EXPOSITIONS

Matisse et Rodin, maintenant ! Bon, t'as fini de me faire baver ?

Oui, j'arrête là pour aujourd"hui!

Mais, c'est mon compte en banque qui va morfler avec toutes ces expo.

Surtout si tu passes à la boutique du musée, non ?

Les expo sont déjà chères en moyenne 8/10 euros et c'est dur de ne rien acheter dans la boutique.
J'ai repéré cinq ou six expositions à faire....

Bruegel, Memling, Van Eyck... La collection Brukenthal



Le Musée Jacquemart-André accueille, du 11 septembre 2009 au 11 janvier 2010, les chefs-d’œuvre de la collection Brukenthal, l’une des plus prestigieuses d’Europe centrale qui rassemble des œuvres flamandes des plus grands maîtres du XVème siècle au XVIIème siècle : Van Eyck, Jordaens, Bruegel, Memling ou Teniers.

Citation :

UNE EXPOSITION EVENEMENT
Sous le commissariat conjoint de Jan de Maere, spécialiste de la peinture flamande des XVIème et XVIIème siècles et de Nicolas Sainte Fare Garnot, conservateur du Musée Jacquemart-André, la première partie de l’exposition est consacrée aux maîtres de l’école flamande dont les œuvres constituent la part la plus riche et la plus prestigieuse de la collection Brukenthal. L’art flamand était très recherché en Europe, et tout particulièrement à Vienne, par les collectionneurs d’art au milieu du XVIIIème siècle. Samuel von Brukenthal a ainsi pu réunir un éventail remarquable de la peinture flamande du XVème au XVIIème siècle. L’exposition associera également à cette collection flamande les principaux chefs-d’œuvre appartenant aux autres écoles représentées dans la collection. On y remarquera en particulier des œuvres du Titien, de Lorenzo Lotto ou de Johann Georg Hinz.

Citation :

LA COLLECTION EXCEPTIONNELLE DE SAMUEL VON BRUKENTHAL

Samuel von Brukenthal
Le baron fut, pendant de nombreuses années, un proche conseiller de l’Impératrice Marie-Thérèse d’Autriche. Après une longue carrière dans le domaine politique il devint, en 1777, gouverneur de sa terre natale : la Transylvanie. Très vite connu comme un collectionneur insatiable, il acquit en quelques années plus de 16 000 livres précieux, un grand nombre d’objets d’art, près de 800 gravures et 1 200 tableaux. La collection, constituée avec l’aide de marchands et de spécialistes de l’art, bénéficia également de quelques très belles œuvres offertes par l’Impératrice elle-même. Elle fut très vite considérée comme l’une des «plus belles et des plus riches collections de Vienne ». Elle est aujourd’hui connue comme l’une des plus prestigieuses d’Europe centrale.

http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/jacquemart/177-events/?displayType=DetailCalendrier&eventId=485

(désolé Hope, mais je fais ma liste d'expo)

Au Musée du Louvre à Paris du 17 septembre 2009 au 4 janvier 2010, une exposition sur le génie pictural de 3 maîtres incontestés de Venise au XVIè siècle , Titien, Tintoret, Véronèse. 30 ans de style vénitien du Siècle d’or,

86 tableaux permettent de comparer la manière, les palettes, les influences et les rivalités de ces 3 maitres incontestés de la lagune.

Visitez lele site


Tarquin et Lucrèce : Titien joue de la métaphore avant Freud.

Tarquin et Lucrèce... Cela me rappelle le Satyricon, tiens.

Mais Rotko, j'avais déjà parlé de l'expo du Louvre....... Snif, tu ne me lis pas!

Bon, j'en profite pour rappeler que le week-end prochain, nous avons les journées du Patrimoine.

http://www.journeesdupatrimoine.culture.fr/

Le Festival mondial des théâtres de marionnettes se déroule à Charleville-Mézières du 18 au 27 septembre.

350 spectacles dont les Essais, de Montaigne, de la troupe québécoise du Sous-Marin jaune.

Citation :

«Le théâtre de marionnettes est un art pour les jeunes, un peu comme la musique contemporaine. Il permet de parler des préoccupations de notre temps. Ce n'est pas du tout un art vieillissant».

Houla, celle sur le surréalisme, je sens que je vais m'arranger pour y pointer mon museau !

Merci pour l'information Cleo !

Autre exposition possible: Renoir au XXème siècle.

L'exposition Renoir au XXe siècle présente des dessins, des sculptures de l'artiste pendant sa fin de vie soit la première moitié du XXe siècle en France.


C'est un pan quasi inconnu du public que met en lumière le Grand Palais à travers, notamment, des peintures de nus féminins et des portraits en plein air ou en atelier. Pierre-Auguste Renoir, à l'époque estimé comme "le plus grand peintre vivant" selon Guillaume Apollinaire, se définissait comme un "peintre de figures".


Organisé par la Réunion des musées nationaux, le musée d'Orsay et le Los Angeles County Museum of Art, en collaboration avec le Philadelphia Museum of Art, Renoir au XXe siècle sera également présenté au Los Angeles County Museum of Art du 14 février au 9 mai 2010 puis au Philadelphia Museum of Art du 12 juin au 5 septembre 2010.

Renoir au XXème siècle

Du 23 septembre 2009 au 4 janvier 2010

Galeries du Grand Palais - Champs Elysées

Ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 22h. Fermeture le jeudi à 20h

Entrée : de 9 à 12 euros

www.rmn.fr/Renoir-au-XXe-siecle

ARGHHH ! DERNIER JOUR DEMAIN pour voir l’expo Alex Katz au musée de Grenoble !

"L'oeuvre d'Alex Katz nous est présentée au travers d'une sélection d'oeuvres qui couvre presque 5 décennies, de la fin des années 50 à aujourd'hui. Résolument figuratif, son travail traite du quotidien et de la banalité dans une facture très neutre, très lisse, assez proche de l'image publicitaire. Ses toiles qui représentent surtout des personnages, des visages, sont le reflet de leur époque. La peinture d'Alex Katz s'immerge dans le flot du temps pour mieux le stopper et nous en faire profiter grâce à une économie de moyens remarquable, rendant ainsi durable et signifiant le fugitif, l'effacé." (Du 4 juillet au 27 septembre 2009)

la Nuit blanche, une manifestation gratuite d’art contemporain, s'etend cette année aux villes de banlieue : le MAC/VAL de Vitry-sur-Seine, propose une visite dès samedi après-midi.
France-soir mentionne trois parcours : autour des buttes Chaumont, à Châtelet-Marais et dans le Quartier latin.

Quelques idées :

Citation :

Les cristaux lumineux de l’artiste suisse Sylvie Fleury évoquant un chemin de croix à Notre-Dame de Paris.

Le parc des buttes Chaumont devient un jardin extraordinaire avec les guirlandes multicolores de l’artiste Noël Dolla, un bouquet de lampes de bureau du Norvégien Rune Guneriussen et d’immenses messages lumineux de l’Ecossais Nathan Coley.

Priscilla Monge propose, place de la Bataille-de-Stalingrad (XIXe), un terrain de foot accidenté rendant le jeu impossible, et Xavier Veilhan une grande machine lumineuse à la patinoire de l’Espace sportif Pailleron.

Citation :

la Nuit blanche,[...] trois parcours : autour des buttes Chaumont, à Châtelet-Marais et dans le Quartier latin.

l'installation de Noël Dolla aux Buttes-Chaumont à Paris

cette année pour la nuit blanche, 1, 5 million de visiteurs.

deux expositions sur la Turquie commencent en octobre :

"De Byzance à Istanbul, un port pour deux continents", au Grand Palais, et

"d'Izmir à Smyrne, découverte d'une cité antique", au Louvre.

Citation :

Ces deux expositions vont permettre d'évoquer le riche métissage de cultures, de peuples, de civilisations dans l'ancien empire. Le passé et le présent sont au coeur de cette Saison turque en France, à travers 400 événements, en majorité culturels, à voir jusqu'en mars 2010.

Basse Normandie - Expositions / Visites

En toutes lettres... cent ans de littérature à la nrf
du mercredi 23 septembre 2009 au mercredi 23 décembre 2009

Citation :

La revue créée par André Gide et ses cinq amis (les écrivains Jean Schlumberger, Jacques Copeau, Marcel Drouin, André Ruyters, Henri Ghéon), animée ensuite par Jacques Rivière puis Jean Paulhan, a très tôt manifesté une grande autorité et acquis une large audience. Elle les doit autant aux écrivains qu’elle parvint à rassembler dans ses pages (de Claudel à Sartre, de Proust à Malraux, d’Aragon à Martin du Gard, d’Alain à Blanchot, d’Artaud à Bousquet, de Saint-John Perse à Ponge, de Camus à Michaux…), qu’à ses « passeurs » (Larbaud, Caillois) et à son considérable apport critique (Thibaudet, Benda).
Un « groupement d’esprits libres », disait Gide à propos des premières années de La NRF ; « sans prévention d’école ni de parti », ajoutait Rivière ; « une revue d’extrême milieu » surenchérissait Paulhan… Aventure collective attentive aussi bien aux postes avancés et marginaux de la pratique littéraire qu’à l’héritage des siècles passés, La NRF n’a eu d’autre dessein que d’abriter une défense et illustration de la littérature contemporaine – reconnue, parmi tous les autres ordres du discours, comme le haut lieu de la révélation et de l’expérience de l’humain. Mais une affirmation aussi forte de la primauté de la littérature n’a pas empêché La NRF de penser son époque : le fait politique, la condition historique et sociale de l’homme l’ont, elle aussi, requise… Cent années plus tard, force est de constater que La NRF a su se perpétuer depuis 1968, sous les directions de Marcel Arland, Georges Lambrichs, Jacques Réda et aujourd’hui Michel Braudeau.
D’abord créée à la Fondation Bodmer (Suisse) en février 2009, à partir des archives des éditions Gallimard, cette exposition retrace la chronique de ce centenaire… Reprise et augmentée des nombreuses archives dont l’IMEC dispose, l’exposition est aujourd’hui redéployée en neuf parties chronologiques, qui montrent, à travers complicités, mais aussi conflits et questionnements, comment la singulière fabrique éditoriale qu’a été La Nouvelle Revue française a façonné le XXe siècle littéraire, artistique et intellectuel.
- Présentation extraite du site -

Infos pratiques : A l'IMEC - Abbaye d'Ardenne,
14280 Saint-Germain-la-Blanche-herbe.
Tél. : 02 31 29 37 37.
Ouvert tous les jours de 14h à 18h.

http://www.imec-archives.com/accueil.php?n=6

Sur le site de l'IMEC, on peut écouter de courts commentaires consacrés à la NRF.
J'ai noté aussi une émission de la fabrique de l'Histoire consacré à l'histoire des écrivains sur France Culture avec une émission de la semaine dont le thème est la NRF.

Vous le savez peut-être déjà, une exposition se tient en ce moment à Giverny sur Joan Mitchell.

Renseignements sur le site du musée de Giverny

Des peintres expressionnistes.



Musée Marmottan, 2 rue Louis-Boilly (XVIe), du 28 octobre au 20 février.

Du 10 Octobre 2009 au 15 Février 2010
"Les Modernes s'exposent au Musée des Beaux Arts de Lyon"
C'est une belle exposition ; une révision de ce qu'on peut déja connaitre (c'est toujours un plaisir de voir et revoir des tableaux)
Dès l'entrée ;attention mes yeux , un Picasso "nu aux bas rouges"
j'aime le rouge ...ça démarrait fort ensuite Suzanne Valadon ,Utrillo; Vuillard ,Bonnard ,Dufy,Matisse et j'en oublie
Un bon moment

"POUR LE VINGTIEME ANNIVERSAIRE DE SA DISPARITION

Le Salon d'Automne rend hommage à Maurice Mazo

Exposition du 13 au 16 Novembre 2009 :

Viparis Espace Champerret, 6 rue Jean Oestreicher 75017 Paris

( métro Porte deChamperret)"


http://www.mauricemazo.com/principale.htm



video sur http://www.kewego.fr/video/iLyROoaftfNx.html



De 1971 à 1989, Maurice Mazo a correspondu avec un jeune juriste anglais, Jeremy Cooper. Jacques Mougenot a fait paraître ces lettres, en les annotant, sous le titre "La beauté est une victoire", chez e/dite ...

memorial de la Shoa
17 rue Geoffroy l’Asnier,75004 Paris

jusqu'au 31 janvier 2010

Ecrivain Juif né en Roumanie, Benjamin Fondane, déjà reconnu dans son pays, s'établit à Paris à l'âge de 25 ans. Poète, penseur, dramaturge et cinéaste, résolument « moderne » et attentif à l'avant-garde, il se tient néanmoins à distance des écoles et des doctrines, des mouvements politiques et littéraires et cherche sa voie propre, sa réponse personnelle aux questions intemporelles comme à celles posées par son époque.

Durant les années 1930 et 1940, Fondane dialogue avec les personnalités marquantes de son temps : Artaud, Bachelard, Camus, Cioran, pour n'en citer que quelques-uns. Déterminante est la rencontre avec le philosophe existentiel Léon Chestov dont il devient le disciple. Parmi ses amis artistes, Brancusi, Brauner, Man Ray nous ont laissé de lui des portraits étonnants.

Arrêté le 7 mars 1944, il est incarcéré à Drancy. Sa femme réussit à obtenir sa libération, mais il refuse d'abandonner sa soeur Line, arrêtée en même temps que lui. Déporté vers Auschwitz, il est assassiné dans une chambre à gaz le 2 ou 3 octobre 1944.

Fondane ... ... après avoir goûté aux plaisirs de l'avant-garde dada, il avait décidé de s'installer en France pour respirer l'air des années folles, comme le firent ses compatriotes, Tsara, Servien, Ionesco, Luca, Sernet, Cioran, Voronca, Luca, Istrati, Eliade, etc.
Grand lecteur de Dostoïevski, Kierkegaard, Nietzsche, bien qu'attiré par le surréalisme, il prendra ses distances avec ce mouvement, tant il sera effaré par la dictature de Breton ... pendant l'occupation, dans une semi-clandestinité, il rédigera des essais sur Baudelaire et Rimbaud, mais sans prendre de précautions particulières pour se protéger, refusant de changer de domicile alors que ses amis lui conseillent de se cacher : " Je ne pourrai sans doute pas corriger les épreuves de ce livre, j'en suis d'avance malheureux, mais je n'y puis rien. Un bateau m'attend quelque part ... la faute n'en est pas à moi. Ce n'est pas moi qui ai créé cette époque et ses désordres, sa trame enchevêtrée où je me perds et à laquelle je ne comprends pas grand chose, peut-être parce que personne n'a écrit une préface explicative ... "
Alors, Fondane eut-il la prescience de sa propre mort, et l'accepta-t-il avec fatalité, lui qui ne savait que chanter la vie ... ?
Reste que Fondane a été dénoncé à la gestapo (je refuse la majuscule à cette organisation assassine ! ), et qu'il a quitté l'illimité de la vie, alors qu'il célébrait l'homme du futur, vendu par des rats !

Citation :

Dans l’atelier de Fragonard - Marguerite Gérard, artiste en 1789

L’exposition dédiée à Marguerite Gérard (1761-1837), belle-soeur, élève puis collaboratrice du peintre Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), compte 60 tableaux et dessins. Des portraits réalisés par Marguerite Gérard, Fragonard, mais aussi des oeuvres montrant les sources de l’artiste, le succès de la mode des portraits intimistes au début du XIXe siècle, ainsi que des oeuvres photographiques...

C’est à une double découverte, celle d’une grande artiste méconnue et d’un ensemble de tableaux pour la plupart inédits, que le public est convié au musée Cognacq-Jay.





Installée à Paris depuis le milieu des années 1770, dans l’appartement même de Fragonard au Louvre, Marguerite Gérard devient l’élève, puis l’assistante et la collaboratrice du maître. À la fin des années 1780, alors que la gloire de Fragonard faiblit, la jeune Marguerite lance sa carrière. Connue jusqu’alors par des tableaux réalisés en collaboration avec son beau-frère, elle entreprend une série de portraits intimistes, de petit format, représentant son cercle familial, les amis artistes, les connaissances et les relations de Fragonard.


Réalisés autour de 1789, dans les débuts de la Révolution, ces portraits présentent l’image non officielle des principales personnalités du monde des arts et du spectacle de l’époque. On découvre en particulier un portrait de Fragonard lui-même, de son ami Hubert Robert, du compositeur Grétry, des architectes Claude-Nicolas Ledoux, Charles de Wailly, de Mirabeau...


L’émergence d’une jeune femme artiste dans la société de l’époque n’était pas chose évidente.

C’est à une véritable opération de stratégie commerciale que se livre ainsi la jeune Marguerite. Au moment où l’Ancien Régime vacille, elle cherche sa place dans une société en mutation. Bientôt ces portraits, souvent cédés aux modèles, assurent sa publicité. Elle se fait un nom.


Un catalogue publié par Paris Musées accompagne l’exposition.


Exposition du 10 septembre au 6 décembre 2009

CAEN

À l’occasion de sa dix-huitième édition du 9 au 29 novembre 2009, le festival Les Boréales met à l’honneur...

le Danemark, les îles Féroé et le Groenland aux côtés des quatre pays nordiques.

le programme est sur le site

litterature, BD, danse etc.

"Fernand Pelez, la parade des humbles". Petit Palais

jusqu'au 17 janvier

un diaporama avec zoom

Les toiles se succèdent, elles captent la misère au coin des rues : le petit marchand d’oranges, le vendeur de violettes ; sur les visages, la fatigue, la faim… Il faut voir le Saltimbanque, immense toile où, sous les oripeaux du cirque, sous les grimaces, les costumes de piste se cachent la désolation des pitres, les hontes des parias, le désespoir des Paillasse.

Peu à peu, les couleurs s’éteignent, l’art de Pelez prend son essor au fur et à mesure que sa palette s’uniformise et s’assombrit