Richard Bach

Richard Bach, qui serait un descendant de Jean Sébastien, a écrit un petit conte illustré par Franquin et traduit en Français par Pierre Clostermann : Jonathan le Goéland, chez Castor poche flammarion ou j'ai lu.

. Le clan des goélands ordinaires s’avère bien conservateur : ils tiennent à leurs enfants les mêmes propos que les humains : pense à l’alimentaire d’abord, et vis comme nous !

Mais Jonathan a de plus hautes ambitions, le goût de l’expérimentation et de développer ses capacités. C’est une version moderne et ambitieuse de la parabole des talents, et on éprouve le grand frisson à lire les acrobaties de Jonathan et de ses semblables, en même temps qu’on est saisi d’admiration pour le bien-fondé de leurs aspirations.

Nestor a écrit:

Richard Bach, qui serait un descendant de Jean Sébastien, a écrit un petit conte illustré par Franquin et traduit en Français par Pierre Clostermann : Jonathan le Goéland, chez Castor poche flammarion ou j'ai lu.

Franquin, mais pas André Franquin ! Je me disais aussi, en regardant la couverture...

Voila Richard Bach:

Et voila le 2eme livre de lui que j'ai lu apres "Jonathan ..."

Citation :

La balade en avion (...) n'était pour moi que routine (...). Ce qui était un événement pour moi, c'était ce personnage avec qui je volais... sa manière incroyable de foire marcher son appareil, et toutes les choses étranges qu'il avait dites pour l'expliquer. " Richard, aviateur confirmé, est fasciné par un coucou, mais plus encore par son pilote.

Qui peut être assez farfelu pour tenir le manche de ce vieux zinc, sinon un " saltimbanque de l'air " en qui il ne peut que reconnaître un frère de sang ? Bien décidé à en savoir davantage, il apprend que ce mystérieux pilote est considéré comme un guérisseur et un maître à penser à qui les foules en demandent toujours plus. Refusant d'incarner ce qu'il n'est pas, il fuit et distille à Richard, au fil de leurs tribulations, son véritable message.

Un roman vivant et court, facile à lire, que l'on peut approcher de manière superficielle, juste pour se distraire, ou de manière plus profonde, en réfléchissant à ces petites maximes toutes claires et évidentes qui, ainsi formulées, forment soudain sens à nos yeux. Et les transposer à notre propre expérience quotidienne de vie pour aller un peu plus vers le vrai et donc vers un possible mieux-être...

Une citation:

Citation :

"Au sein de chacun de nous se trouve le pouvoir de consentir à la santé et à la maladie, à la richesse et à la pauvreté, à la liberté et à l'esclavage. C'est nous qui maîtrisons cela...

L'histoire de ce goéland a d'ailleurs contribué à faire le succès du chanteur américain Neil Diamond, qui a composé la B.O. de l'adaptation à l'écran de l'histoire de Bach, un album auquel il a tout simplement donné le titre original du roman: Jonhatan Livingston Seagull, et que toutes les étudiantes à l'époque accrochaient à un mur de leur chambre.

le voici, Neil Diamond, avec son goëland

Je n'avais pas fait le rapprochement. Mais c'est la chanson du film. Film que j'ai vu à l'époque. De magnifiques images. Et oui la chanson était"mythique" et le film culte...

A présent, j'ai les noms des ceusses qui ne vont jamais sur le topic zizique ... ... sinon, Neil Diamond était déjà très célèbre avant la composition de la musique de ce film ...

Constance a écrit:

A présent, j'ai les noms des ceusses qui ne vont jamais sur le topic zizique ...

pas de fil diamond sur GDS*, je crois ?

Effectivement, il n'existe pas de fil sur Neil Diamond ... mais j'avais placé une vidéo du film sur le topic "Un jour, un titre", avec commentaire à l'appui sur le livre de Richard Bach, dont il est inspiré ... pas grave ... ... dorénavant, sur ce topic, je ferai l'économie de mon clavier ...