THE DOORS

Quoi ! Il n'y a pas encore de fil sur ce groupe absolument génialissime !

Je crois que j'aime presque toutes les chansons et albums.



J'ai commencé en découvrant avec délice l'album Strange days avec son "people are strange", "unhappy girl", "My eyes have seen you", "when the music's over". Un véritable coup de foudre, je pouvais et peux encore écouter certaines chansons pendant des heures sans me lasser.
Les paroles, l'univers de Jim Morrison, cet album est absolument mythique.
Ma chanson préférée reste sans doute "People are strange". Voici les paroles pour le plaisir.

People are strange when you're a stranger
Faces look ugly when you're alone
Women seem wicked when you're unwanted
Streets are uneven when you're down
When you're strange
Faces come out of the rain
When you're strange
No one remembers your name
When youre strange x3
People are strange when you're a stranger
Faces look ugly when you're alone
Women seem wicked when you're unwanted
Streets are uneven when you're down
When you're strange
Faces come out of the rain
When you're strange
No one remembers your name
When you're strange x3
When you're strange
Faces come out of the rain
When you're strange
No one remembers your name
When you're strange x3

Après j'ai du écouter à peu près tous les albums. Je crois que The Doors reste un de mes préférés.



On y trouve presque exclusivement des chansons magnifiques (contrairement à Stange days où j'ai tendance à en zapper quelques uns) : "End of the night", "The end", "Take it as it comes", "Alabama song", "Light my fire" et il en manque.

J'aime beaucoup les Doors également.

Une de mes préférées :

Riders on the storm

Riders on the storm
Into this house were born
Into this world were thrown
Like a dog without a bone
An actor out on loan
Riders on the storm

Theres a killer on the road
His brain is squirmin like a toad
Take a long holiday
Let your children play
If ya give this man a ride
Sweet memory will die
Killer on the road, yeah

Girl ya gotta love your man
Girl ya gotta love your man
Take him by the hand
Make him understand
The world on you depends
Our life will never end
Gotta love your man, yeah

Wow!

Riders on the storm
Riders on the storm
Into this house were born
Into this world were thrown
Like a dog without a bone
An actor out alone
Riders on the storm

Riders on the storm
Riders on the storm
Riders on the storm
Riders on the storm
Riders on the storm

J'ai tous les disques des Doors, + quelques bootlegs. Je suis un fan absolu.
A voir aussi, le film d'Oliver Stone, réalisé qu début des années 90.

Ah c'est une bonne idée, ça, Alain. Je demanderai à la médiathèque de Verviers s'ils peuvent me l'avoir.

Cette chanson fait entrer l'auditeur en transe...

Depuis un moment, je tente de savoir ce qu'il a vraiment voulu exprimer (à part fuck the mother, the father... ) et les circonstances de la composition.

J'ai lu des interviews ici ou là, mais j'ai pas d'infos consistantes.

Quelqu'un sait ?

Live At Hollywood Bowl

Le 4 juillet 1968, un jeune homme de belle allure entre à pas lents sur la scène du Hollywood Bowl, en Californie, tandis que les musiciens entonnent le premier titre de la soirée, "When the music is over". Jim Morrison, chanteur et leader des Doors, lance quelques blagues, puis, très vite, invective le public. La tension monte, les gestes se font provocateurs, les tonalités claires et obscures alternent dans une atmosphère quasi extatique... Après une douzaine de chansons, dont "Alabama song", "Go insane" ou encore la version longue du titre culte "Light my fire", la soirée se termine, comme il se doit, par l'inoubliable "The end".
Lorsque paraît l'enregistrement du concert, les Doors sont à l'apogée de leur succès. Trois ans plus tard, Morrison meurt à Paris, terrassé par ses excès. Trop d'alcool, trop de drogues... Une légende du rock est née.

Concert passé, il y a quelques semaines sur ARTE. J'y étais ! (heu, devant mon écran, pas au Hollywood Bowl). Et j'ai [re]découvert une chanson oubliée (issue d'un album que j'écoute peu ; à mon grand tort, je m'en rends compte maintenant)

J'en dis pas + afin de vous laisser charmer et envouter par le beau Jim et When The Music's Over... à suivre Part II...

Aaaaaah Jim et ses portes de la perception ! Quel génie ! Pour celui qui sait entendre, un monde mystique peut lui être ouvert ! J'ai toujours eu un faible pour "The ghost song" et "L.A Woman".

"The End"... c'est également ma préférée. Notamment pour les cris à la fin.

D'ailleurs, ce morceau avait été repris lors d'une représentation de Jules César que j'avais vue au théâtre. Mélange surprenant, mais ça créait toute une ambiance...

Il y a aussi l'incontournable:

http://fr.youtube.com/watch?v=M_yWyBjDEaU&feature=related

Et puis bon...comment résister au charme de Jim Morrison ?

Une amie m'a offert la biographie de Jim par Stephen Davis. Pas encore eu le temps dans la lire mais elle en bonne place dans ma bilbiothèque...



Ceci explique cela...

Tu m'étonnes, rien que la couverture inspire !

Il faut la laisser visible....

Lîlâ a écrit:

Il faut la laisser visible....

Elle l'est...
Allez une autre pour la route.

Très connue, celle-là...très appétissante aussi !

On me l'avait même offerte en poster...à mettre à côté du lit, bien sûr...

"THIS IS THE END" my only friend, mystique, chamanisme, et toujours ce cris d'écorché vif,

L.A. Woman est mon album préféré des Doors, Jim Morrison y a atteint le summum de sa voix de Bluesman véritable, on peut difficilement rester indifférent lorsqu’il hurle “I’ve benn down so damn long down that it looks like up to me”... et ne parlons pas des titres plus mélodieux comme "Riders on the Storm" ou "Love Her madly", qui ont assez de potentiel pour défier tout ce qui s'impose maintenant comme étant le son des tubes officiels de la musique dite "Pop" actuelle, alors il est temps de se repencher sur ces ouvertures de PORTES, c'est facile peut-être mais pourquoi pas comme un jeu ou l'on ne gagne rien et où il fait si chaud que la discipline se relâche...

Jim Morrison est ici et les doors chantent the ghost song.

ce qui me révolte par dessus tout, c'est le fait qu'on se fasse des millions sans talent ni naturel pour nous sérvir une musique excécrable en plagiant des légendes de la musique telles les doors, à croire qu'il suffirait de savoir se déhancher pour accoucher d'un chef d'oeuvre, jim morisson, syd barrett, hindrix et autres faisait ça avec leur tripes et ça a donné ce que ça a donné

Un film documentaire américain de Tom DiCillo, "When You're Strange". qui reprend dix-neuf ans après Oliver Stone l'histoire des Doors.

Réalisé à partir d'images d'archives uniquement, le film a le mérite de replonger le spectateur dans l'ambiance si particulière des sixties. Les scènes de travail en studio fournissent ainsi le témoignage de moments où le doute l'emporte sur la toute-puissance de la rock-star.

Des images tirées d'un film réalisé par l'ancien étudiant en cinéma Jim Morrison offrent une saisissante ouverture au film, manière de mise en abyme psychédélique.

écrit le Figaro, tandis que le Monde se penche sur l'histoire de la realisation du film : voir l'article

J'ai entendu une émission qui mentionnait ce documentaire (La cellule de dégrisement sur France-Inter de samedi dernier, écoutable ici : http://sites.radiofrance.fr/franceinter/em/cellule-de-degrisement/archives.php). D'après ce qui en était dit, il présente les Doors d'une telle manière que même ceux qui connaissaient par coeur les archives montrées les voyaient sous une tout autre lumière, ça avait l'air enthousiasmant !

Bon, certains font la fine bouche et disent que c'est du rechauffé. Je préfère ecouter le batteur John densmore :


Les deux films (oliver Stone et di Cillo) sont une addition, celui de DiCillo n'est pas une réponse ultime. Oliver Stone a fait un film sur un artiste tourmenté. Ce qui me va. When You're Strange l'est aussi en partie, le portrait d'une sorte de Dyonisos, mais il montre aussi le groupe dans son ensemble, à une époque ou la guerre du Vietnam et les assassinats politiques faisaient rage. Il montre comment nous fonctionnions tous les quatre, comment nous avions besoin les uns des autres.

C'est un film sur les Doors, j'aime ça. C'est un film sans acteurs mais certains spectateurs ont été bluffés par les images de Jim avec la barbe, au volant de sa voiture en plein désert au début du film. Ils ont pensé que c'était un acteur. DiCillo a utilisé les images du moyen métrage tourné par Jim en 1970, filmé en 35mm avec des images sublimes. Mais c'est Jim! C'est bien lui! Tom DiCillo a réussi à ajouter au mystère en présentant Jim errant au milieu du désert, à la recherche de quelque chose

tout l'entretien.

J'ai toujours eu un groooos faible pour celle-ci (désolée, je suis nulle en hébergement de vidéos) :

https://www.dailymotion.com/video/x1fdgz_the-doors-people-are-strange_music

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Nestor : mais ça marche

J'aime beaucoup aussi People are strange.
C'est leur premier album que je connais le mieux, une bombe !(enfin on doit les avoir tous).