Nicole Yrle, Les dames de Paulilles.

chère amie, j'ai lu le lien et le peu qu'on dit est favorable, on met en valeur tes recherches et l'histoire bien racontée. Que ta création soit une réussite.

Je n'ai pas trouvé de fil concernant ce petit recueil alors je mets cela ici, Nestor, tu le mettras ailleurs si tu trouves où

La chouette maison de Nicole Yrle aux editions autres plumes

Un conte de Noël d’une vingtaine de pages, illustré avec de jolies petites images, et nous voilà partis pour attendre le père Noël.

Bien, écrit, mais cela est inutile de le préciser. Cette histoire fait place à la solidarité et à la joie de partager particulièrement ces jours de fête.

Cette jolie petite maison au fond du jardin… aurait-elle un secret ?

A lire petits et grands, c’est du tendre Nicole Yrle.

Nestor > : un extrait sur cette page.

merci Nestor !

je reviens à :

Les dames de Paulilles

Nicole Yrle nous raconte le destin de quatre femmes, de quatre générations.
Cela ne s’arrête pas là : elle nous rappelle également, ce que nous avons tendance à oublier, la venue des annamites dans notre pays pour effectuer le travail de nos ouvriers partis au front. Ils venaient aider « la mère patrie ». Beaucoup y laisseront leur vie.

Comment rester insensibles devant la douleur de ces femmes meurtries dans leur corps en exécutant des travaux très difficiles et dangereux dans une usine de dynamiterie, et dans leur cœur en perdant des êtres chers dans ces guerres qu’elles durent subir : 14/18 puis 39/40…

Parallèlement, une vie de solidarité et de courage se construit autour de cette usine à Paulilles. Des amours impossibles, des joies, des naissances, des pertes chères, une communauté qui va de l’avant malgré les écueils de périodes extrêmement difficiles.

Comment peuvent-elles oublier, toutes ces femmes qui ont vécu cette vie ?

Elles n’oublient pas d’ailleurs, mais elles ont enfoui leurs souvenirs heureux ou douloureux au fond de leur cœur et il faudra toute l’insistance de Marine, la dernière fille de cette génération, pour qu’elles ouvrent leur coffre à souvenirs.

Sans sensiblerie, Nicole Yrle nous fait revisiter cette magnifique Côte Vermeille, et après avoir lu le destin de ces femmes, nous ne regarderons plus jamais de la même façon, cette si jolie baie de Paulilles.

Bravo Nicole Yrle, c’est du vrai roman, du beau, du simple mais du finement écrit et ciselé.
Chaque mot est juste et à sa place dans l’histoire.

Je connais les autres écrits de Nicole Yrle mais ce dernier roman, conforte, s’il le fallait son talent de grand auteur.

Et entre nous puisque nous nous connaissons un peu, je t'embrasse très fort Nic et te souhaite beaucoup de succès avec ce roman qui le mérite

Merci Darabesque pour ce post sur" Les dames de Paulilles" de Nicole Yrle.
je voulais vraiment en savoir plus, et d'après ta lecture je trouve le roman encore plus passionnant.
le destin des femmes, vu par une femme aussi sensible que Nircyle ne peut être qu'intéressant. Bravo nicyrle

Darabesque Sarabennada Vos gentillesses me touchent infiniment.

Une petite pensée pour tes Annamites à Paulilles, (dans Les dames de Paulilles éditions Cap Bear), avec ce passage de Cent seize Chinois et quelques, de Thomas Heams-Ogus au Seuil.

Il suffit de changer quelques noms et on retrouve ce que les Annamites ont dû éprouver eux-aussi dans le camp que tu évoques dans le récit :

« […] leur stupéfaction et leur détresse d être là, loin de chez eux par choix ou par contrainte, sans pouvoir résoudre cette contradiction qui était un venin poisseux en chacun : quitter la Chine, s’agripper au lointain, pour espérer vivre, prendre un jour un bateau à ces fins, débarquer un jour à Naples, c’était une chose, c’était donner sens à sa vie, tracer un axe ; mais se retrouver ici dans les Abruzzes parce que la planète implosait, parce que quelque un quelque part avait décidé qu’être chinois, c’était être un ennemi potentiel, cela les dévastait.

Le peu de sens qu’avait été un matin de prendre un bateau pour l’Europe, d’avoir fermé les yeux pour ne pas voir la dernière pastille de Chine disparaître, tout ce sens, toute cette petite liberté d’homme qui avait consisté à marcher sur ce ponton des départs, toute cette prétention à être un homme n’importe où sur la planète, tout était balayé par ce confinement. »

Thomas Heams-Ogus, Cent seize Chinois et quelques, Seuil.

Je le lis actuellement.

Intéressant en effet, et éloquent pour moi qui me suis penchée longuement sur le triste sort infligé aux Asiatiques...
Merci Rotko. Tu nous diras ce que tu penses de ce livre quand tu l'auras terminé ?

mais oui, bien sûr

je regroupe sur ce fil différentes données concernant les dames de Paulilles

nicyrle a écrit:

je suis l'invitée d'une émission littéraire sur France Bleu Roussillon à propos de mon dernier roman : suis toute fière, vous l'auriez deviné, mais si je parle du nez, j'aurai l'air de quoi ?

l'émission est à 13h.30 avec une journaliste très sympa, Josiane Coranti.

13 h 14, mercredi, France-bleue Roussillon.

Voici le lien pour écouter en différé

Merci Rotko pour le lien à ma connaissance, l'émission est à 13h.30

Un article paru récemment sur Les dames de Paulilles dans la presse locale :
http://www.i-services.net/membres/newsbox/fiche_news.php?uid=109552&sid=78444&idbox=1406&id=70721

Je ne peux qu'être contente, n'est-ce pas ?

oui, c'est clair et clairement élogieux.

tu vas pouvoir l'ajouter à ton presse-book

Je découvre la production livresque de nicyrle

Bravo!

Ça donne envie, je fais une note mentale et quand j'aurai lu les environ 57 livres sur ma pile en attente...

rotko a écrit:

Ne riez pas, j’aime caresser la couverture, elle est moelleuse. Pas de coquille pour l’instant et pourtant je regarde !

rotko est bibliophile...

Merci Bridget Ce sera un honneur que d'être lue un jour par toi, même au 58e rang...

Quant à Rotko, je comprends son point de vue : sans être bibliophile, j'aime, moi aussi, caresser du regard et de la main la couverture d'un livre avant de l'ouvrir et j'ai horreur de trouver des coquilles à l'intérieur ! Hélas, hélas, il y en a quelques-unes dans mon propre livre mais l'éditeur a promis qu'elles auraient disparu dans le prochain tirage (en cours), tu as raison d'attendre, Bridget.

En passant par hasard, j'ai vu le livre de Nicyrle au portail et je découvre ce fil dans la foulée.
Avec un peu de retard, je félicite la dame !


Et le bon commentaire de Rotko m'incite à l'ajouter à ma liste... qui s'allonge, qui s'allonge !

Merci Harelde 2 car je n'avais pas vu ce sujet

nicyrle ton roman est couvert d'éloges, comment veux-tu que je résiste à l'envie de le lire ?

Et un livre à commander chez ma libraire

Merci Harelde Je serais très contente que tu lises mon roman et, bien sûr, que tu mettes ton grain de sel de lecteur averti et curieux.

Natalia, ne résiste pas ! Ton avis m’intéresse aussi, cela va de soi !

Me re-voilou pour te dire Nicyrle que j'ai proposé l'achat de ton roman à ma biblio

Natalia a écrit:

Me re-voilou pour te dire Nicyrle que j'ai proposé l'achat de ton roman à ma biblio

C'est très sympa J'ai hâte que tu le lises !

je me le suis commandée chez ma libraire pour mon plaisir perso

Natalia, tu me fais plaisir

j'ai pas fait exprès

quand je l'aurais lu je viendrai poser ma graine ici .

Natalia a écrit:

je me le suis commandée chez ma libraire pour mon plaisir perso

Pff je ne sais pas comment elle se débrouille mais je ne l'ai toujours pas
Je commence à désespérer

Natalia a écrit:

Natalia a écrit:

je me le suis commandée chez ma libraire pour mon plaisir perso

Pff je ne sais pas comment elle se débrouille mais je ne l'ai toujours pas
Je commence à désespérer

Mal à l'évidence ! Si tu veux, communique-moi par M.P. les coordonnées de ta libraire pas dégourdie et je répercuterai l'info à mon éditeur.

Je vais être sympa je lui donne encore une semaine ( ça fera plus d'un mois ) et si je n'ai pas de nouvelles je te contacte

En même temps c'est parce que c'est la seule libraire de ma ville sinon en allant à la fnac je pense que j'aurais déjà ton livre....je suis sentimentale j'aime bien les libraires et ça leur permet de garder la tête hors de l'eau

Merci nicyrle