Johann Sebastian Bach

Issu d'une famille de musiciens, il représente le baroque. Ses nombreuses oeuvres pour violon, orgue, clavier ;ses concerts de voix et d'instruments, sa musique entière a suscité l'admiration universelle.

très beau et très bien joué par jasha Heifetz.

je considere bach comme une sorte de deite ....le coup de foudre s`est produit qund je devais avoir 5 ans.....mon pere avait mis en boucle la cantate du veilleur durant un long trajet en voiture sous la pluie.....Zion hort die wachter zingen...c`est le plus emouvant morceau de musique a cote de la complainte de didon dans l`opera eponyme de Purcell...dommage que l`on apprecie plus brahm et wagner de nos jours...enfin tt est affaire de gouts...au plaisir

Bach est mon idole, mon horizon sonore, pas un jour où je n'écoute sa musique des heures durant... Ce que je préfère c'est le final de la messe en si mineur, notamment la version joué par l'orchestre symphonique d'Atlanta sous la direction de Robert Shaw.
Mais il est vrai que la cantate du veilleur est une merveille ^_^

bonjour, j'ai cliqué sur les liens et pas trouvé de musique. Seulement sur PdF une histoire de 106 pages que je n'ai pas lues

mais vraiment la musique de ce compositeur nous donne un plaisir sans égal, une sorte de paix et d'emotion.

il faut aller sur http://www.deezer.com/

- mettre le nom du compositeur dans la fenêtre rectangulaire blanche,

- choisir ensuite dans la liste qui s'affichera

on clique sur un morceau et on choisit en haut et à droite"permalien" (copier).

ce lien est à mettre ensuite dans ton message.

voici un concerto pour deux violons

ce qui m'etonne toujours : l'influence de bach, depuis Vivaldi jusqu'à Villa lobos, et des compositeurs encore plus récents, je suppose.

Ecoutez-moi ça et donnez-m'en vos impressions : http://mumin.free.fr/Music/BachBWV1052Allegro.mp3

J'ai découvert ça il y a quelques jours et j'en raffole. Ce type était impitoyablement énergique.

Tiens, Troglo ! Je suis contente de te relire .
Je connais l'extrait que tu nous laisses, mais serais bien en peine de donner le titre exact .

Puisqu'on parle de Bach :je suis accro aux variations Goldberg, jouées au clavecin par Pierre Hantaï...

je te comprends, marie, c'est sublime...

Marie kiss la joue a écrit:

Puisqu'on parle de Bach :je suis accro aux variations Goldberg, jouées au clavecin par Pierre Hantaï...
https://www.youtube.com/watch?v=ZLI8oh8wY6A

Glenn Gould est la référence, mais il n'y a pas une Vérité en musique, comme ailleurs...

3 minutes de Bach au piano.

Les Goldberg, à part par Gould, il faut les écouter par Scott Ross.

C'était un pianiste, compositeur et interprète canadien. Il est mort en 1982.
Il est surtout connu pour ses interprétations remarquables au piano du répertoire classique, dont les deux fameux enregistrements des Variations Goldberg de Bach (1955 et 1981).

Je l'ai découvert avec le CD "Gould plays Bach", c'est tellement beau!
Il chantonne parfois en jouant c'est amusant x)

Timothy Maloney écrit:

Citation :

« Glenn Gould mérite notre profonde sympathie pour s'être si bien débrouillé, et notre profonde admiration pour avoir développé et mis en œuvre, face à l'incompréhension et à l'opprobre générales, tant de techniques pour s'en sortir sans l'intervention ni le soutien des autres. Indépendamment de ses réalisations professionnelles uniques, ses réalisations personnelles représentent un véritable triomphe de l'esprit. »

Celui qui a ouvert se fil s'est trompé aves les prénoms:

il s'appelait Johann (et non Johan) Sebastian (et non sebastien) Bach

et sinon la 'version française' est: Jean Sébastien Bach

nestor : ok je corrige

l'une de mes musiques préférées
chef d'orchestre Karl Richter

Pour les amateurs de Bach qui trainaient au bar le week-end dernier.


La cantate BWV 147 (Jesus bleibet meine Freude)
La plus connue : un tube, mais c'est tellement beau !

Une autre, moins connue (BWV 140).

Je pense que je peux déposer ma tristesse ici : Gustav Leonhard est mort lundi (article du Monde : Gustav Leonhardt rejoint Bach au paradis).

Lorsque j'étais petite, je pensais que le clavecin était un instrument doux et un peu mièvre, à mille lieues de l'image que je me faisais du très rabelaisien JS Bach. Jusqu'à ce que je découvre les préludes et fugues du Clavier bien tempéré sous les doigts de Gustav Leonhardt : interprétation fiévreuse, incandescente, brutale autant qu'aérienne. Je crois que jamais personne n'a aussi bien traduit les lignes de joie furieuse et de tristesse abyssale que Bach savait si magiquement entremêler.

Même si ça ne donne pas grand chose via internet...

Luca a écrit:

Conseil du mardi matin : si certains sont tentés par La Passion selon Saint-Matthieu, essayez de vous procurer la version dirigée par Otto Klemperer. Les autres paraissent bien fades ensuite.

Le pourquoi de la chose... Klemperer aborde la Passion avec délectation. Sa version se distingue franchement de toutes les autres par un parti pris de lenteur, de ressenti, de souffle qui monte très lentement du plus profond des tripes.

Un exemple avec la magnifique Aria 39, Erbarme Dich :

Version François-Xavier Roth, dans un style que je n'apprécie plus du tout (on croirait presque qu'on va danser un menuet*), interprétée par Delphine Galou.


Version Klemperer (1962) interprétée par Christa Ludwig.


Philippe Herreweghe himself reviendra, après plusieurs explorations, à cette lenteur bien plus émotive, notamment en 2010, avec l'intéressante interprétation de Damien Guillon. Pourtant, rien à faire, je la trouve toujours en-dessous de la version Klemperer :



* Parce que, quand même :
Aie pitié de moi,
Mon Dieu, au nom de mes larmes.
Vois,
Mon cœur et mes yeux pleurent
Amèrement devant toi.
Aie pitié de moi,
Mon Dieu, au nom de mes larmes.

zut ! je n'avais pas vu ce fil !!!! moi qui suis une fondue de Bach, et comme interprète, de Glenn Gould.

Néophyte , de passage !

Je viens d'acheter Messa Di Gloria , Puccini, ......par incompétence ! Je me suis ennuyé , et c'est un euphémisme !

J'aime bien Bach par contre et je glane avec plaisir vos références , merci.

J'ai également un CD de Bach , Sonate pour flûte seule, interprété par Juliette Hurel ( flûte ) dirigée par Arié van Buk (?) , Orchestre d'Auvergne.

Il parait que c'est du Bach arrangé ? disons réécrit ?

La passion selon Saint-Jean par la petite bande dirigée par Sigiswald kuijken me séduit par la beaué des voix. D'autant que l'oeuvre est sobre, sans choeurs mêlant différents registres.

Une petite anecdote marrante (sauf pour la joue du gamin).

Quelques explications techniques afin de la comprendre :

Bach est le grand théoricien du contrepoint : il s'agit d'utiliser dans une œuvre plusieurs phrases musicales distinctes intimement entremêlées. Ainsi, lorsqu'on joue, par exemple, un prélude et qu'on s'arrête au milieu de la pièce, les notes jouées peuvent sonner faux. Ceci crée une tension qui appelle le besoin d'une "résolution" : un appui sur un nouvel accord plus confortable pour l'oreille. C'est ce principe qui fait la magie du contrepoint. Il nécessite cependant une habituation car le plaisir est de plus en plus intense au fur et à mesure que l'oreille s'habitue à capter les différentes phrases. Les compositeurs contemporains en ont beaucoup joué en espaçant de plus en plus l'intervalle entre l'inconfort et la résolution.

En contrepoint, il existe un système de "ponctuation" des pièces musicales qui utilise les différents types d'accords. Sans entrer dans la complexité : la demi-cadence représente une "virgule", la cadence un "point final".

L'anecdote, donc :

Un soir, l'un des fils de J.S. Bach était au piano. Jouant les préludes de son père, il s'arrêta avant la fin de la pièce, et donc avant le "point final" (avant la résolution de l'inconfort musical expliqué ci-dessus). J.S. Bach était couché, il se releva, se dirigea vers son fils, le gifla, rejoignit ensuite le piano pour jouer les dernières mesures et terminer sur la cadence finale, puis retourna se coucher.

13èmes Rencontres franco-américaines de musique de chambre en pays de loire

au programme, beaucoup de compositeurs, mais j'ai écouté dans une petite chapelle, dans deslieux boisés des suites de Bach pour violoncelle. En voici un exemple




des alternances entre des motifs légers et graves faisaient penser à des échanges de clavier sur orgue.

La musique de Bach supporte bien la canicule