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 James Joyce

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MessageSujet: James Joyce   James Joyce EmptySam 12 Déc 2009, 11:57

Je dois mal chercher car je ne vois pas de fil sur Joyce.

(?)


Je lis Les gens de Dublin.

Nouvelles d'une densité et d'un talent rare. Très courtes et avec une force si expressive qu'on se sent errer dans la ville de Dublin, au coeur de situations banales et pourtant uniques.

La vie et ses émois.

Tantôt on assiste à une fin de vie paisible, tantôt aux jeux des enfants, tantôt aux rencontres étranges, tantôt à la puissance du sentiment amoureux...

C'est tellement universel, bien suggéré et romancé, qu'on est emporté par un souffle vital, nostalgique...

A travers des personnages ordinaires, l'auteur capte une subtile essence. Comme si tout avait un sens derrière des apparences qu'on ne saisit pas.

Qui l'a lu ?


Et qu'avez-vous pensé d'Ulysse ? Je l'ai lu trop jeune et je compte y revenir rapidement.
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rotko
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptySam 12 Déc 2009, 12:21

Ben oui, pas de fil james Joyce, ce qui rend ton initiative encore plus précieuse Wink

j'ai lu gens de Dublin et j'ai trouvé dans ces nouvelles brumeuses et tristes, une sorte de moiteur qui ne me convient pas.

Si tu veux parler d'une nouvelle précise, vas-y, je repiquerai une tête, car l'oubli est passé sur le brouillard Razz
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptyDim 13 Déc 2009, 13:37

Et oui ,Crevette, rien sur ce grand écrivain. Ton intervention est bienvenue. cheers

Nous avions parlé d'une lecture commune pour février..."Ulysse" pour certains, "Gens de Dublin" pour les autres...Euh???
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soussou
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptyDim 13 Déc 2009, 14:55

euh.., j'en ai parlé , nymphéa,? j'ai aboandonné la lecture d'"Ulysse", je n'accroche pas, trop long et élaboré, le style est compliqué, une lecture peu fluide.
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Dindon
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptyDim 13 Déc 2009, 17:54

Justement, Ulysse me pose problème.
Je l'ai lu et abandonné.
Sans doute, je n'ai rien compris à l'époque (j'avais quoi ? 20 ans...).

Maintenant que j'en ai le double, j'espère apprécier.

Qu'en avez-vous retenu ?
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptyDim 10 Jan 2010, 13:41

moi aussi, j'avoue, j'ai commencé à lire Ulysse, j'ai du mal....
Je crois que pour un non-anglais, celui qui ne connait pas trop bien leur histoire et ne comprends pas bien la mentalité anglaise(irlandaise) ce roman n' est pas forcément accessible.
Mais je ne désespère pas.
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptyJeu 23 Juin 2011, 15:41

J'ai acheté il y a quelques mois Ulysse car j'avais toujours voulu le lire. J'en ai lu beaucoup de mal et je dois dire que pour le coup, j'ai eu la flemme de le commencer. Comme je suis en vacances depuis quelques jours, je vais pouvoir en profiter pour le lire.
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptySam 03 Mar 2012, 06:46


James Joyce Joy10
clic !

Nora La vérité sur les rapports de Nora et James Joyce,par Brenda Maddox, chez Albin Michel;

trouvera un complément indispensable chez Rivages avec la publication en avril des lettres de Joyce à Nora.
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptyDim 04 Mar 2012, 21:27

J'ai commencé la lecture des Gens de Dublin, y'a un an apparemment, lu quelques nouvelles, 3 je le crois Embarassed , me suis arrêté rapidement.

Exige pas mal de concentration de la part du lecteur, par une écriture assez "dense" d'après mes souvenirs, probablement cela qui m'a le plus arrêté dans ma lecture.

Par contre je crois bien que le jeu en vaut la chandelle : je me souviens d'une nouvelle sublime qui m'avait totalement scotchée, Eveline, d'une intensité très rare et particulièrement bouleversante.

Ses quelques nouvelles lues me font penser à celles de Salinger, une sorte de "densité" derrière les mots, qui rendent peut-être le propos plus opaque parfois, en tous cas une lecture peu "légère".

C'est tout sauf du Bukowski, quoi.

Bref. Je recommande au moins la nouvelle Eveline ^^ après, mes souvenirs sont trop lointains et trop "courts" pour que mon avis soit véritablement "utile" ou éclairant.
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Modiano
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptyMer 18 Juil 2012, 15:20

J'ai commencé Ulysse, lu une cinquantaine de pages, lâché.

Suis méfiant envers les pavés classiques.

Un roman qui trouve un peu de public, faisant plus de 1000 pages, devient assez facilement un classique, non ?
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptyMer 18 Juil 2012, 18:06


Tu veux dire que la longueur inspire le respect et provoque la consécration ? Razz

finnegans wake fait 960 pages chez Folio.

Autant se rabattre sur gens de Dublin chez pocket, 250 pages, et des nouvelles : à ne pas lire par temps pluvieux car c'est d'un "irlandais assez triste", je l'ai lu sur place, et ça ne rachetait pas le climat.
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptyLun 23 Juil 2012, 13:50

rotko a écrit:

Tu veux dire que la longueur inspire le respect et provoque la consécration ? Razz

Précisément.
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Amadak
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MessageSujet: james joyce   James Joyce EmptyMar 24 Juil 2012, 15:14

je n'ai rien lu de lui. Je sais qu'il a réussi a devenir une célébrité mondiale;
Vous me conseillez de le lire?
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptyMar 24 Juil 2012, 15:42

Amadak a écrit:
je n'ai rien lu de lui. Je sais qu'il a réussi a devenir une célébrité mondiale;
Vous me conseillez de le lire?

Moi, Amadak, j'ai lu des extraits des oeuvres de Joyce pour en prendre connaissance, mais je n'ai jamais eu le courage d'aborder une oeuvre en entier. Je ne pense pas le faire Embarassed
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Goldmund
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptyMar 24 Juil 2012, 17:43

Je suis actuellement en train de lire Ulysse et j'ai beau avoir atteint plus de la moitié de l'oeuvre, j'ai du mal à y trouver un chef d'oeuvre. Certains passages sont intéressants mais on voit bien que dans l'ensemble c'est plus un exercice de style qu'autre chose.
Je pense pas que les 400 pages qui restent changeront mon regard sur la question mais sait-on jamais...
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MessageSujet: james joyce   James Joyce EmptyMar 24 Juil 2012, 22:39

pour Maya, je prends en compte ton avis, tu connais mieux que moi, surtout que je dois épargner des soucisà mes yeux. merci
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soussou
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MessageSujet: Re: James Joyce   James Joyce EmptyMar 26 Fév 2013, 10:30




Auteurs gaéliques

Une anthologie irlandaise livre de chevet: présenté Pierre-Yves Lambert édition (bilingue) le Verdier

Yeats, Shaw, Wilde, Joyce, Beckett, Seamus Heaney... C’est comme une litanie qu’on égrène, convaincu de bon gré, même sans les avoir lus, que l’Irlande est la terre de prédilection des poètes. Et, alors que s’achèvent les manifestations imposantes, omniprésentes ce printemps, de « L’imaginaire irlandais », un important volume vient laisser sa trace : une anthologie de la poésie irlandaise du XXe siècle, un choix d’une centaine de poètes traduits par une trentaine de traducteurs, qui constitue un ensemble impressionnant que les éditeurs ont tenu à dédier à la mémoire de François-Xavier Jaujard, l’irremplaçable connaisseur des poètes, mort au printemps. Une anthologie trilingue – anglais, gaélique, français – qui aborde cette spécificité d’une poésie qui a connu au XXe siècle, avec l’essor des mouvements nationalistes face à l’anglais imposé par des siècles de colonisation, une véritable résurrection permettant aux anglophones, même si comme Yeats ou Synge ils ne savaient pas le gaélique, de découvrir les grands textes celtiques. Et de s’affirmer différents.
Comment montrer l’identité poétique de l’Irlande ? Comment expliquer la spécificité de l’écriture anglo-irlandaise ? Jean-Yves Masson, le jeune maître d’œuvre de cette méga-entreprise – trente-quatre ans, responsable de la collection de littérature allemande aux éditions Verdier, traducteur d’anglais et d’italien, de Yeats et de Hofmannsthal – a certainement lu tout ce qui a été publié, quelque trente mille poèmes dit-il, pour déceler les constantes d’un destin collectif ancré dans ces lieux chargés d’exactions et de culture, et faire le point à l’intention de lecteurs d’aujourd’hui. Étrangers de surcroît. D’abord, l’anthologie est comme encadrée par les voix féminines, dans ce pays où elles ont finalement plus de droit à la poésie qu’à toute autre chose : d’Emily Lawless (1845-1913), personnage excentrique considéré comme l’un des précurseurs de la Renaissance irlandaise, à Lady Gregory (1852-1932), la fondatrice avec Yeats de l’Abbey Theatre et avec Douglas Hyde de la Ligue gaélique, en passant par Nuala Ni Dhomhnaill (née en 1952), l’un des poètes gaéliques les plus importants d’aujourd’hui, et jusqu’à Mary O’Malley, remarquée en 1990 avec son premier recueil de poèmes, A Consideration of the Silk. Quant au plus jeune poète du volume, Sean Dunne, mort en 1995 à moins de quarante ans, il est représenté par des poèmes brefs dont les lignes déjà se brisent (« Œil bleu de mer fixé/sur l’Irlande qui s’éloigne. Il ne regardera plus jamais/Les femmes d’Irlande, ni ses hommes »).
À la première place, parce que créateur d’une forme et d’un langage modernes, tout en restant proche de la tradition et des spéculations ésotériques, William Butler Yeats (1865-1939), dont l’exceptionnelle musicalité peut s’entendre dans l’une ou l’autre langue, invoquant Cuchulain le guerrier, la révélation de l’avènement second, le rêve du pays des fées ou bien l’extrême simplicité de l’amour (« Elle marchait le long des saules, ses petits pieds blancs comme la neige./Elle m’a prié de prendre l’amour comme il vient, ainsi que les feuilles poussent sur l’arbre. Mais j’étais jeune et insensé, je n’y aurais pas consenti. ») À la dernière place, dans la chronologie des grandes consécrations le récent Nobel, Seamus Heaney, qui jouissait déjà avant Stockholm, en Irlande et dans le monde anglo-saxon, d’une popularité immense comparable à celle des poètes de l’époque romantique ou des Russes de l’époque Khrouchtchev. Heaney, poète du Nord, de la tourbe, des hirondelles de mer, parti à Delphes lire l’oracle (« Retourner à l’autel dans quelque aube à venir/où la mer répandra vers le sud sa lointaine moisson de soleil,/à nouveau apporter l’offrande du matin : délivrez-moi des miasmes de ce sang répandu,/laissez-moi gouverner la langue, craindre l’hybris et le dieu/avant qu’il parle par ma bouche, sans entrave »). Entre eux, dans un dialogue franco-anglais ininterrompu, Samuel Beckett, qui se traduit lui-même : « Je voudrais que mon amour meure/qu’il pleuve sur le cimetière/et les ruelles où je vais/pleurant celle qui crut m’aimer » ; « I would like my love to die/and the rain to be raining in the graveyard/and on me walking the streets/mourning her who thought she loved me. »
Une telle anthologie, c’est un cheminement parmi les découvertes : ainsi, La Grande Famine, le très impressionnant poème de Patrick Kavanagh (1904-1967), fermier autodidacte devenu dans les années cinquante un critique littéraire redouté, traduit intégralement en français pour la première fois (« Glaise est le verbe et glaise est la chair »), monologue intérieur de Patrick Maguire, le pauvre paysan qui parle tout seul à la porte d’une étable, « un paysan ignare, les pieds dans le fumier ». Ou bien Thomas Kinsella (né en 1928) l’auteur de Finistère (1972), marqué par Pound, Auden, Eliot, en lutte contre le matérialisme, soucieux avant tout de combattre une tendance au régionalisme qui risquerait de replier la littérature irlandaise sur elle-même (« Qui/est le mot capable une fois prononcé/de faire jaillir la lance/et de répandre à flots la terreur/de faire jaillir l’étincelle/et d’enflammer les cerveaux ? »). Ou John Montague (né en 1929), qui a longtemps vécu aux États-Unis, poète de la mémoire et du rêve, l’auteur du remarquable recueil La Langue greffée (en français chez Belin). Ou encore les amis que Beckett contribua à faire connaître : Denis Devlin (1908-1959) et Brian Coffey (1905-1995), l’incantatoire, qui fut proche de Jacques Maritain et de Paul Claudel, puis militant antinucléaire dans les années quatre-vingt. Sans oublier l’étonnant AE (1867-1935), pseudonyme de George William Russell, l’une des grandes figures de la Renaissance, qui avait d’abord choisi de signer Aeon, référence grecque à l’âge d’or...
Enfin, on ne saurait oublier Oscar Wilde, dont un extrait d’un des poèmes les plus connus de la langue anglaise (« Je ne sais pas si les lois sont justes,/Ou si les lois se trompent,Tout ce que nous savons, qui gisons dans la geôle ;/C’est que le mur est solide ; et que chaque jour est comme un an »). Ou encore Le Saint Office, le poème satirique contre les artistes du « crépuscule celtique » que James Joyce écrivit avant de quitter Dublin, en 1904 : « Je me donnerai à moi-même/Ce nom : Catharsis-Purgatif./Moi qui délaissai ma bohème/pour la grammaire des poètes,/portant de taverne en bordel/l’esprit du subtil Aristote. » (1)
Une anthologie, c’est un plaisir qui ne s’épuise pas. Des choix infinis qui s’offrent au lecteur. Qu’il peut critiquer. Comparer les traductions possibles. Un livre de chevet. Et, pourquoi pas, le blockbuster de l’été ?...
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MessageSujet: James Joyce-page 2   James Joyce EmptyJeu 07 Mar 2013, 22:30

Encore un auteur que je ne connais pas. Il me semble compliqué.Mais j'ai un vague souvenir d'avoir lu "les lettres de Joyce à Nora"
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MessageSujet: James Joyce   James Joyce EmptyMar 02 Avr 2013, 17:29


Je ne l'ai jamais lu , mais j'essaierais de l'aborder un jour .

Sinon , quelqu'un a dit que trois écrivains ont marqué la litterature française : :

LF Céline pour le parlé vrai , Proust , pour avoir dit que la litterature était la vraie vie et James Joyce pour y avoir introduit

de l'humour , dans l'écrit .

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