Gustav Mahler

Superbe cette symphonie n° 1 ... elle m'a tenue en haleine du début jusqu'au bout et quel final !!!
Ce passage de l'obscur à une éblouissante lumière est une merveille.
Par contre, je dois avouer que cette musique ne me rappelle rien d'autre qu'elle même mais je ne suis pas grande connaisseuse en la matière.

Cette première expérience me donne encore plus envie de découvrir ce compositeur.

Bel Canto a écrit:

Superbe cette symphonie n° 1 ... elle m'a tenue en haleine du début jusqu'au bout et quel final !!!
Ce passage de l'obscur à une éblouissante lumière est une merveille.
Par contre, je dois avouer que cette musique ne me rappelle rien d'autre qu'elle même mais je ne suis pas grande connaisseuse en la matière.

Cette première expérience me donne encore plus envie de découvrir ce compositeur.

j'ai plusieurs symphonies de Mahler, je peux suivre, très volontiers

rotko a écrit:

Bel Canto a écrit:

Superbe cette symphonie n° 1 ... elle m'a tenue en haleine du début jusqu'au bout et quel final !!!
Ce passage de l'obscur à une éblouissante lumière est une merveille.
Par contre, je dois avouer que cette musique ne me rappelle rien d'autre qu'elle même mais je ne suis pas grande connaisseuse en la matière.

Cette première expérience me donne encore plus envie de découvrir ce compositeur.

j'ai plusieurs symphonies de Mahler, je peux suivre, très volontiers

ok, que proposes-tu pour suivre ?

j'aimerais bien la 4 j'ai la version Inbal avec Helen Donath

Citation :

Mahler : Symphonie n° 4
Gustav Mahler (Compositeur), Eliahu Inbal (Chef d'orchestre), Frankfurt Radio Symphony Orchestra (Orchestre), Diego Pagin (Interprète, Violon), Helen Donath (Interprète, Soprano) |

je verrai si je trouve d'autres interprétations. il me reste quelques videos de Mahler à voir (elles sont enregistrées).

ok mais cela sera pour la semaine prochaine car j'ai un we chargé qui s'annonce !

je viens d'écouter une version enregistrée (à la télé) du cor merveilleux de l'enfant, des épisodes fantaisistes mais souvent dramatiques : le jeune tambour à la guerre, le petit paysan qui crie sa faim, les différentes attitudes face à l'amour, la présence de la mort.

La présence de sous-titres aide bien à la compréhension des textes et de la musique. Direction Boulez.

Ce concert, enregistré en février 2010 au Severance Hall de Cleveland, marquait également un double anniversaire : les 85 ans de Pierre Boulez et les 45 ans de ses débuts à la tête de l'Orchestre de Cleveland. Pierre Boulez, Le cor merveilleux de l'enfant, avec Magdalena Kozena, Christian Gerhaher

le Cor merveilleux

Recueillies de la bouche du peuple ou dans de vieux manuscrits, ces chansons populaires furent choisies pour répondre à une mission culturelle et patriotique dont Arnim en particulier se sentait investi : rendre accessibles aux masses populaires les trésors de poésie accumulées au cours des siècles et dont elles sont les dépositaires.

Plus sensible aux exigences artistiques, Brentano les adapta, soucieux d'en perfectionner la forme, tout en respectant l'expression naïve et spontanée. Elles chantent les paysages grandioses ou charmants qui se métamorphosent au rythme des saisons, les sentiments humains élémentaires et les vicissitudes de l'amour : joie de l'amoureux comblé, soupirs de la jeune fille qui espère, plaintes de l'amante abandonnée ; la dualité tragique de l'âme allemande déchirée d'une part entre sa nostalgie du pays natal et d'autre part l'appel vers l'aventure et les lointains inconnus dont le Cor merveilleux, qui figurait sur la page de titre de l'édition originale, offrait le symbole.

Citation :

"Demain il me faut partir, / M'éloigner de toi. / O toi, beauté sans pareille, / Partir c'est souffrir. / Oui mon amour fut fidèle / Au-delà de tout. / Pourtant je dois te quitter."

Source : Wikipedia.

Merci pour cet enregistrement, c'est très beau !

traversine a écrit:

N'hésitez pas à les écouter aussi dirigées par Pierre Boulez... ça vaut son diapason d'or !

En douceur, laissons-nous submerger par le sublimissime adagio de la 5e...

A 22 ans, une chroniqueuse française au maroc (Françoise Fabien) d'une émission de musique classique m'ouvre ce monde et m'initie, Cet adagio de Mahler ce fut mon premier vrai envol, la première fois où j'apprécie et je me laisse emporter par la musique classique occidentale. Je l'ai réécouté à plusieurs reprises depuis, et à chaque fois, mon oreille de plus en plus initiée à ce monde, saisit le talent de Mahler!

Echos du Verbier Festival , jusqu’au 31 juillet. Le Temps fait l'éloge de Matthias Goerne

Dans les lieder tirés du Knaben Wunderhorn, ce sont des soldats qui marchent au pas, comme abrutis par l’appel au combat. «Je dois marcher jusqu’à la mort», dit l’un d’eux dans Revelge: cette dureté se reflète dans la voix de Matthias Goerne. Ailleurs, le chanteur se montre infiniment doux. Le fameux Urlicht, d’ordinaire chanté par des voix féminines de contralto, est interprété comme une prière. La voix est admirablement posée; on frôle le silence.

Pas moyen de retrouver sur le web un enregistrement de die gedanken sind frei, les pensées sont libres, entendu dans le concert de pierre Boulez et l'orchestre de cleveland.

Thomas Hampson dans revelge.