spiderman

aujourd'hui 1er mai, sortie du nouvel épisode des aventures de l'homme-araignée, toujours filmées par Sam Raimi. Pour la troisième fois en cinq ans il dirige le superhéros, Tobey Maguire, et sa fiancée, Kirsten Dunst.

SAM RAIMI déclare

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Citation :

« Chaque film devait représenter une leçon de vie pour Peter Parker-Spider-Man. Les méchants de ce troisième épisode devaient incarner tous les conflits intérieurs que Peter Parker aurait à surmonter. »

Dans la galerie des supervilains de la saga, Spider-Man (Tobey Maguire) fait face à Flint Marko, alias l'Homme-Sable (Thomas Haden Church) qui fit sa première apparition en 1963 dans le numéro 4 de The Amazing Spider-Man, au nouveau Bouffon vert (James Franco) et à Venom (Topher ­Grace), créature née dans les années 1980, dans le numéro 300 de la bande dessinée.

Citation :

Mais le principal adversaire de Spider-Man n'est autre que lui-même ! il se croit supérieur aux autres grâce à ses pouvoirs mais il est également un pécheur. Aveuglé par le désir de venger la mort de son oncle Ben, il détruit son amour pour Marie Jane et met son âme en danger. Spider-Man n'est pas meilleur que les criminels qu'il veut punir. Ces derniers ont eux aussi une part d'humanité.

Ahh, je l'attendais ce film !
Je cours le voir dès que possible

Citation :

Spider-Man se convertit aux ténèbres gothiques car, à force de traquer les ennemis, il ne sait plus qui il est, pris soudain dans le vertige bipolaire de l'exaltation et de l'autocrucifixion.

Les moments d'anthologie ne manquent pas dans ce troisième épisode, avec tout ce que permet le numérique pour faire régner sur l'écran l'empire de la démesure. Spider-Man 1 avait connu un succès foudroyant en mai 2002. Six ans après, ce troisième volet continue de digérer le trauma du 11 Septembre. Les catastrophes urbaines abondent, avec leur foule de badauds effarés devant des gratte-ciel défoncés d'où ne finissent plus de tomber des victimes, hurlant dans le vide.

Tout le final est un appel un peu gaga à comprendre les raisons de l'ennemi, fût-il criminel, et à pardonner ceux qui vous ont offensé. Comme chez Bergman (A travers le miroir) , le ciel peut se déchirer et Dieu apparaître sous la forme d'une énorme araignée. Amen !

libé

Quelle inégalité entre les spectacles !

sorti le 1er mai au cinéma, Spiderman a été vu par 804.345 spectateurs en une seule journée, parce qu'il est projeté dans 850 salles.

On parle de la reprise de diamants sur canapé : il est programmé dans une seule salle parisienne.

Je peux toujours attendre Dark horse et volem rien foutre al païs

rotko a écrit:

Quelle inégalité entre les spectacles !

oui, c'est vraiment dégueu le système de distrib !

Citation :

volem rien foutre al païs

il est déjà sorti sur paris celui-là non ? en tout cas il était à st ouen...

Quand au sujet : spidey est spidey : au moins 3-4 poursuites assez longues et répétitives entre les immeubles, les buildings, les voitures, les trains... etc... c'est beau, c'est rapide, c'est impressionnant, mais c'est trop toujours pareil.

Des scènes très très mielleuses, comme dans le 2, je pensais que le côté obscur contaminerait plus longtemps notre peter parker, mais non, il redevient tout gentil tout beau très très vite.

Un beau drapeau américain qui flotte avec un spidey porteur des valeurs des états-unis sur le dos (bon certes c'est l'esprit comics, mais aujourd'hui on pourrait s'en passer... ça s'appelle : adapter... )

mais bon, ça reste tout de même un très très bon divertissement, il aurait juste fallu enlever les 20 minutes qui lui font dépasser les deux heures, jepense

ce que je reproche à l'adaptation de Sam Raimi, c'est qu'il s'est autorisé un peu trop de libertés. Ca n'a presque plus rien à voir avec le comic dont je suis fan.

Je l'ai vu dimanche et j'ai beaucoup aimé,même si un peu moins que les deux précédents ! . Toujours autant d'action, toujours autant de méchants, et une fin qui laisse présager un quatrième volet (bon vous me direz, c'est souvent comme ça .
Seul point négatif à mes yeux : trop de moments un peu gnian gnian et mélo-dramatiques...

Marie kiss la joue a écrit:

Toujours autant d'action, toujours autant de méchants, et une fin qui laisse présager un quatrième volet (bon vous me direz, c'est souvent comme ça

Il me semble pourtant que le réalisateur a dit que ce serait le dernier.

vieux_renard a écrit:

Marie kiss la joue a écrit:

Toujours autant d'action, toujours autant de méchants, et une fin qui laisse présager un quatrième volet (bon vous me direz, c'est souvent comme ça

Il me semble pourtant que le réalisateur a dit que ce serait le dernier.

Ah, c'est possible
Mais à mon avis, quand il verra le montant du jackpot, il y réfléchira

Peut-être bien, oui. Toutefois, au cinéma comme en littérature, les statistiques montrent qu'une oeuvre s'épuise et perd de sa rentabilité au chiffre 3.

Le chiffre 3 dans une série est sans doute perçu comme un gage de succès des opus précédents. En faire un 4ème, c'est prendre le risque lasser son public. Pagnol, Tolkien et d'autres encore l'avaient assimilé, dirait-on.
Homère est peut-être passé à côté d'un manque à gagner !