salon du livre 2011

le 18 et le 21 mars 2011

des expositions :

- Les énigmes d’Agatha Christie en BD.

- le centenaire des éditions Gallimard

- BUENOS AIRES, CAPITALE MONDIALE DU LIVRE 2011

- 2011, ANNEE DES OUTRE-MER

En plus d'Henning Mankell, le Salon du livre mettra à l’honneur des écrivains nordiques peu connus, éclipsés par le succès envahissant des superstars Stieg Larsson (Millénium) et Camilla Läckberg (la Princesse des glaces).

le programme détaillé.

Quelle chance ont les parisiens. Wassmo, Nesbo, Thorarinsson ! Quel programme.

Natalia a écrit:

Quelle chance ont les parisiens. Wassmo, Nesbo, Thorarinsson ! Quel programme.

bah ! dans ma mediathèque j'ai 14 Wassmo, 9 Nesbo et sans doute 0 Thorarinsson,

mais en cherchant bien...

J'y vais le samedi 19, comme (presque) chaque année
Avec en plus le privilège de rencontrer le prince d'A !

par quoi est intéressant le salon du livre?
rencontre avec les auteurs? en découvrir? prix des livres plus bas?

Le prix des livres reste invariable et malheureusement, le Salon du Livre n'en propose pas à des prix plus attractifs.
Cela dit, si on a de la patience, on peut découvrir certains auteurs et rencontrer ceux que l'on connaît déjà.

J'y suis allée en 2005, 2007 et 2008, à chaque fois pour des auteurs différents. Je n'y retourne plus parce qu'il y a vraiment beaucoup de monde.
En plus, c'est payant.

Pas pour tout le monde

EXACT ! ^^
Il me semble en effet que c'est gratuit pour les étudiants.

Le troisième salon littéraire des Ecritures méditerranéennes (Ecrimed) conviait à Marseille une quinzaine d’auteurs de chacun des pays invités, y compris, comme les années précédentes, un Israélien. Sous le signe, cette année, écrit Pierre Assouline, directeur littéraire du Salon, du «vent de liberté qui souffle sur le monde arabe».

«C'est la première fois qu’un Palestinien, un poète très radical de Jérusalem, Marjwan Darwish, accepte de venir, tous les autres avaient refusé tant qu’un Israélien participait à ces Rencontres», explique Assouline. «Par erreur, ajoute-t-il, l’Israélien a été programmé à la table ronde sur le printemps arabe.»

Contact. La veille de la rencontre, les participants arabes à cette table ronde annoncent à Assouline qu'ils ne s’assiéront pas à côté d'un Israélien à la même tribune. L’Egyptien, parce que les institutions culturelles de son pays boycottent Israël. Le Libanais, car la loi interdit tout contact avec Israël. Et le Palestinien parce qu’il ne veut pas discuter avec l’occupant. Mais le dîner est convivial et les participants n’hésitent pas à parler avec Moshe Sakal, le jeune écrivain israélien.

Le lendemain, Sakal est exclu de la tribune,

l'article de Libé