Anne Perry

Je m'aperçois qu'on n'a pas parlé d'elle dans le fil sur les Anglaises.

Drôle de personnage, Anne Perry. Née en 38, impliquée personnellement dans un meurtre quand elle était enfant, elle s'est mise assez tardivement à l'écriture de polars, mais quelle prolixité

Deux séries (entre autres !) se passent dans l'Angleterre victorienne.
19 volumes publiés en 10/18 de la série dont les personnages récurrents sont l'Inspecteur Thomas Pitt et son épouse Charlotte, et 14 de la série avec Monk et Hester, infirmière formée en Crimée aux côtés de Florence Nightingale, devenue son épouse.

C'est inégal. Il y en a de bons. Ce qui me plaît c'est que toutes les facettes de la société londonienne de la fin du 19ème siècle sont mises en lumière, et je trouve ça passionnant ! Je viens de finir Brunswick Gardens, avant-dernier de la série Pitt. J'en parle parce que le cadre de l'intrigue est intéressant : meurtre dans la famille d'un pasteur anglican, traumatisée (la famille) par les thèses "scandaleuses" de Monsieur Darwin ! Si l'intrigue est assez convenue, même si bien ficelée, ce sont les réactions de la bourgeoisie anglaise chrétienne aux avancées de la pensée darwinienne qui m'ont surtout amusée. C'est finalement presque d'actualité si l'on se réfère à ce qui se passe actuellement dans certaines universités américaines !
A lire, donc.

Dans la série des Monk, il y a une peinture des bas-fonds londoniens, et particulièrement du quotidien des hôpitaux de l'époque qui donne aussi quelques frissons d'horreur...

J'ai lu Un Etranger dans le miroir, et j'avoue que ça m'a bien plu!
Le concept de l'amnésie est assez original et le suspens est maintenu jusqu'au bout...

Je ne savais pas que c'était une série! Youpi!!!

Je viens de terminer le dernier, La Conspiration de Whitechapel.

L'inspecteur Thomas Pitt puni, envoyé dans les bas-fonds de l'East End, loin de sa chère Charlotte, parce qu'il a mené une enquête ayant abouti à une condamnation qui lui vaut des inimitiés de la part de gens tout-puissants ! On frémit
Pas mal du tout. Avec une nouvelle hypothèse au sujet de l'identité de Jack l'éventreur qui tient drôlement mieux la route que celle de Patricia Cornwell qui accuse le malheureux Sickert

J'aime bien les romans d'Anne Perry, j'ai lu Le crucifié de Farrier's Lane et Le bourreau de Hyde Park mais je ne m'en souviens plus vraiment. J'ai en attente Avant la tourmente, le premier tome de sa nouvelle série (celle qui se déroule pendant la pemière guerre mondiale). A vrai dire ce que j'ai le plus apprécié dans les romans de Perry ce sont ses personnages et le cadre historique, l'enquête policière passe presque au second plan

Cette série-là, je ne l'ai pas encore entamée.
Les autres, je les ai tous, et tous lus : en fait, ça s'est fait tout seul : un Perry sort, je l'achète je le lis... Sur des années c'est facile, juste impressionnant quand on voit la place que ça finit par prendre sur les étagères

Mais c'est agréable pour les soirs de fatigue. Un bon polar, pas trop glauque, pas trop noir (suis pas fan !) et on s'endort requinqué

Je n'ai pas accroché à Avant la tourmente.

Citation :

En ce magnifique mois de juin 1914 à Cambridge, les journées s'étirent, ensoleillées, intemporelles. Mais pour Joseph Reavley, professeur à St. John, cet été idyllique est anéanti par la mort de ses parents dans un accident de voiture. En lui annonçant l'horrible nouvelle, son frère Matthew, agent des services secrets britanniques, lui révèle que leur père lui apportait justement un mystérieux document... Les deux frères se mettent alors en quête de ce fameux dossier concernant un sinistre complot, et rejoignent leurs sœurs Hannah et Judith dans la demeure familiale. Reine incontestée du polar victorien, Anne Perry nous invite, dans cette ambitieuse série, dont Avant la tourmente est le premier opus, à partager le destin de cette famille alors que la Première Guerre mondiale ravage toute l'Europe.

Dans ce nouveau cadre historique l'écriture et les descriptions d'Anne Perry perdent de leur charme. Je n'ai pas tellement envie de remettre le nez dans cette série, mais si l'on m'assure que les autres tomes sont meilleurs.

Seven dials est le dernier roman en date d'Anne Perry dans la série Thomas et Charlotte Pitt.

Citation :

Thomas Pitt, membre bien malgré lui de la Special Branch, un organe aussi puissant que mystérieux des services secrets britanniques, se voit confier une périlleuse affaire.
On a surpris, dans le jardin d'une luxueuse demeure londonienne, la belle Égyptienne Ayesha Zakhari, maîtresse d'un ministre du gouvernement de Sa Majesté Victoria, transportant le corps d'un jeune diplomate, fraîchement assassiné. Détail embarrassant : le ministre se trouvait sur les lieux du crime. L'Empire, déjà aux prises avec des mouvements de grève et des émeutes dans le pays, se passerait bien des conséquences d'un tel scandale.
Crime passionnel ou sordide piège politique ? Tout accuse la jeune étrangère mais Thomas Pitt se fie rarement aux apparences. Des champs de coton de la lointaine Égypte aux infâmes taudis londoniens, il va remuer terre et ciel pour découvrir la vérité, malgré un climat politique explosif...

J'ai beaucoup aimé ce tome ci. Tout d'abord si une partie de l'enquête se déroule à Alexandrie, celle-ci n'a aucun rapport avec l'Egypte antique mais concerne bien l'Egypte du XIXe siècle au prise avec la domination anglaise. C'est tellement moins conventionnelle et beaucoup moins artificiel ! Ouf merci Anne Perry !
D'autre part l'intrigue est bien menée comme toujours. Néanmoins rapprochement entre les deux enquêtes est un peu trop due au hasard et les dernières pages vont en un peu trop vites dans les révélations explosives.
C'est toujours agréable de se mettre à la place des enquêteurs et de faire parfois certains rapprochements avant eux ; mais Anne Perry n'hésite pas à garder quelques surprises dans sa manche - parfois un peu tirées par les cheveux certes !
Bref, un bon polar qui m'a tenue éveillée une partie de la nuit.

Moon a écrit:

A vrai dire ce que j'ai le plus apprécié dans les romans de Perry ce sont ses personnages et le cadre historique, l'enquête policière passe presque au seconde plan

Je retire ce que j'ai dit, sûrement dans un moment d'étourderie et avec ma mémoire pleine de trous (si c'est pas malheureux à mon âge ! ).
Les intrigues d'Anne Perry ne passent absolument pas au second plan même s'il est vrai que c'est le cadre et la description précise des mentalités de l'époque qui font leur charme.

Half Moon Street

Citation :

En cet automne 1891, Londres semble bien triste au commissaire Thomas Pitt, depuis que sa chère Charlotte est partie se reposer à Paris. Mais il n'a guère le temps de sombrer dans le spleen, car la découverte du corps d'un homme habillé en femme dans une barque, sur la Tamise, l'entraîne dans une nouvelle aventure pleine de mystère. Qui était la victime et pourquoi cette mise en scène macabre ? Aidé de l'irascible sergent Tellman, Pitt fouille les consciences et les coeurs de la haute société, arpentant les coulisses des théâtres où se jouent les pièces d'un certain Oscar Wilde. Gentlemen et ladies irréprochables peuvent parfois cacher de bien dérangeantes vérités...

Ce n'est pas la meilleure enquête d'Anne Perry, même si comme d'habitude on se laisse assez facilement prendre au jeu. Le dénouement est à mon avis un peu tiré par les cheveux.
Néanmoins le roman, qui se déroule dans le monde du théâtre, est émaillé de réflexions sur la censure, évidement replacées dans le contexte, et qui sont intéressantes. Anne Perry s'est débrouillée pour nous faire entendre une succession de points de vue sur le même sujet. Je ne sais pas si l'intervention d'Oscar Wilde est très crédible, mais personnellement elle ne m'a pas choqué.

Moi aussi, Moon, j'ai beaucoup aimé Seven Dials, alors que j'aimais moins les derniers de la série Thomas Pitt, depuis qu'il était dans la "special branch"... les histoires avec le "Cercle intérieur" m'ennuyaient un peu... Mais celui-ci est un vrai polar, très bien ficelé, passionnant !

Et j'aime bien, moi, la série qui commence par Avant la tourmente.

Je suis complètement fascinée par la capacité de pondre des livres qu'a cette romancière !
Dans une telle production, évidemment, certains livres sont moins bons, mais dans l'ensemble je l'adore. Ses peintures du Londres de l'époque victorienne, sa manière de décrire une société de classes complètement injuste, la misère qui régnait dans certains quartiers, la richesse et l'étroitesse d'esprit des habitants des autres...
Anne Perry est née en 1938 près de Londres, mais son père l'a emmenée très tôt en Nouvelle-Zélande. Là, elle a commis un crime à quatorze ans, tuant la mère d'une amie très chère dont on voulait la séparer...
On ne sait pas grand-chose sur sa vie après, sauf qu'elle est revenue en Angleterre. Elle écrit depuis trente ans, maintenant, et vit en Ecosse...
Drôle d'histoire, assez fascinante.
Elle est venue deux ans de suite au festival de polar du Havre.

Suis plongée dans le quatrième opus de la série sur la guerre de 14, Les tranchées de la haine, ENFIN sorti !
Je sais que Moon n'a pas accroché au premier, moi si, tout de suite ! En plus celui-là (le premier) se passe à Cambridge, ville où je vais très souvent.
Mais j'adore tout : saga familiale, fond très réaliste de guerre, desciption précise et horrible de la vie au front et des massacres, mystérieux personnage de comploteur assassin.
Et - ce qui fait que je devrais détester, mais paradoxalement ça m'amuse follement - tout ça sur un fond de pensée résolument conservatrice, bourré d'exaltation patriotique et de valeurs chrétiennes

Je vais d'ailleurs y retourner de ce pas

Retour aux sources ! J'ai enfin lu le premier tome de la série (Charlotte & Thomas Pitt).



Et j'ai adoré. Néanmoins ce qui m'a séduit dans ce policier c'est davantage la rencontre entre les deux personnages principaux, leur humour que l'intrigue policière en elle-même.
Il faut dire que je savais à peu près de ce qui allait arriver aux trois soeurs (Sarah, Charlotte et Emily).
Mais bon j'ai passé un très bon moment et j'ai été plusieurs fois sacrement surprise.

Je crois que je vais les lire dans l'ordre.

Moon a écrit:

Je n'ai pas accroché à Avant la tourmente.
Dans ce nouveau cadre historique l'écriture et les descriptions d'Anne Perry perdent de leur charme.

Un plat qui se mange froid chez rivages noir,, se déroule sur fond de révolution française, avec Madame de Stael.

Le livre est court, 85 pages, mais les premières pages ne m'enchantent pas.

Pour être conservatrice, elle l'est !

bref, je crois que je vais laisser tomber, son livre me paraît laborieux.

Les tranchées de la haine chez 10/18



Le livre se déroule sur plusieurs étages, et j'ai surtout apprécié le rez-de-chaussée

En effet tout ce qui tourne autour des scènes de guerre 14-18 m' a paru excellent, tant dans la peinture des hommes que dans l'évocation du décor.

J'étais donc très accroché, mais au premier étage je decouvre un faux plafond avec le Pacificateur.

Les tranchées de la haine chez 10/18.

Le Pacificateur désigne en effet un personnage important et mystérieux, susceptible d'entraîner un rapprochement entre l'Allemagne et l'Angleterre. Une trahison au sommet, en quelque sorte.

- Du coup, on ne sait plus si on reste en 14-18, ou en 39-45 avec un manipulateur fasciste comme le père du président Kennedy pendant la deuxième guerre mondiale.

- L'enquête pour démasquer ce Pacificateur-manipulateur amène la romancière à jouer sur les deux tableaux : le champ de bataille du rez-de chaussée, et les services secrets au premier étage. Anne Perry doit donc lier les deux plans par des liens de parenté entre les personnages.

Le pasteur des tranchées a un frère dans les services secrets, une soeur chez les ambulanciers. Ce pasteur a dans la troupe des gars de son village et d'anciens élèves de l'université etc.

- L'histoire serait la suite d'épisodes précédents, qu'on rappelle frequemment et pas toujours à propos. Agressé, Mathiew des services secrets se rappelle, en un éclair, la force légendaire du Pacificateur dans un affrontement antérieur.

- On essaie de deviner qui est ce Pacificateur, on voit plusieurs personnages susceptibles d'être cet odieux personnage puisque l'agent secret leur rend visite, et tout d'un coup la romancière le présente lui-même, en anonyme, en train d'ourdir ses complots.

A-t-il une cagoule sur la tête ? point du tout ! et on ne sait pas quel personnage il est, alors qu'on l'a sans doute vu ou à tout le moins entendu parler de lui. On abandonne gratis le point de vue de l'enquêteur des services secrets.

Là, c'est de la triche et un tour de passe-passe de romancier.

Petite parenthèse historique..
Anne Perry est née Juliet Hulme et a passée la majorité de son enfance et de son adolescence près de Christchurch en Nouvelle-Zélande, où elle s'est liée d'amitié avec une camarade d'école à l'imagination aussi débordante que la sienne. De là datent ses premiers essais en littérature dans le domaine de la poésie et du théâtre, car elle a été longtemps victime de la tuberculose et clouée dans un lit avec pour seules distractions ses inventions littéraires.... Les deux jeunes filles vivaient une relation exclusive et presque amoureuse et ont décidées très tôt de s'affranchir de leur éducation et ont décidées de s'enfuir. Juliet a alors conclut un pacte avec son amie et imaginé la mort de la mère de cette dernière, qui les empêchait de faire leur fugue. Elles ont effectivement réalisé cet assassinat. Ont suivi cinq années de prison et un changement de patronyme. Je trouve qu'il est très intéressant de relever cette histoire vraiment peu commune et presque unique dans le monde de la littérature.

A voir, l'interprétation par Peter jackson de cette histoire avec "Créatures Célestes" (1994) avec Kate Winslet dans le rôle de Juliet/Anne perry.

Je viens de finir Un deuil dangereux, le deuxième de la série Monk. J'en conclus qu'il est impératif de lire (au moins cette série) dans l'ordre. En effet, le procès de l'assassin du premier de la série (Un étranger dans le miroir) a lieu au cours du deuxième... Pour le suspense, qui est quand même l'un des plaisirs du polar, mieux vaut ne pas les lire dans le désordre. Je suis même presque un peu déçu d'avoir lu dans le premier post qu'Hester devient l'épouse de Monk, alors que dans Un deuil dangereux, on sent bien que Rathbone n'est pas insensible à son charme et qu'elle même, parfois, ne paraît pas le fuir... enfin pas plus que Monk.

En tout cas, je suis convaincu : je vais continuer la série.

Je n'ai pas encore lu la série Pitt mais mon épouse - c'est déjà elle qui m'a orienté sur Anne Perry car elle en est mordue depuis belle lurette - m'affirme qu'elle est aussi bien. Pour le moment, je suis plutôt tenté de faire série par série.

MrsTurnip a écrit:

Je lis également, d'un oeil distrait, "Miss Silver entre en scène"... pas aussi palpitant que la chère Agatha

dommage ! Patricia Wenworth, "Miss Silver entre en scène" 10 X 18,
Collection : Grands détectives


la couverture me plaisait bien

C'est ce qui m'avait attirée tout d'abord Rotko. Je suis une grande buveuse... de thé! Et ce joli service bleu m'avait bien plu mais l'intrigue est assez plate et les personnages peu fouillés.
J'apprécie davantage Anne Perry, surtout les enquêtes qu'elle publie tous les ans pour Noël, ma favorite est La détective de Noël


Dans ce roman, c'est Mariah Ellison, l'acariâtre grand-père de Charlotte Pitt (héroïne récurente des livres de Perry) qui se lance dans une enquête avec vigueur et opiniâtreté. J'adore ce personnage et je regrette d'ailleurs qu'Anne Perry ne l'ait pas développé dans d'autres histoires.


En parlant de Perry, sa vie seule est un roman, elle fut l'une des protagonistes d'un meurtre révoltant qui fit couler beaucoup d'encre en son temps. Un film fut tiré de son histoire, Créatures Célestes de Peter Jackson avec la toute jeune Kate Winslet.

Oups! La photo est trop grande... je ne maîtrise pas encore l'hébergement d'image. Merci à celui ou celle qui y remédiera

Je poursuis ma lecture. J'ai lu la série des Monk en entier et j'ai commencé les Pitt. (J'en suis à Rutland Place, le 5e de la série).

Mon sentiment à cette étape : je pense que je préfère la série des Monk mais les Pitt ne sont pas désagréables.

Le plus (pour l'ensemble) : une peinture très fine et très intéressante de Londres à l'époque victorienne. Chaque roman est un prétexte pour passer à la loupe un aspect, un milieu, un domaine de cette époque. Passionnant et très bien fait.

Le moins : des intrigues inégales. On passe d'histoire très bien ficelées à d'autres plus légères, parfois un peu rapides. Il arrive que le dénouement tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. Mais dans la plupart des cas, lorsque j'ai eu ce sentiment, non seulement le plaisir de lire était toujours là (c'est l'essentiel, non ?) mais le suivant était en général de bien meilleure facture. Sur cette dimension de la qualité de l'intrigue, je suis en parallèle la série de Soeur Fidelma par Peter Tremayne (religieuse irlandaise au Ve siècle) qui est bien mieux réalisée. Mais c'est un autre sujet.

En revanche, je ne connais pas du tout les romans de Noël dont vous parlez MrsTurnip. Il faudrait que je creuse cette piste car la grand-mère de Charlotte Pitt est odieuse à plaisir dans la série...

Pour vous Mazel, il est difficile de donner un conseil en la matière mais si vous souhaitez lire un roman de l'une des deux grandes séries, je ne saurais trop vous conseiller de commencer par le premier de la série de votre choix et si vous voulez poursuivre, de conserver leur ordre pour ne pas en perdre la logique.
1er des Monk (excellent à mon goût) : Un étranger dans le miroir.
1er des Pitt : L'étrangleur de Cater Street.

Les romans de Noël d'Anne Perry sont une petite série baptisée "Petits Crimes de Noël" et dont un opus sort chaque année pour les Fêtes.
J'aime l'atmosphère de ces petits romans et le contraste entre la douceur supposée de Noël et la violence des meurtres commis. Le détective change pour chaque titre et l'on n'a pas le temps de se lasser.
Les titres déjà parus sont, à ce jour :
La disparue de Noël, une très belle histoire de rédemption et un voyage expiatoire à travers l'Ecosse. C'est une belle aristocrate, Lady Vespasia Cumming-Gould qui en est l'héroïne.
Le voyageur de Noël où Henry Rathborne cherche à démêler une sombre histoire de famille
La détective de Noël avec la féroce mais néanmoins irrésistible Mariah Ellison dans une enquête pleine de révélations sur les moeurs victoriennes
Le secret de Noël dont l'intrigue se déroule dans un charmant village anglais très "Agatha Christien" mais à l'intérieur des cottages, la mort rôde...
La promesse de Noël que je n'ai pas encore lu et où l'on retrouve Runcorn déjà suivi dans les enquêtes de Monk

Ces romans sont courts, bien écrits, très victoriens et, ce qui ne gâte rien, sont parus dans une édition 10/18 améliorée avec une jolie jaquette illustrée de chromos.