Extrait de mon livre

Voila je profite de ce forum pour dire a Esther cette petite chose:

Tu es certes un peu folle
Mais sa fait tout ton charme
Aujourd'hui un être en toi bourgeonne
Et il va falloir que tu t'armes
Pour subir ces assauts journalier
Qui devrait je pense ne pas manquer

J'espère que sa naissance ne te changera pas
Car ta séance de moral hebdomadaire me manquera
Tu es une fille géniale
Et ne change pas d’un poil
Car j’espère que ce petit être
Pourra comme moi te connaître
Folle et débordante d’énergie
Comme nous sommes depuis tout petit

Il héritera peut être de la famille
Et dans ce cas il va te falloir
Réussir à le faire tenir tranquille
Arme toi de mouchoir
Car tu n’as pas fini de jouer
A essayer de le calmer
Arme toi de mouchoir
Car tu pourras contempler
Le bonheur d’un enfant nouveau née

Ne l’ennui pas avec tes livres
Car il faut le laisser vivre
Et découvrir lui-même
Les choses qu’il aime

Je vous souhaite à tout deux
De passez un moment heureux
A la naissance de cette enfant
Qui va provoquer tant de tourment
Dans votre monotone vie
Qui était déjà assez rempli

(Je ne suis pas fameux en orthographe et je vous prie public connaisseur de me pardonner ce défaut)

merci beaucoup petit frère, moi aussi je t'adore. Et non, mon rôle de grande soeur ne prendra pas fin avec l'arrivée de notre Mathis. Par contre, ton rôle d'oncle va lui, bientôt prendre place et je compte sur toi pour lui apprendre tout ce que moi je t'ai appris, ainsi que tes propres experiences.

Attention, la grande soeur reprend le dessus : ma vie ne peut pas être monotone et remplie à la fois, c'est soit l'un soit l'autre ... A revoir

La monotonie d'une vie rempli ^^'
Tu fais beaucoup de chose, mais souvent elle ressemble au chose de la veille ( travail, lecture, internet, dodo,etc... )

mouais, si tu veux le voir comme cela. Mais bon, une vie bien remplie en général n'est pas monotone. Pour moi, "monotone" est péjoratif et signifie que ta vie est tristounette, où la routine a pris place et que les gestes sont répétitifs.
Tout cela pour te dire, que tans ta déclaration, cela ne colle pas avec moi.
Oui, je sais, je suis une chieuse !!!

Un grand salut à toi, melbrins prépare-toi à assumer ton rôle éducatif d'oncle attentionné il y a qq livres sur la famille et les enfants dans le forum "histoire et documents".

Quelle belle déclaration melbrins!...
Je me suis tout de même permis de te lire...
Tu as beaucoup de chance Esther!...mais tu mérites sans doute l'amour de ton petit frère...

je suis gâté en effet, d'autant plus que j'ai en tout 3 frères : imaginez-les, c'est le premier bébé de la famille, on ne les calme plus.

J'espère maintenant que melbrins va rester parmis nous et nous faire part de ses critiques.
La science-fiction peut avoir sa place également.

Voila un petit extrait du livre que je suis en train d'écrire. C'est l'un de mes passages préférés que j'ai pris beaucoup de plaisir a écrire, pour je pense, un résultat pas trop mal

" La tente s’effondra sous un juron de James.
- Mais que faites-vous ? demanda Ephays contemplant les dégâts.
- Un pique-nique, ça se voit pas ? dit James essayant de sortir de la masse de toiles qui lui était tombée dessus.
- Gardez votre humour humain pour vous ! Et jetez donc un sortilège sur cette tente !
- Vous me prenez pour quoi ? Comme si on s’abaissait à ce genre de magie !
- Je voudrais pas vous vexer, mais pour le moment je vous ai pas vu faire le moindre acte magique…, dit l’elfe des bains, qui, accroupi à coté d’Ephays, le regardait se débattre.
- Esther…Je ne suis pas un troubadour ! je ne montre pas mon art à tout va !
- Et bien montrez-le maintenant qu’on en a besoin, à cause de vos bêtises.
- Mes bêtises, vous faites d’une drôle de manière vos tentes c’est tout !
- Taisez-vous ! Cria soudain Anoth
- Oh toi ! Tu ne vas pas t’y mettre non plus !
- La ferme, répondit-il sèchement.

Il refermait la lanière du dernier sac de provision quand ce bruit s’était produit une première fois. Il s’était permis de parler ainsi, car ce phénomène, qui se répétait de plus en plus rapidement, lui semblait d’une grande importance. James lui criait dessous tout en continuant d’essayer de s’extirper de la tente. Il n’avait pas compris, mais le jeune homme avait capté l’attention des elfes.
- Le petit a raison !
- Quoi je devrais la fermer devant un gamin ?
- Ecoutez donc !
- Je n’entends strictement rien, dit-il après un moment de calme.
- Esther aide-le a sortir de là ! Anoth… ne bouge pas !

Vexé, il les regarda essayer de sortir James de sa prison textile. Le martèlement dans son crâne se fit beaucoup plus fort d’un seul coup, et il tomba à genoux par terre, les deux mains sur les tempes. Il pressait de plus en plus fortement sa tête, essayant en vain de faire cesser ces pulsations. Ses yeux brûlant subitement semblaient vouloir exploser. Mais elles obscurcirent sa vision, et il se laissa tomber au sol. Personne ne le vit s’effondrer, mais toute l’attention du groupe était sur lui quand il se releva… Nul ne savait pourquoi, mais la présence du jeune homme était devenue difficilement supportable. Sa vision leur était devenue floue, mais les elfes virent tout de même ce que le pouvoir essayait de leur cacher. Ses yeux qui semblaient être en flammes les fixaient, et ses mains commençaient à s’enflammer à leur tour. Les elfes reculèrent d’un pas, frappé par ce regard. Les bras le long du corps, il avança lentement vers la tente effondrée, faisant reculer les elfes. Il s’arrêta et son avant- bras crispé, au bout duquel trônait une main à demi close, remonta lentement vers l’horizontale.
Le sol trembla et les elfes se sentirent comme aspirés vers le ciel. Une forte secousse les déséquilibra, faisant tomber Esther au sol. La tente, et donc James, furent propulsés dans les airs. Le mage réussit alors à se libérer de ses chaînes en tissu, se séparant de la masse compacte de la tente retombant au sol. Esther qui se relevait vit juste la tente s’effondrer, mais pas James. Suspendu dans les airs, le mage bougeait frénétiquement les bras et les jambes, ne contrôlant pas sa descente. Pour cause, c’était l’avant-bras gauche du jeune homme qui le faisait descendre lentement.
Des bruits retentirent alors sur leur flanc droit. Plusieurs soldats à cheval émergèrent de la végétation, faisant sauter leurs quadrupèdes au dessus d’un tronc d’arbre effondré. Le jeune homme laissa tomber son maître, et son bras droit bougea aussi rapidement que l’éclair. Sa paume dirigée vers eux, il cria quelque chose qui devait être un mot, mais que nul ne comprit. Les chevaux n’atteignirent jamais le sol au delà de ce tronc d’arbre, repoussés en arrière en plein saut, par une bourrasque d’une extrême violence. Ils disparurent alors aussi rapidement qu’ils étaient arrivés, et on put juste entendre le bruit de leur chute, et les cris des soldats meurtris.
- Dépêchez-vous de rangez cette tente ! dit la voix d’Anoth venu des profondeurs de son corps.
Tout le monde s’activa autour de la tente décomposée. Le jeune homme en proie à son propre pouvoir se retourna vers la forêt d’où pouvait arriver à tout moment un autre détachement de soldats. Il surveillait la végétation, et pourtant son visage était incliné vers le sol et son regard semblait fixer un caillou.
Erath entra alors dans le camp et marqua un temps d’hésitation en voyant le jeune homme dans cette état. James, sonné, était toujours au sol. Anoth mit son bras en avant, d’abord la paume ouverte dirigé vers l’elfe, puis refermé comme s’il voulait le prendre. Celui-ci regarda derrière lui, une bonne partie des soldats étaient à ses trousses. D’un geste rapide le jeune homme pointa son bras vers la tente, derrière lui, en rouvrant la main. L’elfe fut projeté en avant avec violence, tombant lourdement sur la tente qu’ils tentaient de ranger.
Il mit ses bras en avant, formant un carré avec ses mains et un autre avec l’espace entre ses pouces. Des soldats tentèrent de passer la frontière du camp, mais percutèrent un mur invisible.
- La vitesse n’est pas une particularité elfique ? cria Anoth énervé.
- Si tu arrêtais de nous envoyer des corps, ce serait sympa ! lui répondit Esther

Le jeune homme ne répondit pas, trop occupé à maintenir la barrière qu’il avait formée, et sur laquelle les soldats frappaient de toute leur force. Toute l’infanterie était maintenant massée derrière la frontière.
- Encore pour longtemps ? demanda-t-il, commençant à suer à grosse goutte.
- C’est fini, plus qu’à mettre dans un sac ! lui cria Ephays
- D’accord, montez à cheval tout de suite, Erath viens ici, Ephays rejoint nous une fois à cheval.
- Bien, dit-elle soulevant la tente pour la mettre dans la sacoche du cheval de bât.

Erath courut se mettre à côté du jeune homme.
- Je vais les repousser pour nous laisser le temps de fuir, mais je serai énormément fatigué après ce coup-là, il marqua une pause pour voir si Erath l’écoutait bien, celui-ci opina du chef, et il continua, je vais sans doute m’effondrer… Ton rôle sera de me mettre sur le cheval d’Ephays et de fuir à ton tour.
- Que vas-tu faire exactement ?
- Allumer le feu, dit-il un rictus mauvais déchirant son visage angélique.

Erath fut effrayé par ce jeune homme qu’il découvrait. Tant d’assurance alors qu’une heure auparavant il doutait de lui. Tant de plaisir au combat alors qu’il fuyait devant un simple soldat. Il avait changé du tout au tout, et il n’arrivait pas à se l’expliquer. Il n’aurait peut-être pas du s’éloigner pour accomplir sa vengeance personnelle…
Ephays arriva sur son cheval et échangea un regard avec son compagnon.
- Tiens-toi prête à le recevoir sur la selle et a fuir, lui dit-il simplement.

Elle hocha la tête en confirmation, et ils attendirent que le jeune homme leur donne une chance de fuir.
- Je déteste me faire attendre, et ils commencent sérieusement à me taper sur les nerfs, alors allons-y gaiement ! dit Anoth

Il écarta subitement les deux mains l’une de l’autre et cria « Fhark ! ». La barrière de protection s’enflamma dans un premier temps, brûlant une majorité de soldats. Certains devenu des torches humaines coururent vers la forêt où ils s’effondrèrent. Leurs corps faisant prendre feu à la mousse et à la végétation entourant leur cadavre. Les rescapés reculèrent, voyant leurs compagnons en proie à des flammes sans origine.
Mais le jeune homme n’en avait pas fini avec eux. Il rapprocha ses deux mains de son torse, gardant les deux paumes vers les soldats, puis d’un geste vif les tendit en avant.
De véritables geysers de flammes explosèrent à l’horizontale, prenant leur source de la barrière. Les soldats avaient reculé pour ne pas subir les premiers éléments de l’attaque, mais pas assez pour éviter cette nouvelle menace. Les arbres prirent feu comme les soldats, et c’est un véritable incendie qui se propagea tout au long de l’emplacement de la barrière magique.
Anoth tomba en arrière dans les bras de l’elfe. Celui-ci le souleva avec aisance et le plaça sur la scelle d’Ephays. Ensuite il courut et sauta sur son cheval pour rejoindre ses compagnons déjà au galop.

Ils sortirent peu de temps après de la forêt, les bruits de leurs sabots sur la roche perçant le silence apaisant qui était présent dans la forêt. La chaleur les assaillit, les arbres ne leurs fournissaient plus un abri contre les rayons dévastateurs de cette astre agressif. "

N'hésitez pas à donner votre avis, même mauvais, j'adore les critiques ^^

De Melbrins

Seul, dans ce froid enfer
Seul, profondement solitaire
Je te cherche...
Je me deseche...
Trois jours depuis lesquels
Je n'ai pu détacher mes pensées
De mon ange sans ailes
Et de son immaculé beauté
Sans toi la vie est desagreable
Car quels besoins négligeable
Que de manger et de boire
Quand un jour on a pu te voir

Je prefere mourrir
Que de savoir
Que je ne puis te revoir
Comment pourrais-je être au "Paradis"
Si ce n'est en ta compagnie
Comment me rendre heureux
Si ce n'est en contemplant tes yeux

Pour les critiques de petits textes comme celui-là, il existe un forum plus spécifique je pense :

http://tnncie.cmonforum.com/


Là, certains intervenants, généralement assez gentils mais pointilleux, décortiquent les textes à la virgule près.

bonne idée, Citro, je ne connaissais pas ce forum. "Détailler à la virgule près" n'est pas une mauvaise idée, mais s'il ya trop de rouge sur la copie, c'est decourageant (rire).

D'un autre côté, c'est vrai que l'exigeance paie à long terme. Mais il faut savoir "encaisser les taules", comme on dit (soupir )

Quels interets de recevoir des critiques d'une personne que l'on ne connait pas ? Elles seront plus pris au serieux si elles viennent de personne que je respect, voila pourquoi j'ai fais un poste sur ce forum.

Mais ici tout le monde ne se connaît pas non plus, ou alors de manière virtuelle.

Franchement il faut essayer le site de tnn, j'ai moi-même posté quelques textes, et je suis étonné de la pertinence des réponses. C'est un site d'auteurs qui se corrigent les uns les autres, avec beaucoup de bienveillance.

Mais comme dit Rotko, il faut pouvoir assumer les commentaires, parfois décourageants. Tout dépend de ce que l'on veut faire.

Citro a écrit:

Mais ici tout le monde ne se connaît pas non plus, ou alors de manière virtuelle.

Franchement il faut essayer le site de tnn, j'ai moi-même posté quelques textes, et je suis étonné de la pertinence des réponses. C'est un site d'auteurs qui se corrigent les uns les autres, avec beaucoup de bienveillance.

Mais comme dit Rotko, il faut pouvoir assumer les commentaires, parfois décourageants. Tout dépend de ce que l'on veut faire.

Entièrement d'accord avec ce point de vue, même si je ne connais pas ce forum. Dès que j'aurai un moment, j'y jetterai un coup d'oeil.

ma foi, tu devrais l'envoyer à ta muse, ca lui ferait sûrement plaisir

elles ne le disent pas toutes, mais toutes en sont flattées...

rotko a écrit:

ma foi, tu devrais l'envoyer à ta muse, ca lui ferait sûrement plaisir

elles ne le disent pas toutes, mais toutes en sont flattées...

Oh mais si...Elle le dirait!...On ne reste pas muette devant une si belle déclaration...

@melbrins: tu enlèves juste le T à la fin de "pu" avant de l'expédier...

Oh oui! Elles le disent, mais ca s'arrete la. Un poete est un ami car sa presence est sympathique mais le beau jeune homme est un amant car il n'a pas de quoi parler.

melbrins a écrit:

Elles le disent, mais ça s'arrête là

Il ne faut pas tout miser sur l'écriture et l'orthographe ....

J'ai longtemps cru que c'était mon seul avantage donc je mettai la poudre sans l'allumé, ce temps la est révolu et mon briquet se rapproche dangereusement de la meche de leurs passions

Keskidi ?

métaphores de la flamme au coeur - ou du feu, aucune importance ...

J'avais peur d'avoir dit n'importe quoi XD merci rotko :p

J'avais un peu de temps alors j'ai lu le texte.

C'est bien écrit vraiment, l'action est bien présente, le rythme soutenu.

Bien entendu il faut voir comment ce chapitre s'intègre dans l'ensemble.

C'est sympa d'encourager les troupes

Ah oui, très bien, je l'ai lu d'une traite, bravo
Quand on a rien a redire, en général, on fait des critiques sur l'orthographe ou la ponctuation : il manque un point par-ci par-là, bref des broutilles

Tiens, j'ai la flemme de regarder, mais y a-t-il un post sur la Fantasy ?