yann tiersen et shannon Wright

Le musicien breton, auteur de la musique du Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, et deGood Bye Lenin), est actuellement entouré des cinq Féroïens du groupe Orka.
 

Citation :

Peuplées d'environ 50 000 habitants, pour la plupart marins pêcheurs ou fermiers, les Féroé, territoire autonome du Danemark, comptent une étonnante densité de musiciens, animateurs d'une scène qu'on dit aussi inventive que celle de leurs cousins insulaires islandais.

 
 
dit lemonde qui souligne l'originalité de leur démarche.
 
ecouter ici si je ne me suis pas trompé, mais ce n'est pas Tiersen.
 
le voici pour good bye lenin.
 
Orka feat. Yann Tiersen, à L'Aire libre, 2, place Jules-Vallès, Saint-Jacques-de-la-Lande (Ille-et-Vilaine) Du 3 au 7 décembre.

Yann Tiersen-live aux eurock rue de cascades

Yann Tiersen est revenu à l'électronique et à un son plus rock, voire bruitiste. Expérimentateur sonore acharné, il travaille actuellement sur ses synthés analogiques. «Après Amélie Poulain, on m'a collé l'étiquette stupide de poly-instrumentiste, alors que je ne réfléchis pas en termes d'instruments utilisés mais de sons obtenus.» Dans son prochain album, il y aura de l'accordéon sur tous les titres «juste pour faire chier. Mais je vais traiter les sons pour que ce soit impossible de reconnaître d'où ils viennent». ■

J'ai le CD avec Shannon Wright.

Yann Tiersen & Shannon Wright de Tiersen Y.& Wright S

la voix de Shannon est très intimiste dans les premiers morceaux, ensuite je découvre des bruits étranges obtenus à la guitare, on dirait des bisous !

le piano scande imperturbablement le rythme. n° 10

n°4

le 1er morceau. Pour l'instant celui que je préfère.

shannon wright dans let in the night

j'aime particulièrement le contraste entre un piano martial et une voix dont on sent la fragilité.

Mon titre favori :

defy this love

C'est en empruntant Rue des cascades à la médiathèque que j'ai découvert Yann Tiersen. J'ai beaucoup aimé alors que d'ordinaire je ne n'aime pas ce qui est essentiellement instrumental : cela me scie les nerfs d'ordinaire alors que l'atmosphère que crée Y. Tiersen dans cet album est légère, reposante.