leutchi pilier
Nombre de messages : 109 Age : 62 Localisation : Crolles (Grenoble) Date d'inscription : 07/05/2009
| Sujet: Joseph O'Neill Dim 17 Jan 2010, 10:44 | |
| Auteur Irlandais, mais je le classe parmi les "américains". Il vit depuis 10 ans à NYC et son dernier roman, NETHERLAND (le seul traduit en Français si je ne me trompe) se déroule en grande partie au USA et qu'il y a dedans comme un (certain) goût d'Amérique. Quoi qu'il en soit, le gars Joseph du bien du talent D'ailleurs, le gars Barack O..... a même fait une énorme pub pour ce bouquin en déclarant que c'était son livre de chevet, du bon quoi. Et pour finir avec les hommages, Netherland a reçu le prix Pen/Faulkner NETHERLAND Joseph O'neillEditions de l'Olivier Résumé 4ème de couv: Hans et Rachel vivent à New York avec leur jeune fils lorsque surviennent les attentats du 11 Septembre. Quelques jours plus tard, ils se séparent, et Hans se retrouve seul, perdu dans Manhattan, où il ne se sent plus chez lui. Il fait la connaissance de Chuck, un homme d'affaires survolté qui rêve de lancer le cricket à New York. Sur des terrains de fortune, Hans tente d'échapper à la mélancolie. Le charisme de Chuck draine une foule de joueurs du dimanche, tous venus d'ailleurs - de Trinidad, de Guyane ou de plus loin encore -, tous persuadés que l'Amérique reste le pays des possibles. Alors que le monde ne croit plus en rien, eux continuent d'espérer. Au milieu de ces exilés, Hans retrouve un second souffle. Mais qui est Chuck? Il faudra des années avant que le mystère qui entoure sa véritable identité se dissipe. | |
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rotko pilier
Nombre de messages : 69282 Date d'inscription : 26/12/2005
| Sujet: Re: Joseph O'Neill Dim 17 Jan 2010, 11:22 | |
| Beaucoup d'echos favorables à ce roman. 296 pages. Telerama : - Citation :
- On a beaucoup comparé Netherland, lors de sa parution outre-Atlantique l'an dernier, au Great Gatsby (Gatsby le magnifique), de Fitzgerald. Et bien évidemment le parallèle s'impose. Même élégance, même mélancolie profonde, même constat de ruines.
A travers les pensées de Hans, à travers le portrait de l'énigmatique Chuck, à travers aussi le subtil et émouvant tableau de New York qui est ici plus qu'une toile de fond, c'est l'Amérique post-11 Septembre que sonde Joseph O'Neill à sa façon, impressionniste et lucide j'y jetterai un coup d'oeil, rien que pour voir la ressemblance avec Gatsby, soulignée par l'éditeur (!). | |
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