Oh ! J'ai failli oublier le texte qui accompagne le code-à-barres sur une étiquette au dos de la BD, elle vaut son pesant de cacahuètes :
(je chausse mes lunettes loupe, c'est écrit en minuscules :
L'Association se refusant à imprimer sur ses livres des "codes-barres", tout aussi disgracieux esthétiquement qu'éthiquement déplaisants, et devant néanmoins, pour des raisons de logistique devenues inévitables, se résoudre à les faire figurer sur ses ouvrages au moyen d'étiquettes autocollantes vilaines, onéreuses et agaçantes, tient à préciser que lesdites étiquettes ont été étudiées pour que leur colle n'abîme pas la couverture des livres, et qu'il est donc du devoir du lecteur de les décoller du livre après acquisition, puis de les détruire avec rage et jubilation en chantant à tue-tête : "L'humanité ne sera heureuse que le jour où le dernier bureaucrate aura été pendu avec les tripes du dernier capitaliste !".