Jack O' Connell

Je viens de terminer " Et le verbe s'est fait chair" voici ce que j'en pense :
Bizarre, étrange, à la limite du charabia amphigourique. Une athmosphère très particulière suffocante, éprouvante comme dans les bédés de Miller, le film Sin city, ou un roman de Lieberman ou de Poppy Z Brites ou Cosmos incorporated de Dantec. Le récit relate la quête d'un livre dans une ville démoniaque ou règne une forme de chaos. D'anciens exterminateurs de juifs de bohême ont trouvé refuge dans cette ville ou ils se sont appropriés des quartiers et tentent d'imposer leur façon de voir les choses. Certains d'entre eux sont à la recherche d'un livre très spécial. S' en mêle un flic vivant avec le fantçome de sa femme décédée. Ma critique est nulle, mais impossible de tirer au clair ce récit qui ne manque pas d'interêt, mais ne m'a pas enthousiasmé. Un frange de lecteurs branchés et underground y trouveront surement leur compte.
Quelqu'un a-t-il lu cet auteur ?

Pas lu celui-là, j'ai commencé par son dernier Dans les limbes, qui est une sorte de roman onirique, où la fiction se mêle au rêve et à la réalité du héros. Très particulier, parfois chiant, ou emballant. Un auteur particulier, je pense, mais à essayer.

Je l'ai lu et je l'ai étudié en cours de Romans policiers, c'est pour cela que je l'ai lu. Certains passages sont tellement bien écrits qu'il m'a fait voir les images (quand on coud la bouche et les yeux à un héros du livre). Je ne me rappelle plus exactement de mon cours, cela est dommage, je ne crois pas que je les ai gardés en plus.
Ce livre est sur la quête d'un livre,oui ,mais derrière cette quête, il y aussi la recherche de soi , de qui on est vraiment, et du pourquoi de certaines situations.