Hiroshi Motomiya (manga)

chez Delcourt.

comment une tentative de suicide ratée mène à une nouvelle vie...

ce manga fait partie d'un défi lecteur, pour élargir le domaine de nos lectures.

C'est un manga facile à lire et qui présente de l'intérêt pour son histoire notamment : un comptable bien traditionnel (il se sert d'un boulier et refuse l'ordinateur) de retrouve au chômage, abandonné par femme et enfants, sans le sou...

Il se réfugie dans la nature, et devient une sorte de Robinson, d'autant qu'après une pahase dépressive, il a rencontré une jeune désespérée.

De beaux dessins



on suit bien le récit, un peu naïf parfois, à mon goût

toutefois, je déplore le support-papier de mauvaise qualité (quand on vint de lire un bel album comme
d'Enki Bilal !)

et je n'aime pas trop non plus les dessins exacerbés pour traduire la colère etc.

l'expression de la colère dans les mangas, avec cris et gestes outrés, me paraît d'autant plus surprenante que le monde japonais est réputé pour s courtoisie dans les moments de conflit les plus difficiles.
Or ces dessins exagérés sont très fréquents, en totale disproportion avec le contexte, souvent. J'aimerais donc avoir une explication sur ce phénomène du manga.

je ne suis pas le seul à m'interroger


ainsi dans cette critique de MON VIEUX- Tome 1. Dessin & Scénario: Tsuru Moriyama

Ce manga se veut une chronique sociale des milieux populaires japonais avec l’histoire d’un père qui est ultra violent pour défendre des valeurs ancestrales. Dérangeants, pas toujours très logiques comme sentiments pour nous autres, européens