Douglas KENNEDY

La femme du Vè:

Invraisemblable est le mot qui me vient à l'esprit pour qualifier ce livre! comme l'échographie qui permet de diagnostiquer une commotion cérébrale chez la fille du héros...

Autant j'ai été enchantée au début par le côté réaliste des événements et la capacité qu'a l'auteur de décrire les affects dépressifs, autant la fin m'a profondément déçue...je n'ai pas aimé cet aspect fantastique ou plus justement fantasmatique...
En même temps je me dis que vu les problèmes dans lesquels le héros s'est empêtré ça aurait été difficile de finir le roman autrement que par sa mort ou sa condamnation! d'où le recours à l'invraisemblable pour le sortir d'affaire.

Bref, un livre à oublier...

Considéré comme « le plus français et le plus populaire des auteurs américains »,Douglas Kennedy reçoit le grand prix du Figaro Magazine,

in livres-hebdo.

Un concours pour gagner 30 livre de Douglas Kennedy, c'est sur bibliobs

il y a 5 questions, voici la première

1) A quel âge Jane prend-elle la décision de ne jamais se marier et d'avoir d'enfants ?
a) à 7 ans
b) à 13 ans
c) à 17 ans
d) à 85 ans

Colllaboration possible sur GDS* si vous êtes interessés

rotko a écrit:

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Moi m'sieur !
Je viens de récupérer une immense bibliothèque. Faut que je la remplisse un peu maintenant !

L’homme qui voulait vivre sa vie


Un homme marié, un amant.

Banal ? mais non DK ne fait pas dans le simple et sur un coup de jalousie, le mari tue l’amant.

Comment va-t-il réagir : prendre ses responsabilités et payer sa dette à la société ou fuir ?
Jusqu’où ? Jusqu’à quand ?

Très bien menée l’intrigue est pleine de suspense et l’auteur nous intéresse du début à la fin à son histoire.
Un peu de SK, un peu de polar, un peu de thriller et voilà un bon roman qui se laisse lire et qui est, en plus bien écrit.

rotko a écrit:

Un concours pour gagner 30 livre de Douglas Kennedy, c'est sur bibliobs

il y a 5 questions, voici la première

1) A quel âge Jane prend-elle la décision de ne jamais se marier et d'avoir d'enfants ?
a) à 7 ans
b) à 13 ans
c) à 17 ans
d) à 85 ans

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je me gausse je l'ai mis dans mon résumé plus haut

J'ai emprunté il y a quelques mois un roman de Douglas Kennedy à ma bibliothèque, juste pour avoir une idée de la raison pour laquelle cet auteur a tant de succès. Je crois (?) avoir emprunté "Les charmes discrets de la vie conjugale".
Il m'est tombé des mains au bout de 4 pages, un record, même Danielle Steele avait duré un peu plus longtemps
"Au-delà des pyramides" a l'air bien plus intéressant cependant, j'ai entendu une émission là-dessus à la radio.

IzaBzh a écrit:

J'ai emprunté il y a quelques mois un roman de Douglas Kennedy à ma bibliothèque, juste pour avoir une idée de la raison pour laquelle cet auteur a tant de succès. Je crois (?) avoir emprunté "Les charmes discrets de la vie conjugale".
Il m'est tombé des mains au bout de 4 pages, un record, même Danielle Steele avait duré un peu plus longtemps
"Au-delà des pyramides" a l'air bien plus intéressant cependant, j'ai entendu une émission là-dessus à la radio.

C'est bien, tu persévères. Car parfois il est vrai qu'un auteur est inégal dans ses écrits.

La poursuite du bonheur

Pocket-773 pages

Citation :

Dans l'Amérique de l'après-guerre minée par ses contradictions, des années noires du maccarthysme à nos jours, La Poursuite du bonheur nous plonge au coeur d'une magnifique histoire d'amour.
Manhattan, Thanksgiving 1945. Artistes, écrivains, musiciens... tout Greenwich Village se presse à la fête organisée par Eric Smythe, dandy et dramaturge engagé. Ce soir-là, sa soeur Sara, fraîchement débarquée à New York, croise le regard de Jack Malone, journaliste de l'armée américaine. Amour d'une nuit, passion d'une vie, l'histoire de Sara et Jack va bouleverser plusieurs générations.
Un demi-siècle plus tard, à l'enterrement de sa mère, Kate Malone remarque une vieille dame qui ne la quitte pas des yeux. Coups de téléphone, lettres incessantes... Commence alors un harcèlement de tous les instants. Jusqu'au jour où Kate reçoit un album de photos... La jeune femme prend peur : qui est cette inconnue? Que lui veut-elle ?
Douglas Kennedy nous livre ici un roman ambitieux où, à travers d'inoubliables portraits de femmes, résonnent les thèmes qui lui sont chers : la quête inlassable du bonheur, la responsabilité individuelle, la trahison.

Deux femmes se partagent la narration de ce roman qui vous prend à la gorge et ne vous lâche plus : Sara et Kate. Deux femmes liées au même homme sans le savoir.
Kate introduira et conclura l’histoire dans deux parties relativement courtes et concises.

Sara, qui est l’héroïne se taille la plus belle et la plus intense partie du livre.
Nous sommes au sortir de la seconde guerre mondiale, à New-York. Sara est jeune, probablement superbe, et a envie de croquer la vie à pleine dent à son idée, selon son idéal. La société New-Yorkaise est plutôt à cheval sur des principes, des valeurs puritaines qu’il convient, au fond, ne pas transgresser ; en apparence tout du moins. Sara l’apprendra à ses dépends, tout au long de sa vie, et se battra contre vents et marées pour ce qu’elle considère sa part de bonheur. Y parviendra t-elle ? Et à quel prix ?
Dans ce livre se résument toutes les contradictions d’une Amérique qui dans les années 50 a connu un épisode de chasse aux sorcières sans précédent.
Une Amérique qui se veut moderne, mais qui au fond reste profondément attachées à ses valeurs rigoristes, à une morale dépassée que tut le monde ou presque bafoue, mais dont les transgressions peuvent amener celui qui s’y aventure au ban de la société.
Une Amérique qui se veut le défenseur de la liberté, mais qui au nom de la peur, des préjugés ne pouvait admettre d’autres manières de penser.
J’ai aimé refaire le voyage à New-York, ressentir la ville au travers des mots de Douglas Kennedy, ressentir cette frénésie urbaine déjà si présente dans les années 50.
L’auteur fait très bien ressortir l’envie de consommer de cette société américaine, et en même temps son contraire avec l’évocation de la vie beaucoup plus austère qui règne un peu pus au nord du côté de Boston.
Ce livre se lit d’une traite ou presque ; l’histoire est prenante, dynamique, sans temps mort. J’ai trouvé l’écriture agréable. Ce n’est pas pour Douglas Kennedy dont je n’ai pas entendu que des éloges, loin s’en faut, que j’ai choisi ce livre, mais pour New-York.Il parait que c’est le meilleur Kennedy ; ce qui fait qu’avec cet auteur, je resterai sur cette note positive et n’en aborderai pas d’autres livres.

« Tu ne connais pas encore le principe fondamental de la vie américaine ? Quand tu te sens coupable de lâcheté morale, tu atténues tes remords en allant claquer plein d’argent. »

Une affirmation on ne peut plus…. american way of life……..

Tu me donnes envie de "retenter" une expérience avec cet auteur.Je pense qu'il écrit très bien donc pourquoi pas? ne pas être borné est la clé des vrais lecteurs

darabesque a écrit:

1) À quel âge Jane prend-elle la décision de ne jamais se marier et d'avoir d'enfants ?
…
d) à 85 ans

Well… Ce serait une preuve d'optimisme !

c'est Rotko qui a lu ces questions quelque part, moi je savais l'âge car je le mets dans mon résumé et ce n'est pas 85 ans, voyons réfléchis la vie est bien faite, les femmes n'ont plus d'enfants quand leur corps ferme les portes

J'ai découvert Douglas Kennedy voici quelques avec L'homme qui voulait vivre sa vie au hasard des rayonnages ... L"histoire d'un photographe refoulé, ça m'intriguait. J'ai adoré.
Que de rebondissements, une écriture dynamique.

Je n'ai pas vu le film. Qu'en avez-vous pensé ?
J'avoue que l'idée de transposer l'histoire en Europe m'échappe et m'intrigue...

Ainsi, suite à la découverte de cet auteur, j'ai lu plusieurs de ses romans.

D'abord Rien ne va plus. Assez tiré par les cheveux, un peu tordu. Philip Fleck est très dérangeant.
L'art de Douglas Kennedy est de faire tomber ses personnages au plus bas. L'on se dit souvent : il ne peut rien lui arriver de pire, il ne peut tomber plus bas ! Mais si !

Ensuite, j'ai lu Quitter le monde. J'avoue que c'est mon préféré.
Enfin une héroïne ! Et quelle héroïne ! On ne peut pas dire qu'elle est gâtée par l'auteur ! Mais, on se retrouve beaucoup en elle. A la fois forte et fragile, elle trouve son refuge dans les livres...

J'ai commencé La femme du Ve. J'avoue que pour le moment je n'accroche pas trop. A finir...

je ne manque jamais le dernier Douglas Kennedy, je suis toujours sûre de passer un bon moment(excepté la femme du cinquième , raté selon moi) c'est de l'excellente littérature populaire, ce qui n'est pas si facile!

Je viens de lire "Quitter le monde" en quelques soirées...
Il n’y a dans ce livre pas de réel suspense (si ce n’est dans l’épisode qui se déroule dans la dernière partie du roman) mais le lecteur ne peut s’empêcher de poursuivre sa lecture : la trame est celle d'une vie assortie de ses coups du sort sur fond de société nord-américaine. Chacun y retrouvera une part plus ou moins importante de lui-même. J’ai lu quelque part que Douglas Kennedy était le plus français des écrivains américains. J’avoue ne pas comprendre ce que l’on entend par là. Il est pour moi au contraire profondément américain, appartenant à une lignée d’écrivains qui ont mis en scène les contradictions de la société américaine, tout en y mêlant une réflexion philosophique. Certains jugent cette réflexion légère ou pompeuse, c’est selon… Elle porte néanmoins le livre plus loin que la simple narration de faits divers.

J'ai lu la semaine dernière "Quitter le monde " , ma première approche de cet auteur.
J'ai trouvé la lecture fluide , des références littéraires intéressantes , le genre de livre qu'on dévore en deux jours.
mais honnêtement...
Le personnage vit un calvaire au quotidien , elle collectionne les coups durs ,ce qu'on appelle ne pas avoir de chance...
On commence à trouver le personnage peu crédible tellement le destin continue de s'acharner au fil des pages mais on se dit pourquoi pas ...
Mais ce n'est pas fini , l'intrigue policière arrive et cette jeune diplomée de littérature après être passée tradeuse mène une enquête ...
Bien entendu , on s'en serait douté , elle résoud en un tour de main ce que la police n'a pas su voir...Conclusion je suis de plus en plus blasée.

Mais de qui se moque-t-on?
J'ai vraiment eu la sensation que l'auteur prenait son lectorat pour des courges et je pèse mes mots ...
Comment peut-il lui même croire en son personnage?

Alors si je reste dubitative quant à la qualité de l'intrigue , je me dis que c'est moindre comparé à ce que doit ressentir l'auteur s'il fait une analyse objective de son roman...

De Douglas Kennedy, j'ai plutôt apprécie Au delà des pyramides. Il s'agit d'un récit de voyage comme on en fait plus.

Un carnet de voyage en Orient, et en Egypte plus particulièrement, quoi de plus banal me direz-vous! Mais au dela des pyramides a le grand mérite d'être écrit au delà des clichés: ce qui, pour un voyageur américain, aurait plutôt tendance à relever de l'exploit. Nous sommes bien loin en effet des topos de la littérature orientaliste décrivant un Orient insaisissable, envoutant mais effrayant, dont les mystères sont aussi impénétrables que les formées cachées de la femme au voile. Nous voilà bien loin de l'exotisme primaire du genre viatique. Ces scènes où, par exemple, Kennedy rencontre des bedouins postés devant leur écran de télévision ou encore des moines coptes accros à l'ordinateur, sont aussi à lire comme une réflexion sur la mondialisation: au plus profond du désert egyptien, l'auteur trouve des hommes aux habitudes plutôt similaires à celles de l'ensemble des américains.
En effet, la mondialisation, c'est aussi et surtout, l'homogénéisation des modes de vies, au delà (encore une fois) de différences de plus en plus minces et superficielles.

On peut aussi le lire comme un documentaire assez précis, sur une société complexe aux multiples problèmes que Kennedy n'essaie en rien de simplifier à l'aide de discours convenus.

491 p. Belfond

La force des livres de Douglas Kennedy est de savoir dépeindre les relations entre les hommes et les femmes, à hauteur de lecteur. Tout de suite, on se sent familier des intrigues et proches des personnages.

Cet instant-là n'y déroge pas, qui raconte comment le narrateur, un quinquagénaire en plein divorce, se remémore sa plus grande histoire d'amour qui se déroulait à Berlin, trente ans plus tôt. Installé côté ouest de la ville en pleine guerre froide, il était venu écrire un roman et y a rencontré une séduisante traductrice venue de l'Est, une « Ossie » comme on surnomme à l'Ouest les Allemands venus de l'Est.

L'auteur s'attache à examiner ce qui fait la force d'un grand amour, en imprégnant son histoire des ambiances de Berlin, où se déroule la majeure partie de ce (gros) livre. Le souvenir de cet amour frais et plein d'espoir vient rafraîchir le héros à la cinquantaine un peu amère.

20 minutes a ficelé le paquet cadeau.

de la part de PHEDRE
 
Bonjour !
 
A votre Médiathèque, à Saint-Pierre,(Réunion) nous recevons  DOUGLAS KENNEDY !
 
Qui est Douglas Kennedy ? Ecrivain américain qui décrit de manière très acerbe certains aspects des Etats Unis d'Amérique. Il dénonce notamment leur puritanisme religieux.
 
Il est capable de questionner le monde tout en le divertissant.
 
Il dit "Chaque vie est un roman, chaque vie est atypique, il y a l'idée que tout le monde rêve de bonheur
 
et on peut aussi se demander pourquoi on se construit sa propre prison et pourquoi le bonheur qui est parfois juste a côté de nous, est-il si difficile à trouver. Oui la vie est question de choix!"
 
De" [b]Piege nuptial" à "Cinq jours" en passant par "L'Homme qui voulait vivre sa vie"
 
Douglas Kennedy est un des auteurs favoris des français, avec plus de deux millions d'exemplaires vendus.
 
Retenez cette date : JEUDI 30 JANVIER 2014  A  19 HEURES      entrée libre et gratuite, bien sûr !

Douglas Kennedy à la Réunion.
Bonjour,

Comme D.Kennedy vient en avril chez nous, je fais l'expérience d'une lecture de toutes ses oeuvres sur "liseuse" électronique( prêtée par la médiathèque). (J'aime bien, mais cela n'a pas la présence du livre que l'on tient en main et que l'on oublie)

J'ai lu "Cinq jours", (**) Combien? (**), La femme du Vè (**), cet instant-là(***) L'Homme qui voulait vivre sa vie(*****), et Piège Nupiial ( ou Cul-de-sac) (*****). Bonnes fêtes!