Placido Domingo

“Ce n’est pas vrai”
Placido et Zubin Metha en parfaite harmonie
Cette romanza a besoin d’une voix dramatique
Un petit fragment de la lettre.

Citation :

Ce n’est pas vrai, les mauvaises filles n’ont pas ce regard.
Les yeux qui pleurent ne pourraient mentir.
Ce n’est pas vrai parce que je l’ai vue prier, je l’ai vue aimer, je l’ai vue pleurer
Je ne sais plus vivre.

"

Bonsoir: je vois une petite controverse sur cette vidéo de Placido Domingo.Il n’y a rien d’étrange à expliquer j’aime beaucoup cette romanza et j’aime l’interprète. J’avais mis quelques mots de la chanson pour qu’on la comprenne un peu plus parce que il la chante en espagnol. Mon seul but a été de partager avec vous cette splendide musique.
Pour éclairer les doutes je raconte l’histoire et je traduis les mots. Une zarzuela de l’espagnol Sorazabal « la cabaretière du port » Leandro(ici Plácido Domingo) aime cette femme, mais on lui a parlé très mal d’elle.Il doute, mais dans son for intérieur il ne veut pas admettre que cela soit vrai, et sa chanson d’une sensibilité poignante touche le public.

Ici les lettres. Il n’y a pas de rimes, mais en Espagnol non plus.â cause
de la musique peut-être.

a continuation la lettre

Ce n’est pas vrai, cette femme est bonne
Elle ne peut être une femme perverse,
Dans son regard, comme une lumière singulière´
J’ai vu qu’elle n’est pas malheureuse
Elle ne peut être une vulgaire sirène,
Qui a empoisonné les heures de ma vie
Ce n’est pas vrai ,parce que je l’ai vue prier
Parce que je l’ai vue aimer
Parce que je l’ai vue pleurer.

Les yeux qui pleurent ne savent mentir
Les mauvaises femmes ne regardent ainsi
Tremblantes dans ses yeux deux larmes j’ai vues
Quelles tremblent pour moi, je m’illusionne

Lumière vivante de mon espoir, soit miséricordieuse
Avec mon amour.
Parce que je ne sais pas feindre
Parce que je ne sais pas me taire
Parce que je ne sais pas vivre.

c'est tout ce que je peux dire sur cette romanza, qui me plaìt, qui me fait frémir chaque fois que je l'endends.

Les paroles sont aussi belles que la musique... Merci, Amadak, pour ces jolies choses.

manuel Ponce 1882-1948- Compositeur Mexicain, directeur d'orchestre, pianiste. Depuis son plus tendre age, il jouait du piano. Il s'est inspiré du folklore mexicain. Cette chanson
"petite étoile" a fait le tour du monde. Chante Plácido Domingo, violon Itzak Perelman. La chanson est très belle, la lettre banale, pas la peine de traduire, il s'agit d'un amoureux qui demande à une étoile de descendre et d'implorer à une femme qu'elle l'aime un peu, pour qu'il puisse vivre.

https://www.youtube.com/watch?v=Uecv5sg4riQ

Merci, Amadak!
J'adore la voix de Domingo, c'est mon ténor préféré

merci, vous êtes très gentils avec moi

Le ténor espagnol fêtera demain ses 70 ans.
c'est un interprète qui me touche particulièrement ! Un grand chanteur, sans aucun doute.

De l'opéra ...



... à l'opérette



en passant par la variété.

Bravo ! Plácido Domingo, c´est un espagnol universel, l´orgueil de l´Espagne. C´est un artiste total, pas uniquement un chanteur, un conquistador, mais celui-là, du coeur des hommes.

Pour ses 70 ans un concert a rassemblé au Teatro Real, l'opéra de Madrid, pendant trois heures une vingtaine de chanteurs qui ont interprété 15 airs d'opéras français, italiens ou allemands, selon une affiche restée secrète jusqu'à la dernière minute.

Les choeurs du Teatro Real, sous la direction de l'Américain James Conlon, ont ouvert la soirée sur un air de Tannhäuser de Richard Wagner, avant l'entrée en scène de la soprano américaine Deborah Polaski, qui a interprété le "Monologue de la Maréchale" extrait du Chevalier à la Rose de Richard Strauss. Le chanteur allemand (basse) René Pape ou la soprano espagnole Ainhoa Arteta étaient également à l'affiche.

En fin de programme a été interprété un morceau baptisé "Pla-ci-do", cadeau du compositeur chinois Tan Dun spécialement composé à la demande de Gérard Mortier, le directeur artistique belge du Teatro Real depuis 2010

source : AFP.

Dimanche 23 janvier, 19h15, arte, plácido domingo et ana maría martínez à salzbourg

Au Festival de Salzbourg en août 2007, Plácido Domingo et Ana María Martínez ont consacré une soirée à la zarzuela, genre musical très prisé sur la péninsule Ibérique qui rappelle l'opéra comique français. Le ténor et la soprano interprètent des airs et des duos de Federico Moreno Torroba, Pablo Sorozábal, Manuel Penella...

Lundi 24 janvier ARTE 22h 50  – 00h 15: Placido Domingo


Placido Domingo a interprété tous les grands compositeurs : Mozart, Verdi, Berlioz, Puccini, Wagner. Surprenant, il s'autorise parfois des incursions dans l'univers du théâtre musical. Quel que soit le rôle dont il s'empare, il en fait un événement grâce à sa voix, à sa présence sur scène et à ses talents de comédien - doublés d'une dose de charme et d'humour.

Passionné, il revient face à la caméra de Chris Hunt sur les grandes étapes de sa carrière, en commençant par son enfance : né en 1941 à Madrid, fils de deux chanteurs de zarzuela, il débute sur scène à 16 ans, à Mexico. Puis il s'élance à la conquête du monde et devient un chanteur que s'arrachent toutes les grandes salles. Un témoignage illustré de longs extraits des opéras dans lesquels il s'est produit..

Placido Domingo

Il a chanté hier soir sous le ciel et les étoiles de Buenos Aires, un concert gratuit pour à peu près 120.000 personnes. J’en suis encore sous le charme. Le théâtre Colon où il devait chanter, à notre grande honte,était fermé à cause d’une grève des musiciens, qui sont mal rétribués, cela je le sais de bonne source Le maire de notre ville n’a rien fait pour éviter ce scandale et n’est pas même assisté au concert. Placido Domingo, s’est mis du coté des musiciens, un homme d’honneur,il les a loués et de même
notre theátre Colon, l’un des plus importants du monde.
Le concert a été un peu improvisé, avec une autre orchestre,´manque de répétitions, malgré ces obstacles le charisme de Placido à ses 70 ans, plein d’énergie, sa voix n’ayant rien perdu de son intensité et accompagné d’une soprano merveilleuse, argentine, qui est sa partenaire depuis 10 ans, il à ébloui le public. Le répertoire était varié des petits morceaux de Massenet : el Cid, de Wagner :Die Wakïrie, Aída, et plusieurs de Verdi, ensuite il a été chef-d’orchestre pour l’ouverture « de la forza del destino » de Verdi à laquelle il a donné un éclat ; beaucoup d’autres des Zarzuelas espagnoles de Sorazabal »sortes d’opérettes parmi lesquelles se trouve celle que j’aime tant « no puede ser »( ce n’est pas vrai » de la cabaretière du port, que j’avais envoyé il y

a longtemps sur musique classique.
Après , presque 3 heures de chant, il nous a ravi avec des boléros, l’immanquable Granada, toujours accompagné de la soprano Virginia Tola, à ne pas oublier ce nom. Puis pour nous rendre hommage ils ont chanté les célèbres tango :
Volver, LointainBs AS, El día que me quieras et d’autres , mais là malgré sa belle voix, son émotion, son charisme, personne ne peut remplacer Carlos Gardel,ce n’est pas possible ,parce que le tango c’est un sentiment Argentin.
Je crois qu’on verra ce concert sur Youtube.

Merci Amadak de partager ainsi tes émotions

ils ont chanté pour 120.000 personnes
[quote]

Citation :

nous sommes ravis, heureux,et aux anges

Victor Hugo: correspondance

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à 70 ans, vraiment il a de quoi être fier, et l'Argentine le remercie de sa présence chez nous.

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Merci Amadak. J'ai vécu un peu l'émotion de son concert par procuration. Sachez que Buenos Aires fait rêver beaucoup de gens dans le monde. Alors Buenos Aires + Placido Domingo, j'imagine que c'était un moment fort.

Merci à tous ceux qui ont partagé mon émotion, Natalia, Wallida et d'autres, Placido est digne d'admiration en plus de son art, par ces conditions d'homme de bien, Il ne fait pas ,comme d'autres Stars, des demandes privilègiées à leur égard, lui, voyant que le théâtre était fermé ,il a trouvé une solution pour ne pas décevoir notre public ,même si l'improvisation ne lui était pas favorable.
Philanthrope, il a souvent fait don de ses honoraires de toute une année pour secourir des gens frappés de catastrophes.

Je suis très heureuse pour toi Amadak que ce concert t'ait apporté émotion et bonheur.

Placido Domingo est un ténor que j'aime énormément et depuis le tout début de ma passion pour l'opéra ... et ce n'est pas d'hier !
Le rôle dans lequel il m'a le plus marqué, c'est son Ernani avec Freni, Ghiaurov et Bruson ; j'en ai vu la retransmission à la télévision ...
C'est effectivement quelqu'un de très simple : il y a quelques années, alors qu'il était déjà très connu, son épouse mettait en scène 'La Traviata' à Liège et il l'accompagnait. Pendant l'entracte, il est venu nous rejoindre dans les couloirs pour nous demander si nous aimions et il a bavardé très gentiment avec tout le monde.

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