Meijer de Haan + Gauguin

Meijer de Haan (1852-1895). Le maître caché. Exposition 16 mars - 20 juin 2010, au Musée d’Orsay, 1, rue de la Légion d’Honneur, Paris 7e


Le nom de Meijer de Haan, auquel le Musée d’Orsay consacre une rétrospective, est associé à l’aventure de Pont-Aven et à son amitié avec Gauguin. Ils passèrent ensemble plusieurs mois dans la petite ville et au Pouldu, firent l’un de l’autre des portraits, de Haan payant la pension et la nourriture de Gauguin qui lui donnait des leçons de peinture en échange et voulait l’emmener à Tahiti

in le Temps.

un tableau de Gauguin qui se situe à Rouen


"Rue Jouvenet, Rouen", de Paul Gauguin (1884).

Un article du Figaro parle du mythe du bon sauvage chez Gauguin.

Citation :

Créer le «mythe du sauvage» lui permit de faire accepter ses révolutions artistiques. Ses prés rouges de la Vision après le sermon où luttent Jacob et l'Ange (1888). Les décors suaves, vénéneux, de ses nus tahitiens où la Mort des danses macabres devient un totem primitif. Ses audaces formelles qui couchent une jeune fille nue dans les bras d'un renard, sous le pré rose d'une noce bretonne (La Perte de pucelage, 1890-1891).

l'école de Pont-Aven, initiée par Gauguin avant son départ pour Tahiti. À découvrir dans une superbe exposition à Rueil-Malmaison.



Ferdinand Loyen Du PUIGAUDEAU (1864-1930) "Le Croisic, fillettes au pied d'un menhir"

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