n'existe plus
et d'une humanité à reconstruire. Ravivant à l'horizon la lueur d'une rédemption... Un roman visionnaire et obsédant sur la beauté du monde et sa fragilité.

il fait partie d'un défi lecteur organisé par des bibliothécaires. On dirait un western, un roman d'aventures, et ça s'oriente vers l'apocalypse to morrow.

rotko a écrit:

340 p. 10/18.

"Ici, dix mois par an, le climat mord la peau. Le silence règne, désormais. La ville est plus vide que le paradis." Au nord du monde, la terre s'étend à perte de vue, anéantie par un cataclysme. Parmi les décombres, le shérif Makepeace erre. La route porte ses pas, à la recherche d'un temps qui n'existe plus
et d'une humanité à reconstruire. Ravivant à l'horizon la lueur d'une rédemption... Un roman visionnaire et obsédant sur la beauté du monde et sa fragilité.

il fait partie d'un défi lecteur organisé par des bibliothécaires. On dirait un western, un roman d'aventures, et ça s'oriente vers l'apocalypse to morrow.

le sujet me semble très intéressant en effet!

je l'ai commencé, c'est une lecture facile, avec parfois quelques naïvetés pour soutenir l'interêt de l'histoire. On a ainsi des révélations inattendues sur l'identité des personnages. le sherif Makepeace dégaine rapidement, il n'aime pas se faire blouser, et ses règlements de comptes sont radicaux. Dans le fond, c'est un bon bougre

L'évolution du livre rappellerait, m'a-t-on dit, la route de McCarthy.

ce roman d'anticipation a été apprécié par son regard critique sur la société, et le personnage principal féminin, atypique et capable de se battre.

On lui a reproché des absences d'explication sur les phenomènes survenus dans l'agencement du monde.