Pendant que Richard Avedon est au jeu de paume, Sophie Elbaz et Annie leibovitz règnent à la maison europeene de la photographie, l'une au sous-sol avec des photos de visages hagards de femmes en Bosnie, et la seconde sur trois étages.
On y retrouve les portraits des grands de ce monde - Bush et ses collaborateurs, Clinton et Cie - des vedettes du cinema comme demi moore, et des photos familiales et amicales, mais non conventionnelles :
son père malade, susan sonntag avec son cancer, sa mère au regard inquiet.
Une mention pour cette photo tragique :
clic !
celle d'un jeune cycliste abattu par un sniper à Sarajevo.
Un autre cycliste pédalant nu et censé, selon Marie chevalier, représenter Rotko, la tête dans le guidon.
La palette d'Annie leibovitz est très étendue, montrant souvent lemoins pour signifier le plus
des taches sur un mur de salle de bains, souvenir du massacre au Rwanda.
des photos d'athlètes aux jeux olympiques : sauteur à la perche, plongeur amateur mais audacieux, etc.