Silence Prévert

Coucou, s'il y a des Bruxellois, Belges ou voyageurs tentés parmi GDS, courez vite voir "Silence Prévert", organisé par le théâtre du Rideau mais les représentations ont lieu aux Beaux-Arts.

Du Prévert, sur des musiques de Kosma, avec un ténor, un récitant, un piano et un joueur d'accordéon diatonique.

C'est tout bonnement un moment de bonheur. Prévert savait alterner drôlerie et gravité. Le choix des textes est intéressant, la mise en scène est très sympa. Bref, salle conquise !

C'est jusqu'au 18 avril, si je ne me trompe pas.

oui, jusqu'au 18 avril

musiques Joseph Kosma, Béla Bartók, Francis Poulenc, Didier Laloy

réalisation jules-henri marchant

Citation :

Un voyage entre voix parlée et accordéon, airs chantés et piano sur les traces de l’anarchiste, l’anticonformiste, l’ironique et tendre Prévert.

Au détour d’un chemin, le poète rencontre le compositeur Joseph Kosma pour qui « rien n’est plus passionnant que de suivre le mouvement vivant de la poésie et de la littérature ». Une complicité est née. Admirable, inoubliable dans ces mélodies qui nous touchent encore aujourd’hui.

Regardez Les enfants qui s’aiment, écoutez la Complainte de Vincent, La promenade de Picasso et tout ce qui fait la rumeur de Paris...
Ce Prévert-là est noir pour dire son horreur de l’horreur, il est rouge sang ou rouge palpitant pour célébrer la vie et l’amour, il est cinglant ou drôle, inattendu et toujours désarmant.

Merci Roudita !