( dont j'ai pris la liberté d'oser une traduction)...
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Et le cri est silencieux et sans fin.
Mais les échos chuchotent et se montrent nus.
Ils nécessitent des mots contenus, tacites.
Mais les lettres sont en ébullition.
Comment contenir ce qui n'a pas de limites et se développe?
Route, mer, air, des corps, des pensées, des sens ... tout est indéfini.
Et l'amour dans son essence est beaucoup plus large et plus large que ses synonymes et les regards.
Ce qui est en moi, personne ne le voit,c' est latent ...intensément volcanique .
Il y a des déserts et des vents construits par nous.
Nous sommes de liberté et de passion.
L'amour et la poésie.
Et l'ombre de chacun.
Te suivre au plus près de tes pas et conduis-moi dans tes yeux.
La liberté qui emprisonne pour un testament de vie.
Et pas besoin d'écrire ton nom sur mon corps.
Pas le mien dans tes livres.
Ce qui est au-delà du concret.
Et du perceptible.
Nous sommes ce que nous ne traduisons pas ... les heures éternelles de tes paroles et tes silences.
Je suis le parfum exsudant l'opium et de cannelle qui enivre et séduit.
Mais ce n'est pas la prison - c'est immense.
Il y a des rochers d'une certaine façon que l'ignore.
En tout il y a la lumière et de l'obscurité - fusion - elle reflète cette éclipse ... afin que personne ne nous voie.
Et passer le temps ... libre et emprisonné en non finitude.
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