Franz Schubert

J'ouvre le fil ! la folle journée de Nantes est consacrée à schubert cette année

voici ce que je vais ecouter :

le trio violon, viloncelle et piano

en attendant j'ecoute une interpretation pennetier, pasquier pidoux

diverses oeuvres nion identifiées

la symphonie n°9

J'ai donc emprunté des Cd, pour me préparer

de Schubert j'adore les impromptus (actuellement j'ai badura Skoda)

les lieder : la belle meunière et marguerite au rouet : déchirant chant d'amour

ah oui, j'ai aussi les impromptus par El Bacha.

Et le patre sur le rocher ,je le connais parcoeur

je tape sur le clavier en même temps que le pianiste des impromptus

la folle journée de Nantes s'exporte :



a Bilbao du 29 fevrier au 2 mars 2008

à Tokyo du 2 au 6 mai

à Rio de Janeiro du 6 au 8 juin.

Peut-on dire qu'avec Schubert, la musique de chambre devient une aventure intérieure ? Son quatuor "La jeune fille et la mort" accompagne régulièrement mes rêveries, pas plus tard qu'il y a deux jours...

Tu veux dire que tu rêves ?

oui certes, à l'état de veille, la musique et specialement celle de schubert, pour d'autres ce sera Dvorak et/ou brahms et d'autres modifient notre vie intérieure, créent des émotions (joie, espoir, chagrin, souvenirs). Tu prends le mot "rêveries " au sens de Bachelard ? on oublie notre contexte quotidien.

la question que je pose : la musique intervient-elle dans ton sommeil, accompagnant ou suscitant des rêves comme peuvent le faire des motifs picturaux, des couleurs ?

Non pas dans le sommeil, quoiqu'il m'arrive d'entendre des musiques inédites dans mes rêves. Je compose de la musique en dormant mais je m'en souviens rarement au réveil, et, ne connaissant pas le solfège, je ne puis rien noter.

Quand je parle de rêverie à propos de Schubert, il s'agit bien de rêverie au sens de Bachelard, un état proche de l'inspiration poétique.

Il faudrait creuser cette idée de musique pendant le sommeil.

jankelevitch a écrit sur la musique : La Musique et l'ineffable paru au Seuil.

j'étais bien préparé pour le trio violon, violoncelle et piano, et ce fut un vrai plaisir ce soir avec le trio Chausson.

Délicatesse de certains passages, le retour des petites phrases et des passages très passionnés. Une belle soirée.

je viens d'entendre le quatour en sol de Schubert, pour flûte, guitare, alto et violoncelle.
Une petite pensée pour moon et Seughu, la flûte y était essentielle et menait le jeu, quant à la guitare, elle jouait les utilités

Folle journée de Nantes.

j'ai ecouté en concert la 9e de Schubert par le sinfonia Varsovia, un orchestre très fourni, sous la direction de Jacek Kaspszyk.
Bien connâitre l'architecture de l'oeuvre permet de mieux prêter l'oreille aux petites chapelles latérales : je vise ici le côté chantant de l'oeuvre.

je l'avais entendue un soir de cette semaine sur france-musique.

Demain jeudi 31 janvier à la radio sur France Musique
retransmission des folles journées de Nantes
le matin à 10h, avec le pianiste Franck Braley ,Impromptu et Sonate de Schubert

l'après-midi de 16h à 18h Sonates et autres

J'ai découvert Schubert il y a peu. Dans un film adapté du roman d'Oscar Wilde (Le portrait d'machin)

Et j'ai l'culot de dire : J'savais pas qui jouait aussi bien...

Schubert et les frères Capuçon.

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Bonjour!"Comme toi Berne j'aime "Le pâtre au rocher"et le "Nocturno",Tout me plaît chez Schubert...Quelle douceur,quelle envolée.Il a fallut attendre les année 50 pour qu'il soit plus diffusé.Cela a commencé avec "La truite" au programme dans nos écoles...Schubert...C'est sublime,le mot n'est pas trop fort!Bonne journée à toi! A bientôt?suzanne.

Le texte de Gretchen am Spinnrade (Marguerite au rouet) est tiré de la première partie du Faust de Goethe, parue en 1808 : Marguerite est seule et les tendres baisers échangés avec son bien-aimé lui manquent cruellement… Ce lied, composé fin 1814, à l’époque où Schubert éprouve un amour transi pour Thérèse Grob, fut sa deuxième œuvre à être éditée, le 30 mars 1821.

un sublime quintette composé par Schubert deux mois avant sa mort.

ici c'est l'adagio 2e mouvement (sur 4)

entendu en concert ce 11 septembre avec Philippe Graffin, 2 violons , un alto et 2 violoncelles.

Je ne connais pas bien ce compositeur ... de ce que j'ai déjà entendu parfois j'aime beaucoup d'autre fois nettement moins.
Il va falloir que je creuse !

dans la série de concerts auxquels j'assiste, la fantaisie pour violon et piano op 159 avec tatiana Samouil et Denis Pascal (piano), mais surtout, plus connu, mais très impressionnant, le trio pour violon violoncelle piano en mi bemol op 100, avec claire désert, philippe Graffin, philippe Mulier (violoncelle).

Le public a été subjugué. Une oeuvre longue, intense, où on retrouve sans cesse le même thème sous de multiples variantes. Ainsi elle est très accessible, malgré sa complexité.

le film Barry Lindon de Kubrick aurait contribué à faire connaître cette oeuvre, frémissante, qui, avec le violoncelle, annonce pour moi Brahms.

ici le trio wanderer.

Pour finir cette série de concerts, l'octuor de Schubert en fa majeur pour 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse, clarinette, cor et basson.

Il met mal à l'aise oui, mais je l'aime beaucoup quand même

Ecoute marguerite au rouet sur ce lien-ci

tu cliques sur le N° 15 Schubert : Gretchen am Spinnrade D118- Barbara Bonney & Geoffrey Parsons

puis le N° 17 Schubert : Der Hirt auf dem Felsen D965- Barbara Bonney, Sharon Kam & Geoffrey Parsons