C-J SAMSOM............PROPHETIE

Angleterre, 1543. Après la Réforme, le retour de Henry Vlll au catholicisme fait régner la terreur dans tout le pays. Réhabilité depuis peu, chargé de défendre un jeune exalté, l'humaniste Matthew Shardlake entend se tenir à l'écart des conflits. jusqu'à ce que l'un de ses pairs soit retrouvé noyé dans la fontaine de Lincoln's Inn, la gorge tranchée. Au nom de leur vieille amitié, Matthew se lance à la poursuite du coupable. Très vite, les meurtres se multiplient, l'enquête prend une tournure inquiétante. Une piste s'impose : celle d'un tueur inspiré par l'Apocalypse de saint jean...



Biographie de l'auteur
C. J. Sansom est né en Angleterre en 1952 et vit dans le Sussex. Après des études de lettres et d'histoire à l'université de Birmingham, il a exercé divers métiers dont celui de notaire. Il se consacre désormais à l'écriture. Après Dissolution (2004), pour lequel il fut finaliste du prix Ellis Peters du roman historique décerné par la prestigieuse Crime Writers' Association, Les Larmes du Diable (2005), Sang royal (2007), Un hiver d Madrid (2008) et Prophétie (2009), Corruption est le cinquième volet des enquêtes de Matthew Shardlake et le sixième roman de C. J. Sansom à paraître en français. Tous ses ouvrages sont publiés chez Belfond et repris par Pocket.


800 pages passionnantes

sauf erreur de ma part, Prophétie n'est pas encore en pocket mais chez Belfond.

Sang Royal 788 p. est chez Pocket, ainsi que dissolution et les larmes du diable.

POCKET N° 14360

C'est tout frais, je l'ai lu d'une traite

Merci pour l'auteur . Je note dans ma liste j'ai vu que m'a bibliothèque à 5 titres.
ça me changera du style de polars que je lis

C'est du polar trés particulier, saviez vous qu'en 1543 le dentier existait, c'était des dents de mort montées sur des supports en bois. Bien entendu, pas question de manger avec, mais quel sourire éclatant, on découvre, même en lisant un polar historique

Trop long pour moi ! je ne comprends pas pourquoi souvent les romans de SF et les polars dépassent les 500 pages..

c'est un gros investissement temporel, et bien souvent on sent que l'inspiration s'essouffle et que l'auteur se bat les flancs, avec des rebondissements forcés, des péripéties accumulées...

Tout le monde n'est pas Tolstoï !

Je te comprends , moi , j'aime les gros " pavés", bien sur , je lis moins de livres que s'ils avaient 250 pages

pour ma part gros pavés ou autres moins épais, du moment que c'est bien écrit , que l'histoire m'intrigue et m'intéresse je consomme

Ce n'est pas indigeste du tout, c'est trés bien écrit, l'auteur à le sens du détail, l'Angleterre sous Henry VIII on s'y croirait, ça change des polars grosse cavalerie