anti sdf

darabesque a écrit:

coucou Kervinia et j'ajoute à ce que tu dis que cela ne règle pas hélas le problème des gens qui ont faim et froid à l'heure où j'écris

Évidemment. ^^'' C'était juste un petit commentaire sur ce que tu as dit. ^^'' Je n'ai pas prétendu régler la question... Et je pense sincèrement, comme je l'ai dit, que le problème se posera toujours tant qu'on vivra dans une société capitaliste ; donc, à moins d'inventer un nouveau modèle viable, personne ne règlera définitivement la question...

je me doute pantagruelle

tiens un poème que j'avais écrit pour mon pote sdf:



tout à fait d'accord >Kervinia

Tes mots me touchent beaucoup. On voit bien que tu es quelqu'un de très sensible.
Ton poème est ma gni fique.

Pantagruelle : Faire comme moi en l'occurrence c'est ne pas éviter le sujet précisément parce qu'on se sent concerné. Et je viens d''écrire, pour éviter les interprétations telles que la tienne, que des logiques différentes n'impliquent justement pas d'être de mauvaises personnes. C'est du moins un a-priori que je fais en toute conscience, le bénéfice du doute. Maintenant, si on revenait au sujet ?

Aussi, l'article n'avait aucun parti pris, je l'ai posté parce qu'il est d'actualité et m'a semblé pertinent sur ce fil. Je relate un fait, on me dit "si c'est ça que tu veux démontrer"... Ce qui est sûr, c'est qu'on n'a pas besoin d'être SDF pour commettre des cruautés (ça m'a rappelé cette affaire du vieil homme enfermé dans un placard par l'épouse et son amant). Mais aussi que ceux qui inspirent notre compassion peuvent être de mauvaises personnes. Je me suis demandée, si Hitler avait le ventre vide à notre porte, combien d'entre nous le secourrait ?